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    Mini Cooper (MINI 2)

    MINI est une marque automobile de BMW Group.

    MINI 2 [modifier]

    MINI Cabrio (MINI 2)

    Lancée en 2001, la nouvelle version MINI (souvent dénommée MINI 2) est conçue par BMW Group.

    Elle est construite dans l'usine de Leipzig en Allemagne. Le moteur 1,6 litre des versions essence est produit par Daimler Chrysler au Brésil.

    Le style retenu est astucieusement évocateur du profil de l’originale (Mini 1) bien que les nouvelles dimensions aient été fortement accrues : plus 60 cm en longueur, plus 27 cm en largeur. La puissance des moteurs s'est fortement accrue, mais le poids a lui aussi suivi la même pente et dépasse nettement la tonne (soit près du double de la version originelle).

    Elle est disponible en quatre versions : MINI One, MINI One D (avec un moteur diesel Toyota), MINI Cooper et MINI Cooper S (disposant d'un compresseur)

    Un modèle décapotable, « le Cabrio », est apparu en 2004. Il existe aussi des versions « extra large » (à la manière de la voiture du loup de Tex Avery).

    La boîte automatique, de type CVT avec six vitesses factices, est disponible sur les deux motorisations essence, issues d'un même bloc de 1,6 L : la One, d'une puissance de 90 ch, la Cooper, de 115 ch. La Cooper S, à partir de la version 170 ch, a droit à la plus fiable boite Steptronic avec palettes/volant. La version diesel, la One D, uniquement équipée d'une boîte manuelle, délivre d'abord 75 ch, puis 88 ch.

    La Mini dispose d'une déclinaison très sportive, la Cooper S John Cooper (constructeur automobile)John Cooper Works (préparateur dont les modifications sont garanties par BMW et son réseau), reposant toujours avec le petit moteur 1,6L à compresseur poussé à 210 ch. Elle peut disposer de personnalisations intérieures et extérieures très spécifiques. Ses suspensions durcies sont souvent qualifiées de « bouts de bois », elles sont calibrées pour la piste plus que pour la route.

    En juin 2004, un restylage a opéré une fiabilisation générale, et quelques centaines de modifications la plupart invisibles, les plus importantes sont les suivantes :


    Intérieur:

    - Tableau de bord en 5 parties restylé en 3 parties

    - restylage léger de la climmatisation et du poste radio

    - poste radio boost avec lecture des CD MP3

    - Ajout pare soleil conducteur latéral pour le toit ouvrant

    - Boudins de portes plus grands

    - Suppression de l'horloge au plafond

    - Changement esthétique de la clef de contact (avec ouverture du coffre)

    - Boite à gants de série

    - Passage au lecteur de DVD pour les GPS d'origine

     

    Extérieur:

    - restylage des PC avant et arrière.

    - Restylage des blocs optiques

    - Restylage de la barre chromée de la calandre avant


    En octobre 2005, trois packs très fournis ont été disponibles : MINI Seven (MINI One et Cooper), MINI Park Lane (MINI Cooper et Cooper S) et MINI Checkmate (MINI Cooper S, et Cooper sauf France).

    Le succès phénoménal de la MINI 2 a été étudié par toutes les grandes marques automobiles mondiales. Partant d'une production devenue confidentielle (les Mini 1 étaient en perdition au tournant du millénaire), BMW Group a réussi à vendre plus de 800 000 exemplaires en version MINI 2. Est-ce grâce à sa qualité de finition (meilleure que celle de ses principaux concurrents), à ses qualités dynamiques (les roues déportées aux 4 coins, l'« effet kart » en virage) ou à sa liste d'options très fournie ? L'image positive dégagée par ce petit véhicule permet, semble-t-il, aux clients de passer outre son petit coffre, sa présentation marginale, son prix exclusif, son manque relatif de confort et sa consommation peu raisonnable.

     

    Mini 3 

    Mini III Cooper D

    Une nouvelle version Mini (dite Mini 3) a été finalement lancée fin 2006. Les premières versions disponibles furent la Mini Cooper S (175 ch) et la Mini Cooper (120 ch). Suivent, début 2007, les Mini One (95 ch) et Mini Cooper D (110 ch). Seuls les connaisseurs peuvent distinguer la Mini 2 de la Mini 3 d'un coup d'œil. Pourtant, BMW Group n'a pas fait dans la réutilisabilité, seuls le toit et le pare-brise seraient identiques avec la Mini 2. La prise d'air sur le capot de la Cooper S est maintenue (elle est apparue sur les Mini 2 Cooper S) mais elle ne fait que dégrader l'aérodynamisme car elle est obstruée dans les versions actuellement commercialisées !

    Depuis fin 2007, une Mini de type Break appelée Clubman est disponible. C'est un modèle pourvu d'une originalité très particulière : il comporte une demi porte arrière sur le côté opposé au conducteur mais pas de l'autre côté (car on y trouve le réservoir de carburant).

    L'intérieur est une évolution de celui de la Mini 2. Le tachymètre posé au centre du tableau de bord est devenu gigantesque (sans doute pour pouvoir loger l'option GPS qui dispose maintenant d'un écran plus important). Si la qualité des matériaux utilisés semble en hausse par rapport à la version précédente, l'ergonomie reste encore spéciale. Les places arrières offrent un espace limité pour les jambes (sauf si le siège avant est très avancé), ce n'est pas une surprise, mais la hauteur entre l'assise et le toit de la voiture est bonne (les grands ne se cognent pas la tête). En bref, la Mini n'est toujours pas une « voiture à vivre » pour reprendre le slogan Renault, elle se prend comme elle est, avec ses originalités (comme les interrupteurs chromés type « aviation » par exemple), son style voyant, ses lacunes d'équipement (pas de manomètre pour surveiller la surpression du turbo dans la Cooper S entre autres, même en option). il y a une option d'ambiance d'éclairage intérieur pouvant passer dans différentes teintes suivant l'humeur. La fameuse liste des options (imbattable dans sa catégorie de véhicule) en comporte de nombreuses qui seraient du plus mauvais goût dans une autre voiture (excès de chrome par exemple), mais dans une Mini...

    La direction des Mini 3 est entièrement électrique (solution provenant de l'équipementier Jtekt). Le moteur d'assistance ne fait pas appel à une assistance hydraulique (plus encombrante, plus lourde et nécessitant la surveillance de la qualité du fluide). Cette gestion est asservie par la vitesse du véhicule mesurée en sortie de boîte de vitesse. Cette assistance est discrète dès que la voiture roule, ce qui évite l'impression de direction molle particulièrement inadaptée sur les véhicules sportifs, de plus certaines stratégies s'activant sous certaines conditions (vitesse volant, accélération...) permettent un ressenti volant proche de celui d'une direction sans assistance. La colonne de direction est réglable en hauteur et en profondeur, ce qui n'est pas toujours le cas dans les petits véhicules de ville.

    Mini III Cooper D

    L'accélérateur est « électrique ». Sa sensibilité semble correctement réglée par défaut.

    Les moteurs essence des Cooper et Cooper S ont, quant à eux, été complètement revus (seule la cylindrée ne change pas). Ils sont maintenant le fruit d'un travail conjoint entre BMW Group (développement et ingénierie) et PSA (production à Douvrin (62) à la Française de mécanique). Ces moteurs sont équipés d'un carter semelle et d'une pompe à huile performante (à débit variable en fonction de la pression) généralement installé dans les moteurs sportifs de haut de gamme. De même la pompe à eau, avec son mécanisme de débrayage, marque la volonté de BMW de doter la petite Mini d'un « bouilleur » performant. Le résultat est très probant, le couple est particulièrement élevé dans la version Cooper S ce qui permet de réaliser des accélérations dignes de véhicules de catégories supérieures (on la compare souvent aux Golf GTi ou Clio RS par exemple). Le bruit reste soigné même si certains regrettent déjà le sifflement de perceuse du compresseur des Mini 2 Cooper S (son d'une Mini3 Cooper S).

    Mini III Cooper S

    La version sportive (Cooper S) repose maintenant sur un turbocompresseur (à la place du compresseur de la Mini 2 Cooper S) avec une fonction d'overboost, le couple passe rapidement de 240 Nm à 260 Nm en appuyant brutalement à fond sur l'accélérateur et permet de meilleures accélérations (par surpression du tubocompresseur). Le moteur est dimensionné pour cette brutalité, par exemple, les soupapes sont remplies de sodium (technique fréquente dans les moteurs turbocompressés). Il est possible de sélectionner, en option, un différentiel à glissement limité (taré à 25 %, piloté par le couple, l'écart de couple entre les deux demi arbres avants ne peut pas dépasser 75 %), il peut résoudre certains problèmes de motricité notamment en sortie de virage, mais attention au coup de volant nécessaire pour rattraper son effet ! L'injection est directe et haute pression. Cette version peut être conçue avec un châssis sport (raffermissement des suspensions) et dispose d'une option (déconnectable) pour rendre la direction plus ferme et l'accélérateur plus sensible. La Cooper S procure de vraies sensations de conduite sportive, en particulier, elle dispose de très bonnes aptitudes à passer les virages (l'« effet kart » de la Mini2 est bien conservé). La boîte de vitesses (réalisée par Getrag) est très bien étagée, les performances en accélération sont bonnes tout en préservant un 6e rapport suffisamment long pour conserver un régime moteur supportable pour les longs trajets sur autoroute (à 130 km/h). Les reprises sont meilleures qu'avec la Mini2 Cooper S, le turbo et l'injection directe haute pression font leur effet. Toutefois, certains reprochent à ce moteur turbo de « ne plus rien avoir » après 5 500 tr/min. Mais la future version musclée de John Cooper Works (le préparateur « maison ») pourrait bien changer cela, en effet, la solution existe : BMW Group fabrique déjà des moteurs turbo à plus haut régime max (pour la série 3 notamment). Seuls les freins restent un cran en dessous. Ils manquent d'endurance en conduite très musclée. Mais il semble que John Cooper Works (encore une fois) ait une option améliorant ce point.

    La version Cooper dispose d'un moteur 16 soupapes atmosphérique sophistiqué, notamment, le traditionnel papillon de gaz a été remplacé par une technologie pointue d'admission dite Valvetronic chez BMW, les arbres à cames d'admission et d'échappement sont tous les deux à calage variable et l'injection est multipoint. Toutefois, cette version manque de « nerfs » à bas régime. Il faut vraiment la pousser dans les tours pour qu'elle montre sa nervosité.

    La Mini One se contente d'un petit 1,4 L à puissance contenue, seulement 95 ch. La version diesel, la Mini One D passe de 88 ch, sur la Mini2, à 110 ch. C'est un moteur Diesel Peugeot de 1,6 L en version HDI.

    La bonne surprise est que cette petite voiture, plutôt assez gourmande en carburant dans sa version Mini 2, devient plutôt une « bonne élève » (environ 20 % de baisse de consommation pour les Cooper et Cooper S). BMW sort du lot, en effet, la hausse régulière de consommation à chaque changement de modèle est un très gros point faible de la concurrence (le poids de leurs modèles diverge). Les masses non suspendues (très importantes pour la tenue de route) sont plus légères qu'avant, notamment grâce à l'utilisation partielle de pièces en aluminium.

    La Mini Cooper D développe 115 ch et est particulièrement sobre en consommation, ce qui lui permet d'avoir un taux émission de CO2 de seulement 104g/km (idem Toyota Prius Hybride!).

    La Mini 3 reste une petite voiture même si ses cotes ont légèrement augmenté par rapport à une Mini 2. Le confort est plutôt un peu meilleur que celui d'une Mini 2 (ce n'est pas une référence de grand confort, de plus attention aux options qui dégradent le confort, grandes roues de 17 pouces, châssis sport). Le coffre reste, quant à lui, un des plus petit de la catégorie des citadines : seulement 160 l, juste 10 l de plus qu'une Smart Fortwo ! Tout cela contribue finalement à l'image décalée de cette petite citadine hors norme.

    Principales caractéristiques des premières Mini3
    Caractéristiques

    Puissance (maxi)
    Régime (maxi)
    Couple (maxi)
    Overboost
    120 ch (88 kW) à 6 000 tr/min
    Donnée manquante
    160 Nm à 4 250 tr/min
    -
    175 ch (128 kW) à 5 500 tr/min
    6 100 tr/min
    240 Nm entre 1 600-5 000 tr/min
    260 Nm entre 1 700-4 500 tr/min
    Transmission
    Différentiel à glissement limité
    Antipatinage
    Contrôle de trajectoire
    Roues avants
    -
    ASC+T1 (déconnectable) en option
    DSC² (déconnectable) en option
    Roues avants
    En option (taré à 25 %)
    ASC+T1 (déconnectable)
    DSC² (déconnectable) en option
    Boîte de vitesse 6 vitesses (Getrag) 6 vitesses (Getrag)
    Cylindrée
    Soupapes
    Bloc - Culasse
    Entraînement
    Refroidissement
    Lubrification
    1 598 cm³ (4 cyl. en ligne)
    4 par cyl.
    Alliage - Alliage
    Chaîne
    Pompe à eau débrayable
    Pompe de cylindrée variable
    1 598 cm³ (4 cyl. en ligne)
    4 par cyl.
    Alliage - Alliage
    Chaîne
    Pompe à eau débrayable
    Pompe de cylindrée variable
    Arbre(s) à cames
    Admission
    Technologie
    Échappement
    Technologie
    Injection
    Rapport volumétrique
    Double
    Calage variable
    Vanos + Valvetronic
    Calage variable
    Vanos
    Indirecte multipoint
    11,0:1
    Double
    Calage variable
    Vanos
    Calage fixe
    -
    Directe à rampe commune
    10,5:1
    Alimentation
    Mode
    Échangeur
    Atmosphérique
    -
    -
    Turbocompressée (+0,8 bar)
    Twin Scroll
    Air/Air
    Pneus
    Type
    Surmonte opt.
    Type
    175/65 R15
    Run flat
    195/55 R16
    Run flat
    195/55 R16
    Run flat
    205/45 R17
    Run flat
    Freins avant
    Étriers flottants
    Freins arrière
    Étriers flottants
    Anti blocage
    Disques ventilés - 280 mm
    1 piston
    Disques - 259 mm
    1 piston
    ABS³
    Disques ventilés - 294 mm
    1 piston
    Disques - 259 mm
    1 piston
    ABS³
    Direction Crémaillère (EPAS4) Crémaillère (EPAS4)
    Suspension avant
    Suspension arrière
    Jambes McPherson + Barre antiroulis
    Essieu multibras + Barre antiroulis
    Jambes McPherson + Barre antiroulis
    Essieu multibras + Barre antiroulis
    Puissance fiscale (France)
    Places
    7 cv
    4
    10 cv
    4
    Réservoir 40 L 50 L
    Volume du coffre 160 dm³ 160 dm³
    Vitesse maximale
    0 à 100 km/h
    Kilomètre départ arrêté
    203 km/h (données BMW)
    9,1 s (données BMW)
    30,2 s (données BMW)
    225 km/h (données BMW)
    7,1 s (données BMW)
    27,5 s (données BMW)
    Consommation en cycle mixte
    Type de carburant
    Émission de CO2
    5,8 L/100km (données BMW)
    Essence 91-98 RON
    139 g/km
    6,9 L/100km (données BMW)
    Essence 91-98 RON
    164 g/km
    Poids à vide 1 065 kg (données BMW) 1 130 kg (données BMW)
    Aérodynamisme SCx (m2) - Cx Données manquantes 0,71 - 0,36 (données BMW)
    Dimension en mm (L/l/h) 3 699/1 683/1 407 3 714/1 683/1 407

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  • Mercedes-Benz Classe GLK

     

    Mercedes-Benz Classe GLK
    Mercedes-Benz Classe GLK
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Classe SUV
    Carrosseries 5 portes, 5 places
    Usines d'assemblage Brême , Brême , Allemagne
    Performances
    Motorisations Essence :
    - V6 3.0 L
    - V6 3.5 L
    Diesel :
    - 4 cyl. 2.1 CDi
    - V6 3.0 L CDi
    Puissance (ch) 170 à 272 ch
    Puissance (kW) 125 à 200 kW
    Couple 306 à 510 Nm
    Vitesse maximale 210 à 230 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 6,7 à 7,6 s
    Consommation 8,4 à 10,8 ℓ/100 km
    Émission de CO2 220 à 251 g/km
    Transmission Intégrale
    BVA 7 rapports
    Dimensions
    Longueur 4 525 mm
    Largeur 1 855 mm
    Hauteur 1 699 mm
    Empattement 2 755 mm
    Coffre 450 à 1 550 dm³
    Poids 1 830 à 1 880 kg
    Chronologie des modèles (2008 -)
    Aucun
    Aucun
    Aucun


    La Mercedes-Benz Classe GLK est un SUV lancé fin 2008 en France par le groupe Mercedes-Benz. La Classe GLK repose sur la plate-forme d'un C rallongée. Elle offre 5 places assisses et reprend, par ailleurs, le tableau de bord de la C. Elle est construite dans la même usine que la Classe C et la Classe SLK à Brême, en Allemagne.

    Disponible avec deux V6 essences, un 3.0 L et un 3.5 L de 231 ch et 272 ch ; et deux moteurs diesels: un 4 cylindres en ligne 2.1 L CDi de 170 ch et un V6 3.0 L CDi de 224 ch . La gamme débute à 45900€.



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  • Mercedes-Benz Classe SLK

    La Classe SLK est un coupé-cabriolet apparu en 1996. Transgressant les codes conformistes du milieu des années 1990, le constructeur Mercedes-Benz fut le premier à réveiller le concept de cabriolet équipé d'un toit rigide escamotable.

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    R170 [modifier]

    Mercedes-Benz SLK de première génération

    Les modèles 200 et 230K ont été produits de 1996 à 2004. L'avant a été restylé en 2000.

    • Partie technique
      • Moteur
        • SLK 200 : 4 cylindres en ligne (longitudinal avant), 16 soupapes à calage variable, 1 998 cm³, 136 ch DIN (100 kW) à 5 500 tr/min, couple de 190 Nm à 3 700 tr/min, rejette 230 à 237 g CO2/km[1].
        • SLK 230K : 4 cylindres en ligne (longitudinal avant), 16 soupapes à calage variable, équipé d'un compresseur, 2 295 cm³, 193 ch DIN (142 kW) à 5 300 tr/min, couple de 280 Nm à 2 500 tr/min, rejette 241 g CO2/km[1].
        • SLK 320 : 6 cylindres en V ouverts à 90° (longitudinal avant), 24 soupapes à calage variable, 3 199 cm³, 218 ch DIN (160 kW) à 6 000 tr/min, rejette 254 à 274 g CO2/km[1].
      • Entraînement : propulsion
      • Transmission : manuelle à 6 rapports synchronisés, automatique à 5 rapports.
      • Freins
        • Avant : disques ventilés
        • Arrière : disques ventilés (et perforés sur la 320)
      • Dimensions : longueur 4,01 m - largeur 1,712 m - hauteur 1,279 m (1,274 m pour la 200K)
      • Poids
        • 1 365 kg (200K), 1 385 kg (230K) et 1 405 kg (320)
      • Consommation (CE 93/116/CEE) et pollution (boîte mécanique)
        • SLK 200K
          • 13,8 l/100 km (ville), 7,2 l/100 km (route), 231g CO2/km
        • SLK 230K
          • 14,1 l/100 km (ville), 7,3 l/100 km (route), 236g CO2/km
        • SLK 320
          • 16,4 l/100 km (ville), 8,0 l/100 km (route), 267g CO2/km
      • Vitesse
        • 223 km/h (200K), 240 km/h (230K), 245 km/h (320)
      • Accélération de 0 à 100 km/h
        • 8,2 secondes (200K), 7,2 secondes (230K), 6,9 secondes (320)

    R171 [modifier]

    Caractéristiques des SLK 200K, 280 et 350 (année 2004 et 2005) [modifier]

    Mercedes-Benz SLK de seconde génération
    • Partie technique
      • Moteur
        • SLK 200K : 4 cylindres en ligne (longitudinal avant), 16 soupapes à calage variable, équipé d'un compresseur, 1 796 cm³, 163 ch DIN (120 kW) à 5 500 tr/min, couple de 240 Nm à 3 000 tr/min ; bloc apparu à partir de la seconde phase du 1er SLK (puissance non modifiée)
        • SLK 280  : déclinaison apparue en 2005, 6 cylindres en V 231 ch DIN (170 KW), 2 996 cm³, couple de 300 Nm ; bloc de nouvelle génération
        • SLK 350  : 6 cylindres en V ouverts à 90° (longitudinal avant), 24 soupapes à calage variable, 3 498 cm³, 272 ch DIN (200 kW) à 6 000 tr/min,
      • Alimentation et allumage : gestion du moteur ME 2.7, injection de carburant multipoints séquentielle et allumage
      • Entraînement : propulsion
      • Transmission : manuelle à 6 rapports synchronisés, automatique à 5 rapports (ancienne génération) sur le SLK 200K et 7 rapports (baptisée 7G-Tronic) adaptable au type de conduite
      • Freins
        • Avant : disques ventilés (SLK 200K et 280), ventilés et percés (SLK 350)
        • Arrière : disques ventilés
      • Roues (de série)
        • SLK 200K : jantes alliage de 16 pouces, pneus 205/55 R16
        • SLK 280 : jantes alliage de 16 pouces 205/55 R16 (avant)et 225/50 R16 (arrière)
        • SLK 350  : jantes alliage de 17 pouces, pneus 225/45 R17 (avant) et 245/40 R17 (arrière)
      • Suspensions
        • Avant : essieu à trois bras, jambes McPherson (triangle), géométrie antiplongée, amortisseurs oléopneumatiques bi-tubes, ressorts hélicoïdaux, barre stabilisatrice
        • Arrière : essieu multibras, géométrie anticabrage et antiplongée, amortisseurs oléopneumatiques monotubes, ressorts hélicoïdaux, barre stabilisatrice
      • Dimensions : longueur 4,08 m (+72 mm) - largeur 1,78 m (+65 mm) - hauteur 1,30 m
      • Poids constructeur
        • SLK 200K : 1 390 kg
        • SLK 350  : 1 465 kg
      • Consommation mixte (données constructeur)
        • SLK 200K : 8,7 l/100 km
        • SLK 280 : 9,7 l/100 km
        • SLK 350  : 10,6 l/100 km
      • Vitesse
        • SLK 200K : 230 km/h
        • SLK 280 et 350  : 250 km/h, limitée électroniquement
      • 0 à 100 km/h (source : Le Moniteur Automobile)
        • SLK 200K : 8,1 secondes
        • SLK 280  : 6,3 secondes
        • SLK 350  : 5,7 secondes
      • Rejets de CO2 (source Ademe)
        • SLK 200K: 237 g/km
        • SLK 200K BVA: 230 g/km
    • Équipements de série : ESP, ABS, antipatinage, airbags tête et thorax intégrés, arceaux de sécurité, régulateur et limiteur de vitesse, rétroviseurs électriques et chauffants, lunette arrière chauffante, climatisation automatique, radio RDS lecteur CD, vitres électriques, capteur de luminosité, verrouillage central avec télécommande, volant multifonction réglable et filet coupe-vent.
    • Détails
      • Planche de bord en mousse de polyuréthane douce au toucher
      • Poignées de porte en magnésium
      • Deux compteurs inclinés en face à face
      • Toit rigide électrique disparaissant en 22 secondes
      • Coffre : 208 litres (+ 63 litres)
      • Rigidité en torsion : + 46% de gain par rapport au précédent
    • Prix de base (17 janvier 2006), puissance administrative
      • SLK 200K : 39 100€ (BM6), 10 chevaux fiscaux, 11 si la largeur des pneus excède 225 mm (BM6 et BA5)
      • SLK 280 : 15 chevaux fiscaux
      • SLK 350  : 47 800€ (BM6), 19 chevaux fiscaux (BM6 et BA7)

    Version SLK 55 AMG [modifier]

    Mercedes SLK 55 AMG (R171)
    Mercedes SLK 55 AMG (R171)
    Constructeur : Mercedes-Benz

    Version sortie à l'automne 2004

    • Moteur : 8 cylindres en V, ouverts à 90° ; 5,5 litres ; 360 ch (sans compression); jantes 18 pouces

    Le modèle Black Series commercialisé durant l'été 2006 voit sa puissance portée à 400 ch et ses jantes majorées à 19 pouces ; cependant elle perd une partie de sa personnalité : le toit rétractable est remplacé par un fixe en carbone.

     


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  • Mercedes-Benz Classe SL

     

    Mercedes-Benz Classe SL
    Mercedes-Benz Classe SL
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Émission de CO2 304 à 340[1] g/km

    La Classe SL est un coupé/cabriolet sportif d'origine allemande, développé par le constructeur Mercedes-Benz. Il devient, en 2001, un coupé cabriolet.
    La dénomination provient de Sport Leicht (sport léger).

    Née en 1952 avec la légendaire 300 SL, la Classe SL s'est rapidement illustrée en compétition en remportant la course Panamerica. Les différents succès qui s'en sont suivis ont notoirement participé au prestige qui caractérise ce modèle.

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    R107 (1971-1989) 

    Version européenne

    Les Mercedes-Benz SL « Pagode », présentées dans les années 60 et dessinées avec brio par Paul Bracq, alors à l'œuvre dans les bureaux de design de Stuttgart, possédaient encore un zest de sportivité. Avec son six en ligne de 2,8 litres, le 280 SL affichait des performances et comportement presque sportif et affichait surtout un remarquable compromis entre le confort et le sport. Du vrai Grand Tourisme, qui faisait encore plus regretter pour nous Français la disparition de Facel Vega. En 1971, Mercedes-Benz dévoile la remplaçante de sa bête d'image : le SL type R107. Fini le toit Pagode, mais le SL possède toujours son hard-top, véritable marque de fabrique des SL. Mais plus encore que la voiture en elle-même, le SL type R107 symbolise pour toute une génération une image de la réussite à l'américaine. Tous les plus célèbres personnages, véritables clichés de la réussite américaine, s'affichent dans les films ou les séries TV au volant d'un SL type R107 : Bobby Ewing dans Dallas, Richard Gere dans American Gigolo, Jonathan Hart dans Pour l'amour du risque, et même Eddy Murphy, dans le premier opus du Flic de Beverly Hills. Une véritable star sur quatre roues, que revendique pleinement Mercedes-Benz.

    • La 350SL entre 1971 et 1980
    • La 450SL entre 1973 et 1980
    • La 280SL entre 1974 et 1980
    • La 380SL entre 1980 et 1986
    • La 500SL entre 1980 et 1989
    • La 300SL entre 1986 et 1989
    • La 420SL entre 1986 et 1989
    • La 560SL entre 1986 et 1989

    R129 (1989-2001) [modifier]

    Version américaine

    Dans la gamme Mercedes, les SL représentent un peu l'aboutissement et le savoir-faire de tout une marque. En allemand, « SL » signifie littéralement Sport Léger [2] . Pourtant le temps et les exigences tant de la sécurité que de la clientèle ont évolué et l'esprit de la première SL série W194 de 1952 est bien loin. Après la somptueuse génération Pagode dessinée avec brio par Paul Bracq, la génération type R 107 apparue en 1971, tout de même produite à 236 000 exemplaires jusqu'en 1988, n'apportait pas grand chose de neuf. Puis, Bruno Sacco, le responsable du design chez Mercedes-Benz, et son équipe, avec des ingénieurs talentueux se sont penchés sur le berceau du nouveau SL série R 129. Un seul objectif : la meilleure… [3] Un garagiste anglais proposait d'upgrader l'ancienne version en nouvelle en modifiant la carrosserie, les phares et l'intérieur pour environ 15 000 .

    R230 (2001-présent) [modifier]

    SL

    SL Phase I (2001-2006) [modifier]

    Au sein de la gamme Mercedes-Benz, la Classe SL est, aujourd'hui, un roadster proche de la Classe S (W220) tant par ses prestations techniques que par son tarif.

    L'un des traits saillants de ce modèle, et qui l'était déjà sur la précédente génération, s'exprime dans le contenu technologique embarqué. Notons, en particulier, le système Sensotronic Brake Control (SBC) assurant une gestion électronique des freins.

    Gamme [modifier]

    La SL 350 disposait d'un moteur V6 affichant une puissance nominale de 245 ch (boîte sequentronic 6 vitesses) et lui permettant d'effectuer le 0 à 100 km/h en 7,2 secondes. Les autres moteurs disponibles étaient les (disposition, puissance, 0 à 100 km/h) :

    • SL 500 : V8 5.0l, 306 ch, 6.3 sec (2002)
    • SL 600 : V12 6.0l biturbo, 500ch, 4.7 sec (2003)
    • SL 55 AMG : V8 5.5l compressé, 476ch (2002) puis 500ch, 4.7 sec (2004). Une version 030, plus connue sous l'appellation pack performance, offrait de meilleures qualités dynamiques et était dépourvue de bride électronique.
    • SL 65 AMG : V12 6.0l biturbo , 612 ch, 4.2 sec (2004). Ce modèle permet à Mercedes d'offrir le roadster de série le plus puissant jamais conçu. Il s'agit, par ailleurs, de la première version du moteur de la SLR.

    SL Phase II (2006-2008) [modifier]

    SL Phase II 2006

    La Classe SL a subi un restylage en 2006. Outre quelques modifications esthétiques, les puissances ont été augmentées. Les moteurs concernés sont :

    • SL 350 (boîte auto 7 rapports) : 272 ch (+27), 6.6 s (-0.6). Ce bloc est issu de la Classe SLK qui l'a inauguré.
    • SL 500 : 388 ch, (+82), 5.4 s (-0.9)
    • SL 600 : 517 ch (+17), 4.5 s (-0.2)
    • SL 55 AMG : 517 ch (+17), 4.5 s (-0.2)

    Le V12 biturbo AMG reste inchangé.

    Tous les modèles, hormis ceux du pack performance, sont électroniquement limités à 250 km/h. Aucun moteur diesel n'est commercialisé et la transmission se fait seulement par boîte automatique 5 ou 7 rapports. Paradoxalement, celles à 7 rapports, 7G-Tronic semi-séquentielle et auto-adaptative, équipent uniquement, et pour le moment, les SL 350 et 500. Ceci s'explique par le fait que le couple, trop important sur les autres modèles, n'est supporté que par la boîte à 5 rapports, baptisée Speedshift au volant chez AMG.

    SL Phase III (2008- ) [modifier]

    SL Phase III 2008

    Au printemps 2008, le SL a été retouché pour la seconde fois. Cette fois, les feux avant ont été entièrement redessinés et la calandre n'arbore plus qu'une seule baguette de chrome. Lors de ce second restylage un plus petit moteur essence fait son apparition ; il s'agit du SL280 avec un V6 3.0 L de 231 ch. Le SL 350 gagne 43 ch. et consomme maintenant moins de 10 L aux cent kilomètres. La version SL 55 AMG est remplacée par la nouvelle SL 63 AMG avec le V8 6.2 L de 525 ch déjà connu sous le capot de presque l'ensemble des modèles Mercedes.

    Gamme actuelle (2008) [modifier]

    • SL 280  : V6 3.0 L 231 ch.
    • SL 350  : V6 3.5 L 315 ch.
    • SL 500  : V8 5.5 L 388 ch.
    • SL 63 AMG : V8 6.2 L 525 ch.
    • SL 600  : V12 5.5 L Compresseur 517 ch.
    • SL 65 AMG : V12 6.0 L Bi-turbo 612 ch.
    • SL 65 AMG Black Series : V12 6.0 L Bi-turbo 670 ch.

    Galerie photos [modifier]


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  • Mercedes-Benz Classe S

     

    Mercedes-Benz W221
    Mercedes-Benz W220

    La Mercedes-Benz Classe S est la limousine de luxe et le symbole phare créé et produit par Mercedes-Benz qui est maintenant une division de Daimler. Depuis les années 1950, ce modèle a existé en 9 versions et est la limousine la plus vendue dans le monde. Tous les nouvelles versions intégraient de nouvelles technologies créées et introduites par Mercedes telles que les nouveaux systèmes de sécurité, de gestion du train de roulage ou encore les fonctions intérieures.
    Les fonctions principales introduites dans ces 9 modèles sont les premiers systèmes d'ABS, de Coussins gonflables de sécurité (« Airbag ») combiné à des rétracteurs de ceintures, ou encore l'ESP.

    La dernière génération, la W221, présentée en 2005, a été complètement reformée aux points de vue design et fonctionnel. Comme dans la version précédente, elle offre des moteurs V6 et V8 essence et diesel et des V12 essence. Une version coupé existe aussi sous le nom de Mercedes-Benz Classe CL depuis le début des années 1990, la première génération de ce grand coupé ayant été lancée peu après la W140, et la dernière et troisième génération ayant été présentée en 2006. Au fil du temps, les coupés CL sont devenus de vrais modèles a part entière, et leur gamme est désormais indépendante de celle de la Classe S, même si ces deux modèles possèdent un intérieur très proche et une ligne générale assez semblable. Depuis 2003, la Classe S, qui a toujours été une propulsion (moteur avant et transmission aux roues arrières) peut désormais recevoir sur certains modèles une transmission intégrale, appelée 4-Matic: la puissance du moteur est alors répartie aux 4 roues (sur le système 4-Matic, la répartition de la puissance reste la même et ce quelle que soit l'adhérence des roues à la route. 40 pour cent de la puissance (du couple) est répartie sur les roues avant, le reste sur les roues arrières).

    Les tarifs en France sont de 83 000€ pour un moteur 3.5 essence (S350) à 233 700€ pour le moteur le plus puissant (S65 AMG).

    Le nom Classe S provient du mot allemand Sonderklasse qui signifie "classe spéciale" dont elle est l'abréviation.

    Les rejets de CO2 varient de 212 à 349 g/km selon les modèles[1].

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    W108/W109 

    1965 à 1972. De 250S à la Mercedes 300SEL 6.3

    W116 

    Lancée au Salon de Paris en 1972. Construite jusqu'en 1979. De la 280S à la Mercedes-Benz 450SEL 6.9, cette dernière de 1975 à 1979.

    W126 

    W126
    W126
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Classe Berline de luxe
    Carrosseries Berline 4 portes ou coupé 2 portes
    Usines d'assemblage Sindelfingen, Allemagne
    Performances
    Motorisations 2.6L 6 Cyl en ligne
    2.8L 6 Cyl en ligne
    3.0L 6 Cyl en ligne
    3.5L 6 Cyl en ligne
    3.8L V8
    4.2L V8
    5.0L V8
    5.6L V8
    3.0L 5 cyl. turbo diesel
    3.0L 6 cyl. turbo diesel
    Vitesse maximale 250 km/h
    Transmission Propulsion
    Boîte automatique 4 rapports
    Boîte manuelle 5 rapports
    Chronologie des modèles (1981 à1992)

    Mercedes-Benz_W126, produite de 1979 (1981 pour le coupé Mercedes coupé SEC W126) à 1991. De la 260SE à la 560SEL.

    W140 [modifier]

    1991 à 1998.

    W140
    W140
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Classe Berline de luxe
    Carrosseries Berline 4 portes ou coupés
    Performances
    Motorisations 2.8L 197 hp I6
    3.2L 228hp I6
    4.2L 275 hp V8
    5.0L 315 hp V8
    6.0L 408 hp V12 (1991-1993)
    6.0L 389 hp V12 (1994-1999)
    Vitesse maximale 250 km/h
    Transmission Propulsion
    Boîte automatique 5 rapports
    Chronologie des modèles (1991 à1999)
    W126
    W126
    W126
    W220
    W220
    W220

    La Mercedes-Benz W140, berline et coupé (Mercedes coupé CL W140, a été présentée en mars 1991 au salon de Genève, et a été produite jusqu'à 1998.

    C'est dans ce modèle que la princesse Diana Spencer s'est tuée le 31 août 1997 à Paris.

    W220 [modifier]

    1998 à 2005.

    Par rapport au modèle précédent, la Mercedes Classe S fait un cure d'amaigrissement de 200 kg, et ce n'est pas le seul changement apporté. Mercedes dépose pour ce modèle 333 brevets technologiques et inaugure la plupart des systèmes présents dans les voitures modernes. Parmi ces brevets, on retrouvera entre autres :

    • Le Parktronic, radar avant/arrière pour l'aide au stationnement
    • Le Linguatronic, commandes vocales
    • Le BAS, système d'aide au freinage d'urgence
    • La climatisation 4 zones
    • Le Pre-Safe

    Restylée à l'occasion du salon de l'automobile à Paris en 2002, elle sera fidèle à sa présentation et présentera alors en avant-première mondiale le système de sécurité Pre-Safe. Ce système permet l'optimisation de la voiture en cas de choc. Avant un choc, il ferme par exemple les fenêtres ou le toit ouvrant, règle la position du siège passager de façon optimale afin de le préparer le mieux possible au choc. Après le choc, il sert par exemple à couper automatiquement l'alimentation et à allumer les feux de détresse. Ce système a encore été amélioré sur la cinquième génération de Classe S, présentée en 2005.

    W221 [modifier]

    Mercedes Classe S
    Mercedes Classe S
    Constructeur : Mercedes-Benz
    Classe Berline de luxe
    Carrosseries Berline 4 portes
    Performances
    Motorisations Essence V6, V8 et V12
    Diesel V6 et V8
    Puissance (ch) 235 à 612 ch
    Puissance (kW) 173 à 450 kW
    Couple 350 à 1000 Nm
    Vitesse maximale 245 à 300 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 4,6 à 7,8 s
    Consommation 7,6 à 14,9 ℓ/100 km
    Émission de CO2 199 à 355 g/km
    Transmission Propulsion ou intégrale
    Boîte automatique 5 ou 7 rapports
    Dimensions
    Longueur 5 007 ou 5 200 mm
    Largeur 1 871 mm
    Hauteur 1 473 mm
    Poids 1 880 à 2 285 kg


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