• Volkswagen Golf II

     


     
    Golf II

    Après le succès de la Golf I apparue en 1974, la firme allemande se devait de renouveler ce modèle. C'est en 1983 qu'est apparue la Golf II. Versions essence dont GTI, GTI 16S et G60 à compresseur, diesel 1,6 litre et turbo diesel 1,6, ainsi que turbo diesel 1,6 avec échangeur.

    Essence : 1,1l 50Ch (disparue après 1987) 1,3l 55Ch (moteur MH) 1,6l 75Ch 1,8l 90Ch (moteur GU) 1,8l 98Ch 1,8l 112Ch 1,8l 16s 139Ch (moteur KR) 1,8l 16s catalysé xxxCh (moteur PL) 1,8l G60 160Ch 1,8l 16s G60 210Ch (version "limited" produite à 71 exemplaires)

    Diesel : 1,6l D : 55Ch 1,6l Turbo-D catalysé : 60ch 1,6l Turbo-D : 70Ch 1,6l Turbo-D intercooler : 80Ch (moteur RA)


    Restylage de 1987 : Celui-ci concerne l'abandon des déflecteurs sur les vitres des portes avants, une nouvelle calandre et le centrage du sigle à l'arrière. Côté habitacle, le volant est plus moderne, les commodos changés, le bouton de warning est désormais derrière le volant. En 1992, Volkswagen arrête la production des Golf II.

    Volkswagen Golf III

     

    Volkswagen Golf

    La Volkswagen Golf de troisième génération est une digne descendante de la Golf II, cette troisième génération de Volkswagen Golf, est apparue en fin 1991 et a bénéficié de nombreuses améliorations dans le moteur, la tenue de route, etc.

    Pour la première fois, elle reçoit un moteur V6 2.8 de 174 chevaux (modèle VR6), puis 190 chevaux en transmission intégrale. Ce V6 n'en est en fait pas un, car il ne dispose que d'une seule culasse. C'est donc plutôt un "V6 en ligne" (il est ouvert à 15°), et des diesel à injection directe (TDI) de 90 chevaux en 1994, puis un 1L9 TDI 110 chevaux en BVM5 sortie en 1996. Cette Golf exista en berline 3 portes, 5 portes, break et cabriolet. Elle garda longtemps une cote élevée sur le marché de l'occasion. La Golf 3 fut et est encore une voiture trés plébécité pour le tuning de part son style et ses different moteurs, de plus sa tenu de route et sa fiabilité en on fait une quasi légende.

    Motorisations [modifier]

    • Essence
      • 1.4 60 ch 107 Nm 155 km/h (1991-1995)
      • 1.4 60 ch 116 Nm 154 km/h (1995-1997)
      • 1.6 75 ch 135 Nm 168 km/h (1995-1997)
      • 1.6 101 ch 135 Nm 185 km/h (1994-1997)
      • 1.8 75 ch 140 Nm 168 km/h (1991-1997)
      • 1.8 90 ch 145 Nm 178 km/h (1991-1997)
      • 2.0 116 ch 166 Nm 196 km/h (1991-1997)
      • 2.0 16V GTI 150 ch 180 Nm 215 km/h (1992-1997)
      • VR6 2.8 174 ch 235 Nm 224 km/h (1991-1997)
      • VR6 2.9 Syncro 190 ch 245 Nm 224 km/h (1994-1997)
    • Diesel
      • 1.9 D 64 ch 124 Nm 156 km/h (1991-1997)
      • 1.9 SDI 64 ch 125 Nm 156 km/h (1995-1997)
      • 1.9 DT 75 ch 150 Nm 165 km/h (1991-1997)
      • 1.9 TDI 90 ch 202 Nm 178 km/h (1993-1997)
      • 1.9 TDI 110 ch 235 Nm 193 km/h (1996-1997)

    Volkswagen Golf IV

     

     

    Volkswagen Golf IV
    Volkswagen Golf IV
    Constructeur : Volkswagen
    Production totale 4 300 000 exemplaires
    Classe Berline compacte
    Carrosseries 3 portes
    5 portes
    Break
    Cabriolet
    Performances
    Motorisations Essence ou Diesel
    Cylindrée De 1390 à 3189 cm³
    Puissance (ch) De 68 à 240 ch
    Couple De 126 à 320 Nm
    Vitesse maximale De 162 à 247 km/h
    Émission de CO2 De 132 à 266[1] g/km
    Transmission Traction / Intégrale
    Dimensions
    Longueur Berline : 4150 mm
    Break : 4397 mm
    Cabriolet : 4080 mm
    Largeur Berline & Break :1735 mm
    Cabriolet : 1695 mm
    Hauteur Berline : 1439 mm
    Break : 1485 mm
    Cabriolet : 1425 mm
    Empattement Berline : 2511 mm
    Break : 2515 mm
    Cabriolet : 2472 mm
    Coffre Berline : De 330 à 1184 dm³
    Break : De 460 à 1470 dm³
    Cab : De 270 à 448 dm³
    Poids De 1083 à 1477 kg
    Chronologie des modèles (1997 - 2004)
    Volkswagen Golf III
    Volkswagen Golf V

    La Golf IV est une automobile du constructeur allemand Volkswagen commercialisée de 1997 à 2004. Remplaçante de la Golf III, elle fût elle-même remplacée par la Golf V. Best-seller du constructeur et de la catégorie, elle garde une côte élevée sur le marché de l'occasion.

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[// <![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } // ]]></script>

    Historique [modifier]

    Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !

    Gamme [modifier]

    Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !

    Motorisations [modifier]

    Moteur Type Suralimentation Cylindrée Puissance Couple Boîte Vitesse
    max.
    CV
    Moteurs Essence
    1.4 4 cylindres en ligne - 16S - 1390 cm3 75 ch à 5000 tr/min 12,6 mkg à 3800 tr/min BM5 171 km/h 6
    1.6 4 cylindres en ligne - 8S
    4 cylindres en ligne - 16S
    - 1595 cm3
    1598 cm3
    102 ch à 5600 tr/min
    105 ch à 5700 tr/min
    14,8 mkg à 3800 tr/min
    14,8 mkg à 4500 tr/min
    BM5/
    BA4
    189 km/h
    192 km/h
    7
    1.8 4 cylindres en ligne - 8S
    4 cylindres en ligne - 20 S
    - 1781 cm3 90 ch à 5000 tr/min
    125 ch à 6000 tr/min
    14,5 mkg à 2500 tr/min
    17,0 mkg à 4200 tr/min
    BM5 163 km/h
    201 km/h
    6
    1.8 T 4 cylindres en ligne - 20S 1 Turbo + Intercooler 1781 cm3 150 ch à 5700 tr/min
    180 ch à 5500 tr/min
    21,0 mkg à 4600 tr/min
    23,5 mkg à 5000 tr/min
    BM5 216 km/h
    228 km/h
    9
    11
    2.0 4 cylindres en ligne - 8S - 1984 cm3 115 ch à 3200 tr/min 16,5 mkg à 3200 tr/min BM5 193 km/h 8
    V5 5 cylindres en V - 10S
    5 cylindres en V - 20S
    - 2324 cm3 150 ch à 6000 tr/min
    170 ch à 6200 tr/min
    20,5 mkg à 3200 tr/min
    22,0 mkg à 3300 tr/min
    BM6/
    BA4/
    TPT5
    216 km/h
    224 km/h
    10
    11
    V6 6 cylindres en V - 24S - 2792 cm3 204 ch à 6200 tr/min 27,0 mkg à 3200 tr/min BM6 235 km/h 14
    R32 6 cylindres en V - 24S - 3189 cm3 240 ch à 6250 tr/min 32,0 mkg à 2800 tr/min BM6/
    DSG6
    247 km/h 17
    Moteurs Diesel
    SDI 4 cylindres en ligne - 8S - 1896 cm3 68 ch à 2600 tr/min 13,6 mkg à 2600 tr/min BM5 162 km/h 5
    TDI
    TDI
    TDI
    4 cylindres en ligne - 8S 1 Turbo + Intercooler 1896 cm3 90 ch à 3750 tr/min
    110 ch à 4150 tr/min
    115 ch à 4000 tr/min
    21,0 mkg à 1900 tr/min
    23,5 mkg à 1900 tr/min
    28,5 mkg à 1900 tr/min
    BM5
    BM5
    BM6
    180 km/h
    193 km/h
    195 km/h
    5
    5
    6
    TDI
    TDI
    TDI
    4 cylindres en ligne - 8S 1 Turbo + Intercooler
    Injecteurs-pompes
    1896 cm3 100 ch à 4000 tr/min
    130 ch à 4000 tr/min
    150 ch à 4000 tr/min
    24,0 mkg à 1800 tr/min
    31,0 mkg à 1900 tr/min
    32,0 mkg à 1900 tr/min
    BM5
    BM6
    BM6
    188 km/h
    205 km/h
    216 km/h
    5
    7
    8

    Disponibles en 4Motion : TDI 100 • TDI 115-130 • TDI 150 • V5V6

    Galerie [modifier]

    Golf IV 3 portes 1.6

    Golf IV 3 portes 1.6 3/4 arrière

     

    Volkswagen Golf 6

    Golf (VI)
    Golf (VI)
    Constructeur : Volkswagen
    Production totale 25 millions d' exemplaires
    Classe Berline compacte
    Carrosseries 3 ou 5 portes, SW (break)(Volkswagen Golf V break, monospace (Volkswagen Golf Plus) et (Volkswagen Touran), coupé-cabriolet (Volkswagen Eos), 4 portes (Volkswagen Jetta), coupé (Volkswagen Scirocco)
    Performances
    Motorisations Essence
    1.4 16S 80ch
    1.4 TSI 122ch
    1.4 TSI 160ch

    Diesel
    2.0 TDI 110ch
    2.0 TDI 140ch
    Transmission Traction ou intégrale (4MOTION)
    Dimensions
    Longueur 4200 mm
    Largeur 1780 mm
    Hauteur 1480 mm
    Poids de 1142 à 1538 kg
    Chronologie des modèles (Golf I (1974–1983)
    Golf II (1983–1992)
    Golf III (1991–1998)
    Golf IV (1997–2004)
    Golf V (2003–2008)
    Golf VI (2008– ))
    Volkswagen Coccinelle


    La Golf est une automobile, de la gamme dite compacte, de la marque allemande Volkswagen. C'est une automobile à hayon (des versions tricorps existent mais marginalement en Europe). Apparue en 1974, six générations se succèdent jusqu'à la version actuelle (plate-forme Golf VI) lancée en octobre 2008. Dominante dans la gamme des compactes en Europe, elle verra apparaître, à partir des années 2000, une concurrence de plus en plus aiguisée. Elle est appréciée pour sa fiabilité et sa qualité de construction (elle représente une des grandes réussites du « made in Germany »). La 5e génération de la Golf a repris le nom Rabbit de la première génération lors de son entrée sur le marché nord-américain.

    La version la plus remarquable est la Golf GTi lancée durant l'année 1976 (Golf MKI), elle a créé le concept de petite voiture sportive avec moteur à injection (contrairement aux moteurs à carburateur de l'époque). Un moteur de 1.6L de 110 ch dans une caisse légère et bien suspendue avec une décoration spéciale (en comparaison de ses modèles contemporains) permettait de réaliser des performances de haut niveau pour l'époque. Le mythe GTi était né, il connaîtra son heure de gloire dans les années 1980 (les "bombinettes"), concept que reprendront bien d'autres marques (notamment Peugeot avec la 205 GTi et Renault avec la Renault 5 GT Turbo - moteur sans injection mais avec un turbo). En 1982, une version plus bourgeoise (et plus lourde) apparaît. La Golf GTi émousse progressivement son caractère sportif, phénomène sensiblement accentué par l'apparition d'une concurrence de plus en plus performante. Le moteur devient un 1781 cm³ de 112 ch boîte 5 vitesses, déjà utilisé sur les dernières versions de Golf série 1. Dans les années 1990, la gamme sportive reposera d'une part sur un 1,8L régulièrement amélioré jusqu'à l'apparition d'un compresseur (moteurs de 160 ch), mais une version V6 de 2,8L (puis 2,9 L) fait aussi son apparition et chapeaute la gamme sportive, la VR6.

    En 2005 la Golf GTI est dotée d'un moteur TFSI 2.0 de 200 ch (turbocompressé). Le moteur V6 passe lui à 250 ch dans la Golf R32. En 2006 la Golf un modèle intègre un moteur de 1,4 l qui innove en utilisant à la fois un compresseur et un turbo pour développer 170 ch avec un couple disponible dès les bas régimes, c'est la Golf GT. Il s'agit de la Golf 1.4l TSI GT, qui préfigure les moteurs essence de l'avenir : faible cylindrée, faible consommation mais efficacité sur toute la plage d'utilisation du moteur grâce au compresseur qui augmente le couple à bas régime, relayé à mi-régime par le turbocompresseur efficace plus haut dans les tours.

    Il existe des Golf disposant de la transmission "intégrale" (par visco-coupleur central),un système appelé "4 Motion". La version la plus sportive (la Golf R32) intègre systématiquement ce dispositif. Le comportement sur route mouillée s'améliore alors sensiblement. La sixième génération a reçu 5 étoiles au crash test.

    En Avril 2009, est commercialisée la Golf VI GTI, elle reprend le 2.0l TFSI de la Golf V GTI, mais avec un peu plus de puissance (210ch au lieu de 200 auparavant).


    votre commentaire
  • Volkswagen Fox

     

    Volkswagen Fox
    Volkswagen Fox
    Constructeur : Volkswagen
    Classe Citadine polyvalente
    Carrosseries 3 portes
    5 portes (Am Sud)
    Break (Am Sud)
    Performances
    Motorisations Essence ou Diesel
    Cylindrée De 1198 à 1422 cm³
    Puissance (ch) De 55 à 70 ch
    Couple De 108 à 155 Nm
    Vitesse maximale De 148 à 167 km/h
    Émission de CO2 De 130 à 159 g/km
    Transmission Traction
    Dimensions
    Longueur 3828 mm
    Largeur 1660 mm
    Hauteur 1544 mm
    Empattement 2465 mm
    Coffre De 260 à 1016 dm³
    Poids De 998 [1]à 1168 [2] kg
    Chronologie des modèles (2005 - ...)



    La Volkswagen Fox est un petit véhicule automobile du constructeur allemand Volkswagen apparu en 2005. Elle a été dessinée, conçue et est assemblée au Brésil, étant à l'origine réservée au marché sud-américain. En Europe, elle reprend le rôle d'accession à la gamme Volkswagen de la Lupo, qui n'a jamais connu de succès commercial, essentiellement à cause de son prix de vente trop élevé. La Fox est cependant bien plus grande que l'ancienne Lupo (30 centimètres de plus en longueur environ), sachant que son empattement est le même que celui de la Polo IV, dont elle reprend la plate-forme. Son prix lui permet néanmoins de concurrencer les petites citadines, telles que les triplées 107/C1/Aygo de l'alliance PSA-Toyota ainsi que la nouvelle Twingo de Renault. Elle n'est en Europe disponible qu'en 3 portes mais elle existe en 5 portes et en version monospace (SpaceFox) en Amérique du Sud. Elle bénéficie également d'une version surélevée nommée CrossFox.

    En outre, elle sert également à combler le vide qu'à laissé la Polo en grandissant et affichant une taille plus proche d'une compacte que d'une polyvalente.

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } // ]]></script>

    Spécificités 

    Contrairement à ses principales concurrentes, la Fox ne mise pas sur son design pour séduire en adoptant une ligne très classique sans réelle audace et se démarquant nettement du nouveau design de Volkswagen. Elle reste néanmoins agréable à l'oeil. L'habitacle suit la même politique : sans fioritures et se révèle même austère. La qualité des plastiques rappellent sa vocation économique mais ceux-ci se révèlent bien assemblés.

    Pour éviter de commettre la même erreur que sa devancière, elle avance un argument de poids : un prix de vente inférieur à 10.000 € mais dans sa finition la plus simple et la plus légèrement motorisée ce qui la place au même niveau que les 107/C1/Aygo, moins habitables, et même devant la Twingo. Elle bénéficie tout comme la Twingo d'une banquette arrière coulissante ce qui permet d'augmenter la capacité du coffre ou de pouvoir accueillir des adultes à l'arrière. Mais elle reste une stricte 4 places.

    Gamme 

    Afin de serrer au maximum ses tarifs, la Fox ne se déclinait dans ses premières années de commercialisation qu'en une seule finition associables avec les 3 moteurs disponibles à laquelle venait se greffer 2 packs qui pouvaient être considérés comme finitions :

    • Trend : Unique finition (en tout cas de nom) qui comprenait de série l'ABS, les airbags frontaux avant, le volant 4 branches réglable en hauteur et profondeur, le verrouillage centralisé, les vitres électriques avant, le siège conducteur réglable en hauteur et une banquette arrière coulissante.
    • Trend + Pack Confort : Ce pack ajoutait la climatisation manuelle et des pneumatiques un peu plus généreuses.
    • Trend + Pack Sport : Ce pack un peu plus intéressant ajoutait la climatisation manuelle, les rétroviseurs extérieurs à commande électrique, un autoradio CD, des feux antibrouillard avant et des jantes alliage de 15".

    Dans la liste des options (plutôt mince contrairement aux habitudes de Volkswagen on peut citer les airbags latéraux avant, l'ESP ou le toit ouvrant.

    3 séries limitées sont apparus courant 2006/2007 : Fox Oxbow associable avec la finition Trend et Pack Confort dont le principal intéret était de recevoir des décorations adhésives extérieures spécifiques. Elle a été précédée par Fox MP3 (sur Trend) qui ajoutait un autoradio CD-MP3 et Fox Bluetooth (sur Trend et Pack Confort) un autoradio CD-MP3 Parrot "Rhythm n'blue" avec système de téléphonie mains libres Bluetooth.

    Courant 2007, la gamme a été remaniée en abandonnant la finition unique et les packs pour se décliner en 2 finitions mais ressemblant tout de même globalement à l'ancienne gamme :

    • Fox : Finition d'entrée de gamme qui se révèle assez bien équipée pour le tarif affiché. Elle est dotée en série du double airbag frontal, de l'ABS, de la direction assistée, des vitres avant électriques, de la condamnation centralisée avec télécommande, de la banquette arrière coulissante et du siège conducteur réglable en hauteur avec tiroir intégré.
    • Confortline : Cette finition ajoute à la précédente la climatisation manuelle et des pneumatiques plus généreuses ce qui entraîne un surcoût de 1.200 €.

    À ces 2 finitions peut être associé le pack Design qui comprend des jantes alliage de 15", un volant, un pommeau de levier de vitesses et une poignée de frein à main gainés de cuir pour un surcoût de 420 €.

    La radio CD-MP3, l'ESP, le toit ouvrant, les airbags latéraux et les antibrouillards sont eux en option. Les équipements apportés auparavant par le Pack Sport sont désormais à piocher à l'unité dans la liste d'options.

    Ces "nouvelles" Fox sont identifiables à leur nouveau volant 3 branches et à leur antenne arrière de pavillon .

    Motorisations [modifier]

    Les moteurs de la Fox sont à l'image de son gabarit : petits mais largement suffisants pour répondre à son utilisation citadine. 3 blocs sont proposés : 2 Essence de 55 et 75 ch et un Diesel TDI de 70 ch déjà rodés sur d'autres voitures du groupe.

    Moteur Type Suralimentation Cylindrée Puissance Couple Boîte Vitesse
    max.
    CV Eco-Bonus
    Moteurs Essence
    1.2
    3 cylindres en ligne - 6S - 1198 cm3 55 ch à 4750 tr/mn 10,8 mkg à 3000 tr/mn BM5 148 km/h 4 0 €
    1.4
    4 cylindres en ligne - 16S - 1390 cm3 75 ch à 5000 tr/mn 12,4 mkg à 2750 tr/mn BM5 167 km/h 5 0 €
    Moteurs Diesel
    TDI
    3 cylindres en ligne - 6S 1 Turbo + Intercooler
    Injecteurs-pompes
    1422 cm3 70 ch à 4000 tr/mn 15,5 mkg à 1600 tr/mn BM5 161 km/h 4 - 200 €

    Coloris [modifier]

    Peintures [modifier]


    Nom Remarques
    Peintures unies

    Blanc Candy

    Bleu Indien

    Gris Urano

    Jaune Tournesol

    Noir

    Rouge Tornado
    Peintures métalisées

    Reflet d'Argent
    Peintures nacrées

    Bleu Indigo

    Noir Magic

    Selleries [modifier]

    • Rainbow : Associable avec tous les coloris
    • Storm : Associable avec tous les coloris

    Galerie [modifier]

    Fox 5 portes (Amérique du Sud)

    SpaceFox (Amérique du Sud)

    CrossFox (Amérique du Sud)


    votre commentaire
  • Volkswagen Eos

     

    Volkswagen Eos
    Volkswagen Eos
    Constructeur : Volkswagen
    Classe Coupé Cabriolet
    Carrosseries Coupé Cabriolet 2 portes
    Performances
    Motorisations 1.6 FSI 115ch
    2.0 FSI 150ch
    2.0 TFSI 200ch
    3.2 V6 FSI 250ch
    2.0 TDI 140ch
    Vitesse maximale 204 km/h
    Transmission Traction
    Dimensions
    Longueur 4 410 mm
    Largeur 1 790 mm
    Hauteur 1 440 mm
    Poids 1 469 à 1 548 kg
    Chronologie des modèles (2006 –)
    Volkswagen Golf Cabriolet
    Volkswagen Golf Cabriolet
    Volkswagen Golf Cabriolet


    La Volkswagen Eos est un véhicule automobile coupé cabriolet du constructeur allemand Volkswagen.

    La Volkswagen Eos est issue de la Volkswagen Golf Cabriolet et se démarque tout d'abord de cette dernière par le remplacement de l'arceau et de la capote en toile par un toit rigide rétractable en 24 secondes, mais également du point de vue longueur : + 33 cm pour l'Eos.

    On remarque par ailleurs que ce nouveau cabriolet Vw adopte la dernière calandre qui équipe déjà les Passat, Jetta et Touran.

    Galerie 

    Vue de trois-quarts

    Vue de derrière

    Phare arrière-gauche

    Phare avant-droit


    votre commentaire
  • Volkswagen Corrado

    Corrado
    Corrado
    Constructeur : Volkswagen
    Production totale 97521 exemplaires
    Classe -
    Carrosseries coupé
    Performances
    Motorisations 1.8 16V; 1.8 8V G60; 2.0 8V; 2.0 16V; 2.8 VR6 ; 2.9 VR6
    Transmission traction
    Dimensions
    Longueur 4 050 mm
    Largeur 1 690 mm
    Hauteur 1 310 mm
    Poids 1 115 kg
    Chronologie des modèles (1988 - 1995)
    Scirocco
    aucun
    aucun
    aucun

    Le Volkswagen Corrado est un coupé sportif prenant la suite du Scirocco, et fabriqué lui aussi dans les usines Karmann à Osnabrück. Cependant, contrairement à son prédécesseur, celui-ci visait un marché plus haut de gamme.

    La conception du coupé Corrado est de style 2+2 soit 2 places avant et 2 vraies places à l'arrière. La carrosserie est à hayon, ce qui permet d'avoir un coffre aux dimensions généreuses pour ce type de véhicule, la banquette arrière étant rabattable 2/3 1/3.

    Plusieurs motorisations ont été disponibles. Les voici par ordre de puissance croissante:

    • Corrado 115 (1993 à 1995) :

    4 cylindres 2,0l 8v catalysé. Puissance 115 ch, couple de 16,9 m.kg à 3 200 tr/min.

    • Corrado 16S (1989 à 1995) :

    De 1989 à 1991 : 4 cylindres 1 781 cm³ 16 soupapes. Puissance 136 ch, couple de 16,1 m.kg à 4 800 tr/min.

    De 1992 à 1995 : 4 cylindres 1 984 cm³ 16 soupapes catalysé. Puissance 136 ch, couple de 16,1 m.kg à 4 800 tr/min.

    • Corrado G60 (1988 à 1991) :

    4 cylindres 1 781 cm³ 8v à compresseur volumétrique G60 (utilisé également sur la Golf Rallye et la Gof G60), catalysé. Puissance 160 ch, couple de 23,0 mkg à 4 000 tr/min.

    • Corrado SLC (1992 à 1994) :

    6 cylindres en V (angle de 15°) 2,8l 12v catalysé. Puissance 174 ch. Modèle disponible sur le marché nord américain uniquement, SLC signifiant « Sports Luxury Coupé ».

    • Corrado VR6 (1992 à 1995) :

    6 cylindres en V (angle de 15°) 2 861 cm³ 12v catalysé. Puissance 190 ch, couple de 25,0 m.kg à 4 200 tr/min.

    Ce véhicule était doté en série d'un freinage ABS, de vitres électriques, de la direction assistée, d'un ordinateur de bord et d'un aileron qui se déploie automatiquement dès 120 km/h (80 km/h en Amérique du Nord et en Suisse).

    Lors de sa sortie en 1988, le Corrado G60 (unique motorisation proposée cette année là) était proposé en France à un tarif proche des 200 000 FF.

    Des modèles de puissance inférieure, sans compresseur, sont venus par la suite compléter la gamme par le bas pour rendre le tarif plus attractif.

    Dans le même état d'esprit, il a aussi existé des séries spéciales (voir ci-dessous) afin de tenter de relancer les ventes.

    Les séries spéciales:

    Jet: Cette série, équipée du moteur 1.8l G60, a été proposée sur le marché allemand uniquement, entre fin 1991 et début 1992. Il s'agissait ici de vendre les derniers G60, avant son remplacement par le VR6. Pour garder les prix au plus bas, l'équipement de série était moindre que sur les autres modèles : ABS, ordinateur de bord, rétroviseurs électriques dégivrants, et commande électrique des phares uniquement. Les signes distinctifs de cette série sont : un monogramme "Jet..." juste devant les passages de roues arrières, et un intérieur sport spécifique ou les arrières de sièges et une partie des portières sont en plastique cotelé de couleur (bleu, rouge, noir, ou violet) avec une banquette arrière sans accoudoir central. Les couleurs de carrosseries possibles étaient, comme les sièges, au nombre de 4 : bleu, rouge, noir, ou violet. Les jantes de série étaient des Estoril.

    Jet2: Cette série reprend le principe du Jet, mais cette fois avec le moteur 1.8 16V, qui cède sa place au 2.0 16V catalysé. Cette fois l'équipement de série est plus généreux (vitres électriques), et l'intérieur est similaire aux autres modèles de la gamme, à l'exception toutefois d'une banquette arrière sans accoudoir central. Cette série a été disponible dans de nombreux pays européens, dont la France.

    Estoril: Série spéciale destinée aux marchés italien et suisse. Elle a coexisté avec la série spéciale "Jet" mentionnée plus haut, et était elle aussi équipée du moteur 1.8l G60. L'équipement de série était ici identique au reste de la gamme. Les signes distinctifs de cette série sont des monogrammes "Estoril" visibles sur la carrosserie, ainsi que des applats de couleurs sur les ailes avant et arrières. Cette série spéciale était chaussée des jantes Estoril.

    Storm: Série limitée destinée au marché britannique pour marquer la fin de la production du Corrado. La motorisation était le 2.9l VR6. La présentation était luxueuse : Tous les équipements étaient disponibles de série, les jantes étaient les toutes récentes "Solitude", qui par la suite se retrouveront sur d'autres modèles du constructeur. Les seuls signes distinctifs sont un monogramme "Storm" rouge accolé au VR6 arrière et un deuxième monogramme "Storm" rouge près du levier de vitesses.

    Remarque:

    Entre 1995 et 2008, Volkswagen a stoppé la production de coupés de série. Depuis l'automne 2008 une nouvelle génération de Scirocco est disponible.


    votre commentaire
  • Acceuil Volkswagen

    Logo de Volkswagen


    Logo de Volkswagen

    Création 1936-1937
    Dates clés 1974 : la Golf
    Fondateur(s) Ferdinand Porsche
    Personnages clés Ferdinand Porsche, Martin Winterkorn

    Forme juridique Société anonyme
    Slogan(s) « Das Auto [1] »
    Siège social Wolfsburg
    Drapeau de l'Allemagne Allemagne
    Direction Martin Winterkorn
    Activité(s) Automobile
    Produit(s) Véhicules particuliers et utilitaires
    Société(s) sœur(s) Audi, Bentley, Bugatti, Lamborghini, Seat, Skoda
    Effectif 342 502 (en 2004)
    Site d’entreprise http://www.volkswagen.com

    Chiffre d’affaires 106 milliard d'euros (2004)
    Principaux concurrents
    Citroën, Peugeot, Renault, Ford, Opel, Toyota
    modifier Consultez la documentation du modèle

    Volkswagen[2] est une marque automobile allemande créée en 1936 par le dictateur Adolf Hitler. Elle appartient à la société Volkswagen AG. L'actuel président de la marque, Martin Winterkorn, remplace Peter Hartz, qui a donné sa démission. Volkswagen veut dire littéralement en allemand « voiture du peuple ».

    Depuis l’été 2006[3], Volkswagen AG est contrôlé par son premier actionnaire Porsche, renouant ainsi avec l’histoire puisque c’est le bureau d’étude de Ferdinand Porsche qui avait dessiné les premiers modèles.

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } // ]]></script>

    Histoire 

    Les débuts

    Les origines de la marque se retrouvent dans l’Allemagne nazie des années 1930 avec le projet de construire la voiture populaire qu’allait devenir la Coccinelle : avant de désigner une société automobile, le mot Volkswagen désigne le modèle de véhicule qui allait faire le succès de l’entreprise - dans un contexte de « monoculture » qui allait d’ailleurs lui causer des difficultés dans les années 1970. Le désir d’Hitler était que chacun puisse s’offrir une voiture : en effet, l’Allemagne venait de se doter d’un large réseau d’autoroutes qui restaient désertes. L’ingénieur Ferdinand Porsche (18751951) (concepteur des célèbres "flèches d’argent" d’Auto Union qui trustaient, avec les Mercedes, les premières places de toutes les courses de l’époque), voyant dans ce projet l’occasion de réaliser son plus vieux rêve : fabriquer un modèle de voiture populaire, lui fit une proposition en ce sens, inspirée des modèles avant-gardistes Tatra de Hans Ledwinka. Les prototypes de ce véhicule appelé provisoirement KdF-Wagen (en allemand : Kraft durch Freude = « la force à travers la joie », également nom d’une des principales organisations du parti hitlérien), apparaissent en 1936 (les premiers modèles de présérie sont assemblés à Stuttgart dans les ateliers du bureau d’études Ferdinand Porsche). La voiture ainsi sortie d’usine avait déjà sa forme ronde spécifique et son architecture du tout à l’arrière : boîte-pont et moteur 4 cylindres à plat refroidi par air monté en porte-à-faux arrière, ainsi que des suspensions à barres de torsion. Le projet tel que le voulait Hitler s’accompagnait d’une formule de financement révolutionnaire basée sur la constitution d’une épargne par achat de timbres dans les bureaux du parti kdf.

    Erwin Komenda, l’ingénieur en chef de Porsche a développé la carrosserie du prototype qui est devenue celle de la Coccinelle telle qu’on la connaît aujourd’hui.

    La nouvelle usine dans la nouvelle ville de KdF-Stadt, aujourd’hui appelée Wolfsburg du nom du château sur les terres duquel elle fut construite, bâtie pour loger les ouvriers de l’usine, avait seulement produit une poignée de véhicules quand la Seconde Guerre mondiale débuta en 1939. Les premières versions ont ainsi été des véhicules militaires, le Kübelwagen, équivalent de la jeep américaine, le Schwimmwagen amphibie et le kommanderwagen qui utilise la carrosserie de la kdf. En 1936 Hitler renomme la société Volkswagen, la "voiture du peuple".

    L’après-Seconde Guerre mondiale 

    Après la guerre, la société doit essentiellement sa survie à un officier britannique, le Major Ivan Hirst (1916–2000). En avril 1945, la ville de KdF-Stadt et ses usines déjà largement détruites par les bombardements sont capturées par les américains qui en laissent l’administration aux britanniques. Hirst en est nommé directeur. Au départ, l’idée était de les utiliser pour la maintenance des véhicules militaires, et de récupérer les équipements en guise de réparation de guerre. Hirst peignit un des modèles en vert et en fit la démonstration devant l’état-major britannique. À court de moyens de transport légers, l’armée britannique passa une commande de 20 000 exemplaires. Les premiers modèles ont été livrés au personnel de la force d’occupation ainsi qu’aux postes allemandes. En 1946, 1 000 voitures sortaient de l’usine chaque mois, chiffre d’autant plus remarquable si on considère que l’outil de production était encore en réparation. Le toit et les fenêtres endommagés laissaient passer la pluie qui stoppait la production.

    L’avenir de la société était incertain : offerte aux grands constructeurs britanniques, américains et français, tous refusèrent de la reprendre. Après une visite du site de production, Sir William Rootes, à la tête du groupe britannique Rootes fit la prévision que le projet ne durerait pas deux ans de plus, et que cette voiture était « plutôt repoussante pour l’acheteur moyen, trop laide et trop bruyante ». Il ajouta : « si vous voulez construire des voitures dans cet endroit, vous êtes un imbécile, jeune homme ». Les représentants de Ford restaient tout aussi critiques : cette voiture ne valait rien selon eux. En France, Citroën entamait la production de la 2CV avec un design similaire, en Italie apparaissait la Fiat 500.

    À partir de 1948, Volkswagen est devenu une des figures de proue du « miracle économique allemand (Wirtschaftswunder) ». Heinrich Nordhoff (1899–1968), un ancien cadre de la société Opel est recruté pour diriger la société en 1948. En 1949, Hirst quitte la société qui est reformée sous la forme d’un conglomérat contrôlé par le gouvernement d’Allemagne de l’Ouest. À part l’introduction du « Type 2 » (fourgonnette, le « combi » ) et du véhicule de sport Karmann Ghia, Nordhoff a poursuivi la politique du modèle unique jusqu’à sa mort en 1968. La production de la « Type 1 » (la fameuse « coccinelle ») a augmenté considérablement, atteignant le million d’exemplaires produits en 1954.

    Pendant les années 1960 et au début des années 1970, malgré l’obsolescence grandissante du modèle, les exportations vers l’Amérique, des publicités innovantes et sa réputation ont permis à la « Cox » de battre le record de production jusqu’alors détenu par la Ford T. En 1973, 16 millions d’exemplaires ont été produits.

    Volkswagen a commencé à varier sa gamme en 1967 avec l’introduction de plusieurs modèles dits « type 3 », essentiellement des variations de carrosserie basées sur la mécanique de la « Type 1 », puis en 1969 avec les peu populaires « type 4 » (Volkswagen 411 et 412), monocorps, avec une transmission automatique et des moteurs à injection.

    De la Coccinelle à la Golf. [modifier]

    À la fin des années 1960, Volkswagen s’est trouvée en fâcheuse posture : les modèles type 3 et type 4 ont été des échecs commerciaux et la K70 (modèle initialement prévu pour la marque NSU) n’a pas su trouver son public. La production de la coccinelle devant bien cesser un jour, il fallait la remplacer, mais ce n’était pas si simple de remplacer une légende. La clé du problème a été l’acquisition en 1964 de Audi/Auto Union. La firme d’Ingolstadt avait l’expérience qui manquait à Volkswagen dans le domaine des roues avant motrices et des moteurs à refroidissement liquide. L’influence d’Audi a ouvert la voie à une nouvelle génération de Volkswagen, les Polo, Golf et Passat.

    De la production des Coccinelles, l’usine de Wolfsburg est passée à celle des Golf dès 1974, vendue aux États-Unis sous le nom VW Rabbit dans les années 1970 et 1980. La Golf se démarquait de la Coccinelle par bien des aspects, tant esthétiquement que par sa mécanique (sa ligne angulaire a été dessinée par l’italien Giorgetto Giugiaro). Elle s’inscrivait dans la lignée des petites citadines telles la Mini (1959) et la Renault 5 (1972). La Golf possédait un moteur transversal à refroidissement liquide situé à l’avant qui entraînait les roues avant. Elle possédait également un hayon, un format qui domine le marché depuis. La production des Coccinelles a continué depuis dans des usines plus modestes, en Allemagne jusqu’en 1978, puis au Brésil ou au Mexique où la dernière Coccinelle a été assemblée le 30 juillet 2003 à Puebla.


    Cinq générations de la Golf se sont succédé depuis. La première a été produite de l’été 1974 à la fin 1983. Son châssis a également servi à concevoir le coupé Scirocco et la berline Jetta. La production de la seconde génération de Golf et de sa version à coffre Jetta a débuté fin 1983 et s’est poursuivie jusqu’à la fin de l’année 1991. En 1991, la marque a lancé la troisième génération de Golf qui devient la voiture européenne de l’année en 1992. Les version précédentes avaient échoué à conquérir ce titre, se faisant devancer par la Citroën CX en 1975 et par la Fiat Uno en 1984. Pour cette troisième génération, la version berline a été renommé Vento. La quatrième version de la Golf a vu le jour à la fin 1997, son châssis servant de base à de nombreux autres modèles du groupe Volkswagen (Volkswagen Bora, Volkswagen New Beetle, Seat Toledo, Seat Leon I, Audi A3, Audi TT, Skoda Octavia). Ce modèle a échoué au concours de la voiture de l’année en Europe derrière l’Alfa Romeo 156 et l’Audi A6. La génération actuelle de Golf (la cinquième) a été lancée fin 2003 et a termine seconde au concours de la voiture de l’année derrière la Fiat Panda.

    Volkswagen a également une gamme de véhicules plus petits, représentés par la Polo lancée en 1976 (aussi vendue sous le nom d’Audi 50). Une version berline de la Polo, la Volkswagen Derby a également été commercialisée. Depuis, il y a eu 4 incarnations de la Polo : Phase 1 (1976–1981), Phase 2 (1981–1994, avec un restylage en 1990), Phase 3 (1994–2002, restylée en 1999) et l’actuelle Phase 4 lancée début 2002.

    À ces modèles il faut ajouter les coupés Scirocco et Corrado ainsi que la grande berline Passat. En 1998, Volkswagen a lancé la New Beetle, un véhicule moderne aux lignes évoquant la Coccinelle qui n’a pas connu le succès de son aînée. En 2002, la firme s’est lancée sur de nouveaux marchés comme les berlines de prestige avec la Phaeton et les 4×4 de loisirs avec le Touareg. En 2007 et fin 2008 , Volkswagen a démontré ces capacités a faire toutes sortes de modèles : le Tiguan et le tout nouveau coupé Scirocco en sont le parfait exemple .

    La société aujourd’hui [modifier]

    En juillet 2004, devant des résultats en chute, le patron de Volkswagen présente son plan de redressement et sa volonté de faire des économies. En 2004, la marque enregistrait une perte d’exploitation de 250 millions d’euros et une baisse de 30 % du bénéfice net du groupe. Au cours de l’année 2006, un vaste plan de restructuration est engagé, qui conduit à la suppression de près de 20 000 emplois en Allemagne et à l’arrêt de la production de la Golf sur le site de Forest-Bruxelles en Belgique.

    Au cours de l’été 2006, Porsche obtient l’autorisation de l’État allemand de prendre la minorité de blocage de Volkswagen en prenant ainsi le contrôle.

    En novembre 2006, Martin Winterkorn devient le nouveau patron de la marque. Ferdinand Piëch, petit-fils de Ferdinand Porsche, a repris la main « en plaçant son poulain »[4]

    L’entreprise dont le siège social est situé à Wolfsburg a réalisé en 2006, un chiffre d’affaires de 104,8 milliards d’euros. Son bénéfice net pour cette même année est de 2,75 milliards d’euros. Le groupe est détenu à hauteur de 42 6 % par le groupe Porsche (plus 31 5 % d'options[5]) et à 20,1 % par le land de Basse-Saxe[6]. Porsche cherche depuis l’été 2007 à porter sa participation dans le groupe à 50 % du capital[7]. Cette décision est l’amorce d’une importante restructuration et concentration dans l’industrie automobile européenne. En effet, le 3 mars 2008, Volkswagen annonce le rachat de la société suédoise de poids lourds Scania. Le nouvel ensemble industriel pèse plus de 150 milliards d’euros[8].

    Le 16 novembre 2007, Volkswagen, alors premier constructeur automobile européen, annonce que la société va investir, les trois années suivantes, 28,9 milliards d’euros dans de nouveaux modèles et des usines, pour réaliser la croissance nécessaire. La somme de 13,8 milliards d’euros va être investie dans la production de nouveaux modèles et la modernisation de modèles existants, alors que 7,1 milliards iront aux usines[9]. Volkswagen a une capitalisation boursière de 42,7 milliards d’euros. Le groupe ambitionne en effet de devenir à terme le premier constructeur automobile mondial[10].

    Le 25 octobre 2008, alors que les bourses mondiales s'effondrent, l'action de Volkswagen triple et sauve ainsi la Bourse de Frankfurt |(voir ici en détails). Ce jour là, Volkswagen devient pendant quelques heures, la première capitalisation mondiale devant Exxon mobil[11].

    Les marques rachetées par Volkswagen [modifier]

    - Bugatti

    - Lamborghini (1998)

    - Bentley

    Critiques et boycott de la marque [modifier]

    De part son origine nazie, Volkswagen suscite de nombreuses critiques. Son implication dans la vivisection est également un sujet à polémique[12].

    Géographie des ventes [modifier]

    Au cours du 1er semestre 2008, le groupe Volkswagen (Marques Volkswagen, Audi, Seat, Skoda a vendu 3.27 millions de véhicules dans le monde, ce qui le place en 4e position au classement des constructeurs, juste derrière le groupe Ford.

    Géographie des ventes de véhicules du groupe Volkswagen:

    • Europe= 1,84 million de véhicules vendus, dont 534000 en Allemagne et 282000 (+19% en 6 mois) en Europe centrale et orientale.
    • Les marchés émergents: République populaire de Chine = 531600 véhicules vendus (Chiffre désormais comparable à celui de l'Allemagne), soit +23 en 6 mois; Brésil = 316000 véhicules vendus, soit +22%. [13]

    Tiré en avant par la croissance des marchés émergents, le groupe Volkswagen détient maintenant le 3e rang mondial devant Ford.

    Modèles de Volkswagen [modifier]

    Modèles anciens [modifier]

    Modèles actuels [modifier]

    Concept-cars 

    Le logo de VW existe depuis 1938. Jusqu’en 1945, il fut accompagné du logo du DAf.

    Le logo VW 

    Officiellement, la paternité du fameux logo Volkswagen est attribuée à Franz Xaver Reimspiess, un proche collaborateur de Ferdinand Porsche. Cependant, Nikolai Borg, un Autrichien d'origine germano-suédoise, a affirmé en être l'auteur mais n'a entamé une procédure devant le tribunal de commerce de Vienne qu'en 2005, à l'âge de 85 ans...[14


    votre commentaire