• Acceuil Nissan

     

    Logo de Nissan

    Logo de Nissan Motor Company, Limited
    Nissan Jidosha Kabushiki-kaisha
    日産自動車株式会社


    Création 1932
    Personnages clés Kenjiro Den, Founder
    Rokuro Aoyama, Founder
    Meitaro Takeuchi, Founder
    Carlos Ghosn, CEO, President, Co-Chair
    Itaru Koeda, Co-Chair, Exec. VP
    Takeshi Isayama, Vice Chair
    Toshiyuki Shiga, COO
    Nobuo Okubo, Exec. VP, Director

    Action TSE: 7201
    NASDAQ : NSANY
    Siège social Chūō-ku, Tokyo
    Japon Japon
    Activité(s) industrie automobile
    Société mère Alliance Renault-Nissan
    Société(s) sœur(s) Renault
    Filiale(s) Infiniti
    Effectif 159,771 (2005)
    Site d’entreprise www.nissan-global.com

    Chiffre d’affaires 75.63 Milliards USD (2004)

    Nissan Motor Company, Limited (日産自動車株式会社, Nissan Jidōsha Kabushiki-kaisha?) ou Nissan (日産) est un constructeur automobile japonais.

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    Groupe 

    Le groupe Renault a pris une participation dans le constructeur nippon Nissan en 1999, date de la création de l'Alliance Renault-Nissan par l'échange de participations croisées. Le groupe Nissan est propriétaire de 15% du capital du groupe Renault. Inversement, le groupe Renault est aussi le premier actionnaire du groupe Nissan, avec 44% du capital.

    Au sein du groupe, Nissan est à la fois le plus performant (4,9% de part de marché mondial, contre 4,1% pour Renault+Samsung+Dacia), le plus productif et le plus profitable. Il est également présent sur tous les marchés du monde, contrairement à Renault (présent principalement en Europe occidentale, en Afrique du nord et accessoirement en Amérique latine)

    En 1999, Nissan était au bord de la faillite. Après la création de l'Alliance, le célèbre libano-franco-brésilien Carlos Ghosn a pris les rênes de l'entreprise japonaise en conduisant une politique très volontariste, qui est parvenue à sauver Nissan et à lui redonner son statut de fleuron de l'industrie automobile mondiale. Depuis 2005, Carlos Ghosn remplace Louis Schweitzer à la tête de Renault, tout en restant à la tête du groupe Nissan.

    Sites d'assemblage de véhicules de Nissan dans le monde

    Parce que Nissan n'est pas une filiale de Renault, les classements officiels distinguent toujours les deux constructeurs séparément, sinon l'Alliance Renault-Nissan serait en 2006 le quatrième constructeur d'automobiles au monde, derrière Toyota, GM et Ford, et devant Volkswagen, Daimler-Benz, Chrysler et Fiat.

    Histoire [modifier]

    Avant de devenir « Nissan » la société était connue sous le nom de « Datsun ». Les origines de la société Nissan Motor remontent au 1er juillet 1911, lorsqu'un technicien de 37 ans, Hashimoto Masujirô 橋本増治郎, fonda à Tokyo la société Kaishinsha 快進社. Trois ans plus tard la première automobile sortit des ateliers : la DAT qui possédait un moteur V-2 d'une puissance de dix chevaux et qui pouvait atteindre la vitesse maximale de 32km/heure. En 1919, une autre entreprise, la Jitsuyo Jidosha d'Osaka, lança la Lila, une petite voiture traditionnelle de 1,2 litre de cylindrée. L'entreprise, formée par la fusion de ces deux constructeurs japonais en 1925, s'appelait initialement Dat Jidosha-Seizo dont le siège fut à Osaka, puis prit le nom de Jidosha-Seizo en 1933 et fut finalement rebaptisée Nissan en 1934, après une fusion avec l'entreprise Nihon Sangyo (Lit. Industrie du Japon, abrégé Ni-San). Les voitures produites se sont d'abord appelées Datsun et Nissan, et le nom Datsun fut ensuite abandonné à la fin des années 1970.

    Nissan connut sa plus forte expansion dans les années 1970, lorsque l'industrie automobile japonaise toute entière se déployait. Nissan devint le numéro deux japonais de l'automobile, derrière Toyota. Depuis, l'ambition de l'entreprise a toujours été de rattraper son concurrent, sans jamais y parvenir.

    En 1989, Nissan lança une nouvelle marque aux États-Unis, Infiniti. Cette marque contribuera à augmenter sa présence sur le premier marché mondial.

    Dans les années 1990, l'entreprise, qui prenait du retard au niveau du développement et du marketing et dont l'identité devenait floue ne fit des bénéfices qu'une seule année dans la décennie, en 1996. Le 31 mars 1999, alors que Nissan est au bord de la faillite, une alliance avec le groupe Renault, second constructeur français, est conclue. Carlos Ghosn, le numéro deux de Renault à l'époque, prend la direction de Nissan, et devint le premier français à la tête d'une entreprise automobile japonaise.

    Le nouveau siège social en construction (Avril, 2008)

    Devenu PDG de Nissan, Carlos Ghosn entreprit le redressement de l'entreprise, avec un plan devenu célèbre, le « N-R-P », pour « Nissan-Revival-Plan ». En pratiquant une politique de réduction des coûts (notamment par la suppression de 21.000 emplois) et en tirant parti de la synergie avec son nouvel actionnaire Renault, Nissan est redevenue une entreprise compétitive au niveau mondial. L'Alliance Renault-Nissan est actuellement le quatrième groupe automobile du monde.

    Le nouveau siège social, une tour de quatre-vingt-dix-neuf mètres de haut et vingt-deux étages, située au bord de la baie de Yokohama, sera achevé en octobre 2009.

    Slogan 

    Français (France)

    • Shift

    Français (Canada)

    • Découvrir

    Anglais (Canada)

    • Shift

    Modèles Nissan 

    Nissan Pick-Up Dakar 2005

    Modèles anciens [modifier]

    Modèles actuels [modifier]

    Gamme au Japon
    • Nissan Pino (2007-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Suzuki Alto resbadgée. Première génération en 2007.
    • Nissan Otti (2006-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Mitsubishi eK rebadgée. Première génération en 2005, renouvellement en 2006.
    • Nissan Moco (2006-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Suzuki MR Wagon rebadgée. Première génération fin 2001, renouvellement début 2006.
    • Nissan Kix (2008-), mini 4x4 réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'un Mitsubishi Pajero Mini, simplement rebadgé.
    • Nissan March (2002-), appellation de la Nissan Micra au Japon.
    • Nissan Note (2005-), petit break à tendance monospace partageant, comme la Micra, sa plate-forme avec les Renault Clio et Renault Modus, lancé en janvier 2005 au Japon et en 2006 en Europe.
    • Nissan Cube (2002-), petite berline cubique au style fort, sur la même base que les Micra et Note. Gros succès au Japon.
    • Nissan Tiida (2004-), berline moyenne vendue dans une grande partie de l'Asie mais aussi aux États-Unis (sous le nom de Versa) et depuis l'automne 2007 dans certains pays d'Europe (mais pas en France).
    • Nissan Bluebird Sylphy (2005-), berline moyenne (4,61 m), renouvelée en décembre 2005 et réservée au Japon et à certains autres pays d'Asie.
    • Nissan Wingroad (2006-), break élaboré sur le même plate-forme que la Bluebird Sylphy. Dernier renouvellement au Japon fin 2006.
    • Nissan Lafesta (2004-), break de taille moyenne (4,53 m) sur la plate-forme de la Renault Mégane et réservé au marché japonais.
    • Nissan Teana (2003-), grande berline (4,85 m) à roues avant motrices qui devient SM5 et SM7 en Corée du Sud chez Samsung. Restylée en juin 2008.
    • Nissan Skyline (V35) (2006-), berline renouvelée en 2006 et vendue aux États-Unis sous le nom d'Infiniti G35
    • Nissan Fuga (2004-), grande berline propulsion ou à transmission intégrale, située au dessus de la Teana, qui devient M35 et M45 aux États-Unis chez Infiniti.
    • Nissan Cima (2001-), berline de luxe longue du gabarit d'une Mercedes Classe S.
    • Nissan Serena (2005-), troisième génération de cet utilitaire progressivement devenu monospace. Lancé en 2005, il est réservé au marché japonais et est également vendu chez Suzuki sous le nom Landy.
    • Nissan Elgrand (2001-), gros monospace renouvelé en 2001.
    • Nissan GT-R (2007-), coupé sportif à 4 roues motrices, ayant pour cible la Porsche 911 Turbo, lancé fin 2007 au Japon, courant 2008 aux États-Unis et au printemps 2009 en Europe.
    Gamme aux États-Unis
    Gamme en Europe

    Le 21 août 2007, Nissan a annoncé que tous ses modèles seront désormais équipés d'une jauge d'efficience énergétique permettant l'optimisation de la consommation de carburant. [1]


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  • Morris Mini

    Austin Mini Cooper (998 cm³) de 1968

    La Mini originale (1959-2000), en réalité Morris Mini Minor et Austin Seven, sorties simultanément, est une petite automobile révolutionnaire et pleine de caractère conçue pour British Motor Corporation (BMC) par Alec Issigonis (devenu Sir) (1906-1988) et fabriquée à Birmingham (Royaume-Uni).

    Elle fut vendue sous plusieurs marques Austin, Morris, MG, Wolseley, Riley, Leyland et sous licence italienne Innocenti (groupe Fiat), avant de devenir une marque propre.

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    Histoire

    • En 1955, Sir Leonard Lord, alors haut responsable de la British Motor Corporation (BMC), demande à Alec Issigonis, Lam et Laurence Pomeroy de concevoir une nouvelle voiture économique, à cause de la crise du canal de Suez. Leur bureau d'études se situe à Longbridge. Le code du projet est ADO15 pour Austin Drawing Office project number 15. Chacun pilote une petite équipe, et la réalisation de 3 concepts, le projet retenu sera celui de Alec Issigonis, qui était aidé de Chris Kingham et Jack Daniels. Le prototype sera produit seulement au bout de 8 mois d'études et verra le jour en octobre 1957. Ce premier véhicule a un moteur, avec le ventilateur côté droit, de 948 cm³. Il atteignait la vitesse de 145 km/h. A l'époque la concurrence a adopté des choix très différent, à savoir le « tout à l'arrière », moteur et propulsion, sur les 3 véhicules les plus vendus, à savoir la Volkswagen Coccinelle, la Fiat 500 et la Renault Dauphine. Pourtant, Alec Issigonis, qui appréciait les Citroen et leurs idées, choisit une orientation « tout à l'avant ». Le choix du moteur de la Morris Minor, est fait pour ne pas avoir à reconcevoir celui-ci. La révolution sera de mettre une boîte de vitesses sous le moteur en position transversale. Avec le choix de mettre des roues 10 pouces, solution elle aussi novatrice, le véhicule consacre 80 % de sa longueur à loger ses occupants et leurs bagages.
    • 1959 : conception très innovante pour l'époque (moteur transversal très compact, suspensions très originales, roues de petite taille, etc.) par Alec Issigonis pour British Motor Corporation (BMC)
    Rover Mini de 2000
    • Entre 1961 et 1969, il y eut aussi une version de la Mini produite avec un coffre plus grand nommée soit Wolseley Hornet (reprenant le nom d’une voiture de sport des années 1930), soit Riley Elf. La Mini elle-même pouvait être achetée dans plusieurs style de carrosserie - l’ordinaire deux portes, un break avec l’arrière s’ouvrant comme des portes de grange et une version avec un extérieur en bois similaire à celui de la Morris Minor.
    • Les années 1960 fut la période glorieuse avec des achats bien mis en scène par des vedettes, des victoires de la Mini Cooper en rallyes mais elle ne fut pas profitable à cause de méthodes de fabrication périmées nécessitant beaucoup de ressources humaines (pas de robot).
    • 1968 BMC, Standard-Triumph et Rover fusionnent et forment le groupe British Leyland
    • En 1970, un redesign fut effectué, la Mini Clubman.
    • La production totale fut de 5,3 millions.
    • En 1994 sous Bernd Pischetsrieder, BMW Group prit le contrôle de Groupe Rover, le successeur de British Leyland. Mais, en 2000, Rover continuait à faire des pertes colossales. BMW Group décida de céder Rover et MG à Phoenix, une nouvelle société britannique et Land Rover à Ford ; BMW Group garda la marque MINI et vend maintenant une toute nouvelle version. Le 26 mars 2008, Ford a vendu Land Rover au constructeur automobile indien Tata Motors.

    Données techniques [modifier]

    Intérieur de Morris Cooper
    • Empattement/longueur/largeur/hauteur (cm) : 203 / 305 à 317 (selon version) / 141 / 134 à 136 (selon version)
    • Poids : 620 à 700 kg, selon les versions
    • Derniers moteurs disponibles (1993-2000) : 4 cyl., 1 275 cm³, 61 ch à 5 700 tr/min ou 63 ch (Cooper).
    • Transmission : boîte manuelle à quatre vitesses ou boîte auto CVT (sauf Cooper)
    • Suspensions : amortisseur et cône caoutchouc, amort. télescopiques et cône caoutchouc (pour Clubman Estate, Morris Traveler, Austin Countryman et Mini Moke) et hydrolastic (certaines Cooper et Clubman 1275 GT de 1969 à 1976)
    • Freins : disques à l'avant et tambours à l'arrière pour les Cooper (disques de diamètre différent selon la taille des jantes : 7 ou 7'5 pouces pour une jante 10 pouces et 8'4 pouces pour une jante de 12 pouces) ; tambours à l'avant et à l'arrière pour le reste. Enfin disques et tambours pour tout le monde à partir de 1984.
    • 0 à 100 km/h : 11,5 secondes (Cooper)
    • Vitesse max. : 147 km/h (Cooper) et 160 km/h (Cooper S)
    • La voiture utilise un moteur traditionnel quatre cylindres refroidi à l'eau mais monté transversalement et abritant dans son carter la boîte de vitesses. C'est une traction avant. Ses minuscules roues de 10 pouces d'origine ont été remplacées par des 12 pouces à partir de 1984 (ou 13 en option, milieu des années 90). Placées aux quatre coins de la carrosserie, elles permettent une habitabilité correcte pour quatre personnes, même si l'espace arrière se révèle un peu juste pour deux adultes.

    Rallye Monte-Carlo [modifier]

    Six mois après l'entrée en scène de la Mini, BMC décide d'inscrire six voitures d'usine au célébrissime rallye Monte-Carlo. La mieux classée termine en 23e place. En 1961, le bilan est pire : aucune des trois voitures inscrites ne se présente à l'arrivée.

    Entre-temps, un certain John Cooper, créateur de la Formule 1 à moteur central, propose de « gonfler » la Mini. Il fait porter la cylindrée à 997 cm³, augmente le taux de compression, installe deux carburateurs et modifie l'échappement, faisant grimper la puissance de 34 à 55 chevaux. Il remplace les freins à tambours par des disques à l'avant, procurant à la petite boîte de 620 kg de sérieux atouts.

    En 1962, nouvelle tentative, avec de nouveaux pilotes prometteurs : Rauno Aaltonen et Timo Mäkinen. Aaltonen faillit y laisser sa peau lors d'un capotage à l'issue duquel sa Mini Cooper disparaît en fumée. Un an plus tard, BMC inscrit quatre Mini Cooper et cette fois-ci, la Mini pilotée par Aaltonen remporte les honneurs de la catégorie et se classe troisième au classement général, suivi de l'Irlandais Patrick (Paddy) Hopkirk, deuxième en catégorie et sixième au général. La Mini venait de faire la démonstration de son potentiel.

    Sacrée « S » [modifier]

    Mini Cooper dans le val d'enfer (Baux de Provence)

    Encouragé par ces résultats, BMC s'adresse de nouveau à Cooper : la cylindrée passe à 1 071 cm³, la puissance à 70 chevaux et la vitesse de pointe à 160 km/h. C'est la Mini Cooper S.

    Le 17 janvier 1964, c'est le départ du rallye Monte-Carlo et comme tous les ans, les voitures inscrites prennent le départ de différentes villes (Minsk, Glasgow, Paris, Francfort, Athènes, Varsovie, Lisbonne et Monaco) pour se rejoindre, 4 000 km plus loin à Reims. C'est là que commence le véritable rallye.

    À l'issue de la première étape de 597 km qui relie Reims à Saint-Claude et qui compte plusieurs « spéciales » (épreuves contre la montre sur routes publiques fermées à la circulation), la redoutable Ford Falcon à V8 de 4,7 litres de Bo Ljungfeldt domine par sa puissance, suivie de la petite Mini Cooper S rouge à toit blanc pilotée par Paddy Hopkirk, de l'imposante Mercedes 300, de la robuste Volvo 544 et, en cinquième place, d'une autre Mini Cooper S, celle de Timo Mäkinen.

    Les « spéciales » se poursuivent et, à la tombée de la nuit, la Falcon porte son avance à 65 secondes. Puis, c'est le redoutable Col de Turini, perché à plus de 1 600 mètres d'altitude. La neige s'en mêle, donnant à l'agile Mini un avantage indéniable. L'écart se rétrécit puis disparaît au profit de la Mini. Le « grand » Erik Carlsson est deuxième au volant de sa Saab, suivi de la Mini de Mäkinen, juste devant la Falcon.

    Arrive la dernière étape du Monte-Carlo : la course finale sur le circuit du Grand Prix, dans les rues de Monaco. La puissante Falcon de Ljungfeldt donne le maximum mais l'agile Mini compte suffisamment d'avance aux points pour remporter le rallye Monte-Carlo. Pour compléter le triomphe de la Mini, Mäkinen est quatrième et Rauno Aaltonen, septième. Les « trois mousquetaires » font entrer la Mini dans l'histoire du sport automobile.

    La consécration [modifier]

    En 1965, c'est au tour de Timo Mäkinen et de son co-pilote Paul Easter, à bord de la Cooper S arborant le nouveau moteur de 1 275 cm³ et 90 chevaux, d'inscrire leur nom au palmarès du « Monti », une édition particulièrement difficile à l'issue de laquelle, sur les 237 équipes ayant pris le départ, à peine 35 voitures se présentent à l'arrivée.

    En 1966, c'est le triplé Mini ! Mäkinen, Aaltonen et Hopkirk triomphent, mais sont disqualifiés après l'arrivée à cause d'une obscure question de phares non conformes au règlement, tout comme la Lotus Cortina classée quatrième, adjugeant la victoire « officielle », mais très contestée, à Citroën.

    Un an plus tard, les Mini se paient une revanche magistrale. Rauno Aaltonen, le « Finlandais volant » l'emporte, les cinq autres Mini inscrites terminant aussi la course.

    Trois victoires, et presque une quatrième, en quatre ans. La domination est totale, tant sur la terre battue que sur les sinueuses routes d'hiver et les circuits où le souvenir des petites puces britanniques se payant la tête des gros V8 américains reste encore vivant chez les adeptes.


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  • Essai auto Mini Cooper D 110 ch

    Caprice écolo... mais pas seulement !
    • Berline
    • Conso. : 3.9l / 100km
    • Puissance : 110ch
    • Prix : 20600€
    Les +
    • - Ligne et ambiance unique
    • - Plaisir de conduite
    • - Moteur efficace?
    Les -
    • - Habitabilité/aspects pratiques
    • - Tarifs et options élevées
    • - ?mais un peu trop présent !
    Notre avis
    13/20
    • Design17/20
    • Habitabilité / Modularité7/20
    • Confort11/20
    • Agrément de conduite16/20
    • Rapport qualité / prix12/20

    La plus chic des citadines hérite enfin d'un Diesel à la hauteur de son charme avec l'arrivée du 1.6 HDi de 110 ch d'origine PSA.

    Une vraie Success Story


    S'il est un succès automobile que des constructeurs envient, c'est bien celui de la Mini. Depuis la renaissance du mythe en 2001, cette «maxi-puce» réalisée par BMW n'en finit pas de faire tourner les têtes : pour preuve, elle vient d'atteindre le million d'unités vendues ! Difficile il est vrai de résister à cette ligne unique qui a fait de l'anglo-allemande la coqueluche des beaux quartiers (en attendant l'arrivée de la Fiat 500 ?). Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, la nouvelle version sortie fin 2006 reprend les recettes de la précédente, à commencer par les déclinaisons sportives Cooper et Cooper S. Esthétique certes, exaltant sans aucun doute, mais économique pas vraiment, surtout lorsqu'il s'agit de passer à la pompe. C'est donc dire si une version Diesel s'imposait !

    Sortez vos loupes !


    Une Mini Diesel certes, mais avant tout une Mini Cooper ! Pour maintenir sa réputation de sportive, la citadine enfile la tenue adéquate, tout en se dotant d'un bossage de capot un peu plus marqué, histoire de se démarquer de ses copines. Enfin si vous doutez encore que cette version sportive s'abreuve au gazole, l'entrée d'air aux contours arrondis est là pour vous convaincre définitivement. Le tour est joué : vous êtes bel et bien devant une nouvelle Mini ! Il faut toutefois avoir un sacré oeil de lynx pour discerner cette dernière : seules les dimensions (+ 60 mm en longueur, une ceinture de caisse remontée de 20 mm) et la face avant dotée d'une calandre arrondie et de phares plus globuleux, la différencient en effet de l'ancienne génération.

    Mini sauce HDi


    Sous le capot en revanche, les transformations sont beaucoup plus évidentes. Et notamment en ce qui concerne la version Diesel, qui troque le 1.4 d'origine Toyota pour un bloc PSA, rien de moins que le 1.6 HDi de 110 ch ! Et le résultat ne se fait pas attendre : ce Diesel souple et performant permet à la Mini de se frotter à des capots beaucoup plus longs. Bien aidé par un couple de 240 Nm disponible dès les plus bas régimes, il s'avère à son aise en ville comme sur route, où son punch et l'allonge de sa boîte 6 rapports font merveille. (9,9 s pour passer de 0 à 100 km/h). En revanche, son bilan sonore n'est pas exempt de tout reproche : quelques vibrations perceptibles vers 2.500 tr/min et un ronronnement typique d'un Diesel qui manque un peu de discrétion? surtout à bord d'une Mini.

    Appétit de moineau mais vraie Mini


    Si vous pesterez contre ces nuisances sonores, vous serez en revanche ravis de faire autant d'économies à la pompe, avec une consommation annoncée à seulement 4,4 l/100 km en cycle mixte. Des valeurs de chameau qui s'abaisseront même à 3,9 l/100 km (et 104 g/km CO2 !) dès le mois d'août grâce à l'arrivée du système Stop & Start, déjà présent sur certains blocs BMW. Pourtant, aussi sobre soit-il, ce Diesel met la motricité de la Mini à rude épreuve : son couple généreux engendre des réactions au sein d'une direction consistante mais peut-être un poil lourde pour Madame, surtout à l'heure de manoeuvrer. Mais pas d'inquiétude ! La Mini conserve un agrément de conduite de haut niveau. Espiègle et agile, ce kart de série reste toujours un régal à manoeuvrer, rivé au sol avec ses jantes de 17".

    Une ambiance unique


    Evidemment pour le confort vous repasserez, surtout avec de telles bottes de sept lieues. Et l'amortissement sautillant n'arrangera rien à votre affaire. Mais après tout, vous êtes dans une Mini, pas dans un Pullman ! Heureusement, vous vous consolerez vite en profitant de l'ambiance intérieure unique. Difficile il est vrai de ne pas craquer devant une présentation aussi aguicheuse, entre le gros compteur central et les multiples détails tous plus craquants les uns que les autres. Et que dire des superbes sièges en cuir? sinon qu'ils sont facturés en option (1.500 ?) ! Ce style inimitable vous fera également oublier les quelques fautes de goût de cette Mini, telles que ses plastiques parfois plus toc que chic, ses places arrière réservés au gabarits? mini ou encore son coffre symbolique.

    Chic et chère !


    Vous l'aurez compris, si ce Diesel devrait représenter la majeure partie de ses ventes, il ne modifie en rien le caractère espiègle de la Mini ! Et c'est tant mieux car c'est ce mélange de qualités et de défauts qui fait tout le charme de cette anglo-saxonne. Heureusement qu'on l'aime d'ailleurs, parce qu'à 20.500 ?, la belle n'est pas donnée. Surtout qu'il est souvent impossible de résister à la tentation des nombreuses options, histoire de rouler branché : outre la sellerie cuir déjà citée, citons aussi les jantes alliage 17» (dès 1.300 ?), le toit ouvrant électrique (1.050 ?), le GPS (2.200 ?) sans oublier le kit d'éclairage intérieur (180 ?) et j'en passe? Du coup, le prix s'envole, mais bon ce n'est quand même pas tous les jours qu'une auto aussi attachante s'offre à vous !


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  • Acceuil Mini

    Mini Cooper (MINI 2)

    MINI est une marque automobile de BMW Group.

    MINI 2 [modifier]

    MINI Cabrio (MINI 2)

    Lancée en 2001, la nouvelle version MINI (souvent dénommée MINI 2) est conçue par BMW Group.

    Elle est construite dans l'usine de Leipzig en Allemagne. Le moteur 1,6 litre des versions essence est produit par Daimler Chrysler au Brésil.

    Le style retenu est astucieusement évocateur du profil de l’originale (Mini 1) bien que les nouvelles dimensions aient été fortement accrues : plus 60 cm en longueur, plus 27 cm en largeur. La puissance des moteurs s'est fortement accrue, mais le poids a lui aussi suivi la même pente et dépasse nettement la tonne (soit près du double de la version originelle).

    Elle est disponible en quatre versions : MINI One, MINI One D (avec un moteur diesel Toyota), MINI Cooper et MINI Cooper S (disposant d'un compresseur)

    Un modèle décapotable, « le Cabrio », est apparu en 2004. Il existe aussi des versions « extra large » (à la manière de la voiture du loup de Tex Avery).

    La boîte automatique, de type CVT avec six vitesses factices, est disponible sur les deux motorisations essence, issues d'un même bloc de 1,6 L : la One, d'une puissance de 90 ch, la Cooper, de 115 ch. La Cooper S, à partir de la version 170 ch, a droit à la plus fiable boite Steptronic avec palettes/volant. La version diesel, la One D, uniquement équipée d'une boîte manuelle, délivre d'abord 75 ch, puis 88 ch.

    La Mini dispose d'une déclinaison très sportive, la Cooper S John Cooper (constructeur automobile)John Cooper Works (préparateur dont les modifications sont garanties par BMW et son réseau), reposant toujours avec le petit moteur 1,6L à compresseur poussé à 210 ch. Elle peut disposer de personnalisations intérieures et extérieures très spécifiques. Ses suspensions durcies sont souvent qualifiées de « bouts de bois », elles sont calibrées pour la piste plus que pour la route.

    En juin 2004, un restylage a opéré une fiabilisation générale, et quelques centaines de modifications la plupart invisibles, les plus importantes sont les suivantes :


    Intérieur:

    - Tableau de bord en 5 parties restylé en 3 parties

    - restylage léger de la climmatisation et du poste radio

    - poste radio boost avec lecture des CD MP3

    - Ajout pare soleil conducteur latéral pour le toit ouvrant

    - Boudins de portes plus grands

    - Suppression de l'horloge au plafond

    - Changement esthétique de la clef de contact (avec ouverture du coffre)

    - Boite à gants de série

    - Passage au lecteur de DVD pour les GPS d'origine

     

    Extérieur:

    - restylage des PC avant et arrière.

    - Restylage des blocs optiques

    - Restylage de la barre chromée de la calandre avant


    En octobre 2005, trois packs très fournis ont été disponibles : MINI Seven (MINI One et Cooper), MINI Park Lane (MINI Cooper et Cooper S) et MINI Checkmate (MINI Cooper S, et Cooper sauf France).

    Le succès phénoménal de la MINI 2 a été étudié par toutes les grandes marques automobiles mondiales. Partant d'une production devenue confidentielle (les Mini 1 étaient en perdition au tournant du millénaire), BMW Group a réussi à vendre plus de 800 000 exemplaires en version MINI 2. Est-ce grâce à sa qualité de finition (meilleure que celle de ses principaux concurrents), à ses qualités dynamiques (les roues déportées aux 4 coins, l'« effet kart » en virage) ou à sa liste d'options très fournie ? L'image positive dégagée par ce petit véhicule permet, semble-t-il, aux clients de passer outre son petit coffre, sa présentation marginale, son prix exclusif, son manque relatif de confort et sa consommation peu raisonnable.

     

    Mini 3 

    Mini III Cooper D

    Une nouvelle version Mini (dite Mini 3) a été finalement lancée fin 2006. Les premières versions disponibles furent la Mini Cooper S (175 ch) et la Mini Cooper (120 ch). Suivent, début 2007, les Mini One (95 ch) et Mini Cooper D (110 ch). Seuls les connaisseurs peuvent distinguer la Mini 2 de la Mini 3 d'un coup d'œil. Pourtant, BMW Group n'a pas fait dans la réutilisabilité, seuls le toit et le pare-brise seraient identiques avec la Mini 2. La prise d'air sur le capot de la Cooper S est maintenue (elle est apparue sur les Mini 2 Cooper S) mais elle ne fait que dégrader l'aérodynamisme car elle est obstruée dans les versions actuellement commercialisées !

    Depuis fin 2007, une Mini de type Break appelée Clubman est disponible. C'est un modèle pourvu d'une originalité très particulière : il comporte une demi porte arrière sur le côté opposé au conducteur mais pas de l'autre côté (car on y trouve le réservoir de carburant).

    L'intérieur est une évolution de celui de la Mini 2. Le tachymètre posé au centre du tableau de bord est devenu gigantesque (sans doute pour pouvoir loger l'option GPS qui dispose maintenant d'un écran plus important). Si la qualité des matériaux utilisés semble en hausse par rapport à la version précédente, l'ergonomie reste encore spéciale. Les places arrières offrent un espace limité pour les jambes (sauf si le siège avant est très avancé), ce n'est pas une surprise, mais la hauteur entre l'assise et le toit de la voiture est bonne (les grands ne se cognent pas la tête). En bref, la Mini n'est toujours pas une « voiture à vivre » pour reprendre le slogan Renault, elle se prend comme elle est, avec ses originalités (comme les interrupteurs chromés type « aviation » par exemple), son style voyant, ses lacunes d'équipement (pas de manomètre pour surveiller la surpression du turbo dans la Cooper S entre autres, même en option). il y a une option d'ambiance d'éclairage intérieur pouvant passer dans différentes teintes suivant l'humeur. La fameuse liste des options (imbattable dans sa catégorie de véhicule) en comporte de nombreuses qui seraient du plus mauvais goût dans une autre voiture (excès de chrome par exemple), mais dans une Mini...

    La direction des Mini 3 est entièrement électrique (solution provenant de l'équipementier Jtekt). Le moteur d'assistance ne fait pas appel à une assistance hydraulique (plus encombrante, plus lourde et nécessitant la surveillance de la qualité du fluide). Cette gestion est asservie par la vitesse du véhicule mesurée en sortie de boîte de vitesse. Cette assistance est discrète dès que la voiture roule, ce qui évite l'impression de direction molle particulièrement inadaptée sur les véhicules sportifs, de plus certaines stratégies s'activant sous certaines conditions (vitesse volant, accélération...) permettent un ressenti volant proche de celui d'une direction sans assistance. La colonne de direction est réglable en hauteur et en profondeur, ce qui n'est pas toujours le cas dans les petits véhicules de ville.

    Mini III Cooper D

    L'accélérateur est « électrique ». Sa sensibilité semble correctement réglée par défaut.

    Les moteurs essence des Cooper et Cooper S ont, quant à eux, été complètement revus (seule la cylindrée ne change pas). Ils sont maintenant le fruit d'un travail conjoint entre BMW Group (développement et ingénierie) et PSA (production à Douvrin (62) à la Française de mécanique). Ces moteurs sont équipés d'un carter semelle et d'une pompe à huile performante (à débit variable en fonction de la pression) généralement installé dans les moteurs sportifs de haut de gamme. De même la pompe à eau, avec son mécanisme de débrayage, marque la volonté de BMW de doter la petite Mini d'un « bouilleur » performant. Le résultat est très probant, le couple est particulièrement élevé dans la version Cooper S ce qui permet de réaliser des accélérations dignes de véhicules de catégories supérieures (on la compare souvent aux Golf GTi ou Clio RS par exemple). Le bruit reste soigné même si certains regrettent déjà le sifflement de perceuse du compresseur des Mini 2 Cooper S (son d'une Mini3 Cooper S).

    Mini III Cooper S

    La version sportive (Cooper S) repose maintenant sur un turbocompresseur (à la place du compresseur de la Mini 2 Cooper S) avec une fonction d'overboost, le couple passe rapidement de 240 Nm à 260 Nm en appuyant brutalement à fond sur l'accélérateur et permet de meilleures accélérations (par surpression du tubocompresseur). Le moteur est dimensionné pour cette brutalité, par exemple, les soupapes sont remplies de sodium (technique fréquente dans les moteurs turbocompressés). Il est possible de sélectionner, en option, un différentiel à glissement limité (taré à 25 %, piloté par le couple, l'écart de couple entre les deux demi arbres avants ne peut pas dépasser 75 %), il peut résoudre certains problèmes de motricité notamment en sortie de virage, mais attention au coup de volant nécessaire pour rattraper son effet ! L'injection est directe et haute pression. Cette version peut être conçue avec un châssis sport (raffermissement des suspensions) et dispose d'une option (déconnectable) pour rendre la direction plus ferme et l'accélérateur plus sensible. La Cooper S procure de vraies sensations de conduite sportive, en particulier, elle dispose de très bonnes aptitudes à passer les virages (l'« effet kart » de la Mini2 est bien conservé). La boîte de vitesses (réalisée par Getrag) est très bien étagée, les performances en accélération sont bonnes tout en préservant un 6e rapport suffisamment long pour conserver un régime moteur supportable pour les longs trajets sur autoroute (à 130 km/h). Les reprises sont meilleures qu'avec la Mini2 Cooper S, le turbo et l'injection directe haute pression font leur effet. Toutefois, certains reprochent à ce moteur turbo de « ne plus rien avoir » après 5 500 tr/min. Mais la future version musclée de John Cooper Works (le préparateur « maison ») pourrait bien changer cela, en effet, la solution existe : BMW Group fabrique déjà des moteurs turbo à plus haut régime max (pour la série 3 notamment). Seuls les freins restent un cran en dessous. Ils manquent d'endurance en conduite très musclée. Mais il semble que John Cooper Works (encore une fois) ait une option améliorant ce point.

    La version Cooper dispose d'un moteur 16 soupapes atmosphérique sophistiqué, notamment, le traditionnel papillon de gaz a été remplacé par une technologie pointue d'admission dite Valvetronic chez BMW, les arbres à cames d'admission et d'échappement sont tous les deux à calage variable et l'injection est multipoint. Toutefois, cette version manque de « nerfs » à bas régime. Il faut vraiment la pousser dans les tours pour qu'elle montre sa nervosité.

    La Mini One se contente d'un petit 1,4 L à puissance contenue, seulement 95 ch. La version diesel, la Mini One D passe de 88 ch, sur la Mini2, à 110 ch. C'est un moteur Diesel Peugeot de 1,6 L en version HDI.

    La bonne surprise est que cette petite voiture, plutôt assez gourmande en carburant dans sa version Mini 2, devient plutôt une « bonne élève » (environ 20 % de baisse de consommation pour les Cooper et Cooper S). BMW sort du lot, en effet, la hausse régulière de consommation à chaque changement de modèle est un très gros point faible de la concurrence (le poids de leurs modèles diverge). Les masses non suspendues (très importantes pour la tenue de route) sont plus légères qu'avant, notamment grâce à l'utilisation partielle de pièces en aluminium.

    La Mini Cooper D développe 115 ch et est particulièrement sobre en consommation, ce qui lui permet d'avoir un taux émission de CO2 de seulement 104g/km (idem Toyota Prius Hybride!).

    La Mini 3 reste une petite voiture même si ses cotes ont légèrement augmenté par rapport à une Mini 2. Le confort est plutôt un peu meilleur que celui d'une Mini 2 (ce n'est pas une référence de grand confort, de plus attention aux options qui dégradent le confort, grandes roues de 17 pouces, châssis sport). Le coffre reste, quant à lui, un des plus petit de la catégorie des citadines : seulement 160 l, juste 10 l de plus qu'une Smart Fortwo ! Tout cela contribue finalement à l'image décalée de cette petite citadine hors norme.

    Principales caractéristiques des premières Mini3
    Caractéristiques

    Puissance (maxi)
    Régime (maxi)
    Couple (maxi)
    Overboost
    120 ch (88 kW) à 6 000 tr/min
    Donnée manquante
    160 Nm à 4 250 tr/min
    -
    175 ch (128 kW) à 5 500 tr/min
    6 100 tr/min
    240 Nm entre 1 600-5 000 tr/min
    260 Nm entre 1 700-4 500 tr/min
    Transmission
    Différentiel à glissement limité
    Antipatinage
    Contrôle de trajectoire
    Roues avants
    -
    ASC+T1 (déconnectable) en option
    DSC² (déconnectable) en option
    Roues avants
    En option (taré à 25 %)
    ASC+T1 (déconnectable)
    DSC² (déconnectable) en option
    Boîte de vitesse 6 vitesses (Getrag) 6 vitesses (Getrag)
    Cylindrée
    Soupapes
    Bloc - Culasse
    Entraînement
    Refroidissement
    Lubrification
    1 598 cm³ (4 cyl. en ligne)
    4 par cyl.
    Alliage - Alliage
    Chaîne
    Pompe à eau débrayable
    Pompe de cylindrée variable
    1 598 cm³ (4 cyl. en ligne)
    4 par cyl.
    Alliage - Alliage
    Chaîne
    Pompe à eau débrayable
    Pompe de cylindrée variable
    Arbre(s) à cames
    Admission
    Technologie
    Échappement
    Technologie
    Injection
    Rapport volumétrique
    Double
    Calage variable
    Vanos + Valvetronic
    Calage variable
    Vanos
    Indirecte multipoint
    11,0:1
    Double
    Calage variable
    Vanos
    Calage fixe
    -
    Directe à rampe commune
    10,5:1
    Alimentation
    Mode
    Échangeur
    Atmosphérique
    -
    -
    Turbocompressée (+0,8 bar)
    Twin Scroll
    Air/Air
    Pneus
    Type
    Surmonte opt.
    Type
    175/65 R15
    Run flat
    195/55 R16
    Run flat
    195/55 R16
    Run flat
    205/45 R17
    Run flat
    Freins avant
    Étriers flottants
    Freins arrière
    Étriers flottants
    Anti blocage
    Disques ventilés - 280 mm
    1 piston
    Disques - 259 mm
    1 piston
    ABS³
    Disques ventilés - 294 mm
    1 piston
    Disques - 259 mm
    1 piston
    ABS³
    Direction Crémaillère (EPAS4) Crémaillère (EPAS4)
    Suspension avant
    Suspension arrière
    Jambes McPherson + Barre antiroulis
    Essieu multibras + Barre antiroulis
    Jambes McPherson + Barre antiroulis
    Essieu multibras + Barre antiroulis
    Puissance fiscale (France)
    Places
    7 cv
    4
    10 cv
    4
    Réservoir 40 L 50 L
    Volume du coffre 160 dm³ 160 dm³
    Vitesse maximale
    0 à 100 km/h
    Kilomètre départ arrêté
    203 km/h (données BMW)
    9,1 s (données BMW)
    30,2 s (données BMW)
    225 km/h (données BMW)
    7,1 s (données BMW)
    27,5 s (données BMW)
    Consommation en cycle mixte
    Type de carburant
    Émission de CO2
    5,8 L/100km (données BMW)
    Essence 91-98 RON
    139 g/km
    6,9 L/100km (données BMW)
    Essence 91-98 RON
    164 g/km
    Poids à vide 1 065 kg (données BMW) 1 130 kg (données BMW)
    Aérodynamisme SCx (m2) - Cx Données manquantes 0,71 - 0,36 (données BMW)
    Dimension en mm (L/l/h) 3 699/1 683/1 407 3 714/1 683/1 407

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  • Mercedes-Benz Classe GLK

     

    Mercedes-Benz Classe GLK
    Mercedes-Benz Classe GLK
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Classe SUV
    Carrosseries 5 portes, 5 places
    Usines d'assemblage Brême , Brême , Allemagne
    Performances
    Motorisations Essence :
    - V6 3.0 L
    - V6 3.5 L
    Diesel :
    - 4 cyl. 2.1 CDi
    - V6 3.0 L CDi
    Puissance (ch) 170 à 272 ch
    Puissance (kW) 125 à 200 kW
    Couple 306 à 510 Nm
    Vitesse maximale 210 à 230 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 6,7 à 7,6 s
    Consommation 8,4 à 10,8 ℓ/100 km
    Émission de CO2 220 à 251 g/km
    Transmission Intégrale
    BVA 7 rapports
    Dimensions
    Longueur 4 525 mm
    Largeur 1 855 mm
    Hauteur 1 699 mm
    Empattement 2 755 mm
    Coffre 450 à 1 550 dm³
    Poids 1 830 à 1 880 kg
    Chronologie des modèles (2008 -)
    Aucun
    Aucun
    Aucun


    La Mercedes-Benz Classe GLK est un SUV lancé fin 2008 en France par le groupe Mercedes-Benz. La Classe GLK repose sur la plate-forme d'un C rallongée. Elle offre 5 places assisses et reprend, par ailleurs, le tableau de bord de la C. Elle est construite dans la même usine que la Classe C et la Classe SLK à Brême, en Allemagne.

    Disponible avec deux V6 essences, un 3.0 L et un 3.5 L de 231 ch et 272 ch ; et deux moteurs diesels: un 4 cylindres en ligne 2.1 L CDi de 170 ch et un V6 3.0 L CDi de 224 ch . La gamme débute à 45900€.



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