• Peugeot 306

    Peugeot 306
    Peugeot 306
    Constructeur : Peugeot
    Classe compacte
    Carrosseries 3, 4, 5 portes, break, cabriolet
    Performances
    Motorisations de 1124 cm³ à 1997 cm³
    Émission de CO2 141 à 198[1] g/km
    Transmission aux roues avants, boite 5 ou 6 vitesses
    Dimensions
    Longueur 3/5p: 4030 mm
    4p: 4230 mm
    break: 4344 mm
    cabriolet: 4140 mm
    Largeur 1690 mm
    Hauteur 1370 mm
    Poids 982 - 1270 kg
    Chronologie des modèles (1993 - 2002)
    Peugeot 309
    Peugeot 307

    La Peugeot 306 est une automobile compacte du constructeur Peugeot, commercialisée de 1993 à 2002 (2003 pour les breaks).

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    Présentation 

    306 phase 2
    306 quatre portes
    306 Break

    Remplaçante de la Peugeot 309, elle est vendue en 5 portes dès février 1993, ainsi qu'en 3 portes dès l'automne 1993. Elle sera ensuite disponible en 4 portes et cabriolet en 1994, puis en break en 1997, jusqu'à l'arrêt de la production en 2001 (2002 pour le break et le cabriolet). La 306 hérite de la plate-forme et de beaucoup d'organes de la Citroën ZX. Curieusement, la filiation Talbot fait encore son apparition sur cette voiture : les tôles comportent un T inscrit dans un cercle embouti à côté du lion Peugeot. La 306 a en effet été fabriquée en premier à Poissy, fief de Talbot. L'usine britannique de Ryton a aussi produit le modèle par la suite. La conception et la production du cabriolet fut pour sa part confiée à Pininfarina, faisant de la 306 la dernière décapotable Peugeot assemblée en Italie, en jouxtant pour l'occasion une chaine d'assemblage consacrée à Ferrari ! Les motorisations disponibles en essence sont de cylindrées 1.1, 1.4, 1.6, 1.8, et 2.0 l. Le moteur 1.1 est apparu sur certaines versions bas de gamme. Les versions 16 soupapes apparaissent en 1993 sur les 2.0 l et 1997 sur les 1.8 l. Il y a également des versions au GPL. Côté diesel, on trouve deux versions atmosphériques (1 868 et 1 905 cm³), ainsi qu'un turbo-diesel à échangeur de 1.9 l de cylindrée, tous issus de la famille XUD. En 1999, le 1.9 l turbo-diesel sera remplacé par un 2.0 l turbo-diesel HDI à injection directe à rampes communes.

    La 306 a été longtemps une vedette des ventes Peugeot. La longévité de la fabrication a vu logiquement s'étoffer l'équipement, et la fabrication a suivi l'évolution des techniques. Les moteurs à essence étaient à injection et catalysés dès l'origine, alors que les catalyseurs sont apparus sur les versions diesel lors du restylage d'avril 1997. L'antiblocage de roue à 3 capteurs ABS et le coussin gonflable de sécurité (« Airbag ») se sont généralisés dans l'équipement de série au fil des années. L'évolution des composants et des services associés aux véhicules a vu l'intervalle entre vidanges passer de 7 500 km sur les premiers modèles à 30 000 sur les plus récents, le remplacement de courroie de distribution de 80 000 km ou 5 ans sur les premiers diesel à 160 000 km ou 10 ans sur les HDI. La 306 illustre bien son rôle de charnière des années 95 : première à ne recourir à aucun carburateur ou allumeur encore courants à sa naissance, elle termine sa carrière avec un accélérateur à potentiomètre, un calculateur de gestion moteur et un calculateur de caisse sur ses dernières versions. Au final, le peu de pièces communes entre une version de début de fabrication en 1993 et un des derniers modèles de 2002 pourrait conduire à penser qu'il s'agit de modèles différents. Les versions restylées ont inauguré le capteur de pluie Valeo pour la commande automatique des essuie-glace.

    Au niveau du châssis, la 306 a toujours fait figure de référence : en effet, son comportement est très sain, les suspensions sont bien équilibrées et le tout est homogène. La tendance au sous-virage des voitures à traction est contrée par l'utilisation d'un essieu arrière auto-directionnel fixé sur des cales élastiques, qui incline légèrement les roues vers l'intérieur des virages serrés mais qui entraîne du survirage sur chaussée humide. De plus, cette voiture vire avec très peu de roulis, ce qui augmente l'agrément en conduite appuyée. La compacité et le centre de gravité bas contribuent à une maniabilité qui a fait de la S16 une vraie voiture de sport au point de donner des idées aux conducteurs des autres modèles moins bien dotés, la D Turbo a par exemple donné une apparence flatteuse aux versions diesel. Le freinage est aussi un point fort des 306, avec des équipements adaptés aux performances de chaque modèle : gros tambours à l'arrière sur les breaks et Société, disques à l'arrière sur les S16 et HDI, disques ventilés à l'avant sur les Turbo diesel et essence performantes, la banque d'organes Peugeot a joué à plein, le moteur Turbo Diesel s'est par exemple retrouvé aussi sous le capot des 405, 406, Xsara, Xantia et même jusqu'au 806/Evasion.

    Finitions [modifier]

    Les différentes finitions disponibles sont les suivantes : XA (société 2 places), XR, XT, XS (finition sport), XSI, S16, puis Equinoxe, Symbio, Cashmere (depuis le restylage d'avril 1997), avant de revenir aux XR, XT, XT Pack de 1999 à 2002. On trouve également des intérieurs "Rolland Garros" (tons verts), "Eden Park" (cuir beige avec appuie-tête en forme de ballons de rugby) et de nombreuses séries spéciales aux complexes variations d'équipement.

    Le côté sportif est assuré par la S16[2] (aussi appelée GTI en Belgique, Espagne et Suisse, et GTI6 au Royaume-Uni), possédant au départ un 2.0 l 16v, avec un système d'admission à caractéristiques acoustiques variable (ACAV). En 1993, Peugeot sort la 306 Le Mans, édition limitée de la S16 à quelques 400 exemplaires à peine, pour fêter les victoires de Peugeot aux 24 heures du Mans. Une nouvelle version de la S16 est développée pour le restylage et commercialisée dès octobre 1996. Elle est munie d'un nouveau bloc 2.0 l 16v développant 167 ch, ainsi qu'une boîte 6 vitesses. La S16 boîte 6 est proposée en deux finitions : Confort (bon marché, plus légère) et Premium (mieux équipée : climatisation automatique, rétroviseurs motorisés, lève-vitres électriques). A noter que la Peugeot 306 S16 servira de base à la 306 Maxi, destinée au rallye.

    306 Cabriolet [modifier]

    Peugeot 306 Cabriolet
    Peugeot 306 Cabriolet
    Constructeur : Peugeot
    Classe cabriolet
    Carrosseries cabriolet
    Performances
    Motorisations de 1124 cm³ à 1997 cm³
    Transmission transmission avant, boite 5 ou 6 vitesses
    Dimensions
    Poids 1220 kg
    Chronologie des modèles (1994 - 2002)
    Peugeot 304 Cabriolet
    Peugeot 304 Cabriolet
    Peugeot 304 Cabriolet
    Peugeot 307 CC
    Peugeot 307 CC
    Peugeot 307 CC

    La Peugeot 306 Cabriolet est une automobile du constructeur PSA commercialisée de mars 1994 à 2002.

    Historique [modifier]

    306 Cabriolet phase 1
    306 Cabriolet phase 2

    Commercialisée depuis le 11 mars 1994, ce cabriolet a su tirer parti de sa ligne élégante, de ses qualités dynamiques et de ses places arrière, étriquées mais existantes, pour s'attirer une belle notoriété. Sur le marché français, quelque 77 500 exemplaires de 306 Cabriolet ont trouvé acquéreurs au cours de sa carrière, tandis que le rythme de production était encore, en juin 2002, de 16 unités par jour, un beau score pour une auto alors à l'aube de la retraite !Si les ventes du cabriolet 306 n'ont représenté "que" 2,7 % des ventes totales de 306, la présence de ce modèle sur le marché de l'occasion n'est pas négligeable, par rapport au volume de 306 en vente.Un état de fait à ne pas perdre de vue à l'heure du choix car, si les 306 Cabriolet conservent des cotes élevées, l'offre est assez large pour ne pas jeter votre dévolu sur le premier modèle que vous trouverez… Enfin, dans le cadre d'une utilisation quotidienne, privilégiez les (rares) exemplaires dotés d'un hard-top, accessoire qui s'échangeait en option contre 12 000 F (1 830 €), mais qui coûte, en post-équipement, la bagatelle de 2 715 € !

    Affichant 15 cm en longueur de plus que les berlines 3 et 5 portes, mais 8 cm de moins que la 4 portes, le cabriolet Peugeot306 revendique pourtant une habitabilité en net retrait aux places arrière et un volume de coffre inférieur, à plus forte raison lorsque la capote est ouverte. En contrepartie, le dessin ne souffre d’aucune lacune, le couvre-capote affleurant n'ayant pas la moindre incidence sur la beauté de l'ensemble. On doit ce coup de crayon irréprochable, à l'équipe de style Pinifarina, qui s'est illustrée trois ans plus tard avec le magnifique coupé 406.Cabriolet 5 places dérivé d'une berline compacte de grande série, le cabriolet 306 rivalise à armes sensiblement égales avec les Volkswagen Golf Cabriolet et Renault Mégane Cabriolet,tout en n'offrant pas une habitabilité sensiblement supérieure à celle d’une Fiat Punto Cabriolet ! La planche de bord est strictement identique à celle de la berline. On retrouve donc ses qualités, notamment en ce qui concerne l'ergonomie soignée, mais aussi ses défauts, avec un style vieillot, des plastiques pas très valorisants et une qualité d'assemblage perfectible. Un dernier reproche encore plus sensible sur le cabriolet, dont la structure est moins rigide que sur la berline, occasionnant un vieillissement prématuré des fixations de garnitures intérieures, surtout lorsque la voiture est menée de manière musclée…

    L'équipement était convaincant dès le lancement et s'est amélioré au fil des années, pour contrer la concurrence de rivales plus récentes. La climatisation et les jantes alliage ne faisaient pas partie de la dotation de série. La 306 Cabriolet a toujours été commercialisée en finition unique, doublée depuis 1995 (millésime 1996) d'une série "limitée" Roland Garros, récurrente chaque année à l'occasion des internationaux parisiens de tennis. Les places arrière, officiellement au nombre de deux, conviendront en appoint à deux adultes. Ceux-ci ne sont d'ailleurs pas épargnés par les remous d'air lorsque la voiture est décapotée, et ne profitent que d'une garde au toit très moyenne quand la capote est fermée, ou quand le hard-top est en place. La capote impose quelques précautions dans sa manipulation, d'une part à cause du coût de la vitre plastifiée arrière et d'autre part à cause d'un ajustement peu évident, d'autant que l'étanchéité arrière repose exclusivement sur la tension de la capote. À cet égard, mieux vaut orienter ses recherches vers un modèle doté de la capote électrique : en série sur les 2.0e (121 et 133 ch) et sur les Roland Garros (toutes motorisations confondues), en option sur les 1.6e et 1.8e, de toutes puissances et toutes générations. Enfin, le manque d'épaisseur de la capote ne permet pas une isolation optimale, et les bruits d'air à haute vitesse deviennent rapidement contraignants.

    À l’épreuve de la route, les berlines 306 ont toujours fait figure de références. Revendiquant une rigidité moindre, en raison de l'absence d'arceau (parfaitement esthétique, mais au détriment de l'efficacité…), le cabriolet 306 affiche des prestations dynamiques en retrait par rapport à ses homologues couvertes. Si ce cabriolet satisfait pleinement à rythme coulé, il avoue plus rapidement ses limites que les berlines et breaks quand le conducteur hausse le ton. En revanche, côté confort de suspensions, il n'y a toujours rien à redire… Au final, pour une adéquation optimale entre les performances mécaniques et le potentiel du châssis, mieux vaut éviter les motorisations les plus puissantes. Le 1.6e de 100 ch, seul survivant depuis septembre 2000, s'avère d'ailleurs parfaitement en accord avec les caractéristiques dynamiques de la voiture.

    Au chapitre de la sécurité, les premiers cabriolets 306 affichaient une dotation minimaliste, mais l'ABS figurait dès le début sur la liste des options. Au fil des millésimes, la dotation s'est sensiblement enrichie, restant à chaque fois au goût du jour et supportant la comparaison avec ses principales rivales. Toutefois, l'antipatinage ou le contrôle électronique de trajectoire (ESP) n'ont jamais été disponibles.Sur le plan des performances, l'offre de base constituée du 1.6e de 90 ch assurait déjà des prestations honorables, avec 13 secondes pour atteindre 100 km/h et une vitesse maximale de 180 km/h. Le 1.8e de 103 ch se montrait plus convaincant, notamment par sa souplesse, ses performances ne constituant pas un progrès sensible. En haut de l'échelle, le 2.0e de 121 ch se montrait plus efficace en accélérations, autorisant une vitesse de pointe permettant de tenir des bonnes moyennes sur autoroute… allemande !Le restylage du printemps 1997 s'est accompagné d'une nouvelle définition de l'offre mécanique. Les 1.8e et 2.0e sont passés en multisoupapes, délivrant respectivement 112 et 133 ch. Le 1.6e est, pour sa part, resté en 8 soupapes, mais la gestion électronique revue a porté la puissance à 100 ch, offrant des performances convaincantes pour des valeurs de consommations qui demeurent raisonnables.

    Peu de faiblesses récurrentes sérieuses ont affecté le cabriolet 306. On note principalement, comme sur les autres modèles Peugeot équipés de ce moteur, la piètre endurance de la courroie de distribution des premiers 1.8e 16v, construits début 1997. Les séries concernées ont, en principe, toutes été rappelées pour une correction en garantie.Les autres mécaniques font globalement preuve d'une bonne fiabilité, seuls les 1.6e (modèles 96 et 97) et les 1.8e (modèles 94 à 97) pouvant manifester des à-coups, qui se résorbent par reprogrammation du calculateur d'injection.Les cabriolets 306 ont aussi connu quelques soucis sur les équipements électriques : commandes de lève-vitres notamment, mais aussi de connecteurs de capote électrique, pour laquelle la pompe hydraulique et le vérin principal étaient aussi à mettre en cause. Selon l'usage qui lui a été réservée, la capote peut également occasionner de mauvaises surprises en matière d'étanchéité. Lors de l'achat, vérifiez méticuleusement son fonctionnement et son bon ajustement.

    Motorisations [modifier]

    1.1i 60ch (TU1M) [modifier]

    Disponible de ??/1993 à ??/2001

    1.4i 75ch (TU3MC) [modifier]

    Disponible ??/1993 à 10/2001 sur les modèles à boite manuelle

    1.6i 90ch (TU5JP) [modifier]

    Disponible 03/1993 à 10/2000 sur les modèles à boite manuelle

    Disponible 07/1999 à 10/2000 sur les modèles à boite automatique

    2.0 HDI 90ch (DW10TD) [modifier]

    Disponible 1999 à 2001

    1.6i 100ch (TU5JP) [modifier]

    Disponible 04/1997 à 10/2000 sur les modèles à boite manuelle

    Disponible 07/1999 à 10/2000 sur les modèles à boite automatique

    1.8i 103ch (XU7JP) [modifier]

    Disponible 03/1994 à 04/1997 sur les modèles à boite manuelle

    Disponible ../1994 à 07/1999 sur les modèles à boite automatique

    1.8i 16v 112ch (XU7JP/4) [modifier]

    Disponible 04/1997 à 07/1999 sur les modèles à boite manuelle

    1.9D 71ch (XUD9) [modifier]

    Disponible 1993 à 2001 sur les modèles à boite manuelle

    2.0i 123ch (XU10J2) [modifier]

    Disponible 03/1994 à 04/1997 sur les modèles à boite manuelle

    2.0i 16v 135ch (XU10J4R) [modifier]

    Disponible 07/1997 à 10/2001 sur les modèles à boite manuelle

    Disponible 07/1999 à 10/2000 sur les modèles à boite automatique

    2.0i 16s 150ch (XU10J4) [modifier]

    Disponible 03/1994 à ??/1996 sur les modèles à boite manuelle

    2.0i 16s 167ch (XU10J4RS) [modifier]

    Disponible ??/1996 à 10/2001 sur les modèles à boite manuelle

    306 Maxi [modifier]

    Peugeot 306 Maxi[3]
    Constructeur: Peugeot
    Classe: A7
    Années de présence en WRC: 1996-1998
    Modèle de base: Peugeot 306 S16
    Numéro d'homologation: A5510
    Style de carrosserie: 3 portes
    Moteurs: 4 cylindres en ligne XU10J4 atmosphérique de 1 998 cm³
    Puissance: 275 ch à environ 8 000 tr/min
    Boîte de vitesses: 6 vitesses de type séquentielle
    Transmission: aux roues avants
    Longueur: 3 995 mm
    Largeur: 1 835 mm
    Hauteur: 1 330 mm
    Empattement: 2 600 mm
    Poids: 960 kg
    Prédecesseur: Peugeot 205 Turbo 16
    Successeur: Peugeot 206 WRC

    La Peugeot 306 Maxi est une voiture de compétition, destinée au rallye, et basée sur la 306 S16. Elle marqua le vrai retour de Peugeot au premier plan des rallyes, après l'ère des groupes B et de la mythique 205 Turbo 16.

    Présentation [modifier]

    La 306 Maxi fut la reine des Kit-cars avant l'arrivée de la Xsara. Aux mains de Gilles Panizzi et François Delecour, elle gagna plusieurs rallyes de championnat de France et permit à Panizzi de remporter deux titres de Champion de France des rallyes en 1996 et 1997. Elle fut plus évoluée et plus compétitive que la Maxi Mégane, avant de céder sa place en championnat de France à la Xsara Kit-car de l'autre constructeur du groupe PSA. La Peugeot 306 Maxi fit aussi quelques apparitions officielles en championnat du monde des rallyes, de 1996 à 1998, sur les rallyes asphaltes, où elle termina à plusieurs reprises dans le top 6, avec comme meilleur résultat, la deuxième place obtenue par François Delecour au Tour de Corse 1998[4], face à des World Rally Cars plus puissantes, dotées d'une transmission intégrale, mais aussi plus lourdes. La 306 Maxi fut conçue exclusivement pour les rallyes asphalte mais un pilote privé portugais, Adruzilo Lopes, engaga une version modifiée pour la terre au rallye du Portugal, remportant sa classe (A7) en 1998[5]. La 306 Maxi connaitra ses derniers succès internationaux en 2004, en permettant au pilote privé italien, Luca Pedersoli, de terminer deuxième du championnat d'Europe des rallyes 2004[6], en offrant une certaine résistance aux Super 1600 moins puissantes, mais beaucoup plus récentes.

    2008 [modifier]

    Aujourd'hui, si la 306 Maxi n'est plus homologuée pour participer aux grands rallyes internationaux, elle continue à faire le bonheur de pilotes privés dans le championnat de France des rallyes, mais également dans les épreuves régionales et nationales...

    Pilotes 

     


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