• Acceuil Peugeot

    Logo de Peugeot

    Logo de Peugeot

    Création 1892
    Fondateur(s) Armand Peugeot
    Personnages clés Famille Peugeot

    Forme juridique Société anonyme
    Action Euronext : UG
    Slogan(s) « Pour que l'automobile soit toujours un plaisir »
    Siège social Historique : Sochaux/Montbéliard
    Actuel : Paris
    Drapeau de la France France
    Direction Jean-Philippe Collin
    Actionnaires Peugeot : 30,27 %
    Barclays Global Investors : 4,90 %
    Autocontrôle : 2,41 %
    Caisse des Dépôts et Consignations : 2,22 %
    Société Générale : 1,98 %
    BNP Paribas Asset Management Group : 1,13 % [1]
    Activité(s) Automobile
    Produit(s) Véhicules particuliers et utilitaires
    Société mère PSA Peugeot Citroën
    Société(s) sœur(s) Citroën
    Effectif 140 000 (branche automobile) (2006)
    Site d’entreprise www.peugeot.com

    Capitalisation 7,25 Md [2]
    Chiffre d’affaires 60,6 Md€ (2007)[3]
    Résultat net 0,88 Md€ (2007)
    Principaux concurrents
    Renault, Ford, Opel, Volkswagen, Toyota

    Peugeot est un constructeur automobile français fondé par Armand Peugeot, de la famille Peugeot en 1896. Le siège est à Paris et les bureaux d'étude et de recherche à Vélizy, La Garenne-Colombes, Poissy et Sochaux/Montbéliard (25). C'est la première entreprise au monde dont le but de la création était la conception et la réalisation d'automobiles.

    La marque Peugeot appartient au groupe PSA Peugeot Citroën qui englobe également Citroën rachetée à Michelin en 1974. Jean-Martin Folz (X1966) en était le PDG qui a succédé à Jacques Calvet du 1er octobre 1997, à octobre 2006. En novembre 2006, Christian Streiff a pris la direction du groupe PSA Peugeot Citroën, avant d'être remplacé début 2009.

    Peugeot a vendu 1,96 million de véhicules (en baisse de 1,8 %) en 2006, dont 1,233 millions en Europe de l'Ouest (-1,7 %), 491 000 hors Europe et Iran (+10,7 %) et 236 000 (-20 %) véhicules CKD en Iran.[4] Avec 308 000 ventes en 2006, la Peugeot 207 a connu un démarrage satisfaisant et devrait atteindre 500 000 en année pleine.

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    Histoire 

    Moulins à café et publicité pour machines à coudre Peugeot
    Peugeot Type 3 à moteur Daimler de 1889.

    L'entreprise Peugeot entre dans l'ère industrielle en 1810 sous l'impulsion de l'empereur Napoléon Ier qui avait besoin de vêtir les soldats de sa Grande Armée : ces meuniers d'origine deviennent des transformateurs de coton à Audincourt à côté de Sochaux en Franche-Comté, puis se lancent dans la sidérurgie en mettant en œuvre une fonderie.

    Cette fonderie laisse la place à une fabrication de lames de scies. En 1842, l'entreprise s'associe à quatre Anglais originaires de Lancaster installés dans la région de Saint-Étienne, les frères Jackson, et à partir de 1846, produisent sous la raison sociale " Peugeot aînés et Jackson frères " des scies à ruban, des outils, des buscs et des baleines de parapluies.

    En 1848 après la révolution qui provoqua une crise économique, la firme prend le nom de " Peugeot Frères " et fabrique des montures d'acier pour les crinolines, accessoires de mode lancée par l'impératrice Eugénie.

    Les premières automobiles à quatre vitesses et de 8 ch Peugeot Type 2 puis Peugeot Type 3 ne sont construites qu'à partir de 1890, et roulent à 25 km/h. Le moteur à essence de cette époque est construit à partir de la licence de Daimler, abandonné ensuite pour utiliser un moteur Peugeot. L'entreprise fabriquait également, à l'origine, les fameux moulins à poivre ainsi que des moulins à café (1876 à 1935), des bicyclettes (activité indépendante depuis mars 1926), de l'électroménager (filiale désormais dénommée PSP pour « Peugeot Salières Poivrières », détenue à 15 % par le groupe[5]), et de l'outillage électrique (disparue en 1989, l'activité a été relancée en 2005 par PSP[6]). La Société Anonyme des Automobiles Peugeot est créée en 1896 par Armand Peugeot (centralien).

    Implantée dans de nombreux sites industriels en France et dans le monde, la marque est fermement associée à la ville de Sochaux, près de Montbéliard en Franche-Comté, en France, où se trouve son plus gros site industriel qui regroupe des activités de recherche et développement et de fabrication d'automobile en série. L'usine de Sochaux est restée, jusque dans les années 1960, la seule unité terminale de production automobile de la marque, avant la construction du site de Sausheim en Alsace, puis dans les années 1970, l'acquisition de l'outil industriel de Chrysler en Europe (Usine PSA de Poissy, Usine PSA de Madrid, Usine PSA de Ryton).

    Le « lion » symbole de l'entreprise est utilisé depuis 1847 mais ne fut déposé en tant que logo qu'en 1858. Il symbolisait à l'origine les trois qualités des lames de scies Peugeot : « vitesse de coupe, dureté des dents et souplesse de la lame ». Cette renommée sidérurgique de qualité perdurera au fil des années. Une publicité de Peugeot dans le magazine Scientific American mentionnait d'ailleurs dans les années 1960 que le véhicule automobile le plus ancien en état de marche aux États-Unis était une Peugeot de 1898.

    Il faudra attendre 1948 et la Peugeot 203 pour voir disparaître la flèche sous-jacente. Le lion héraldique fait son apparition sur la 203. Il se redresse sur ses pattes arrière pour adopter la posture familière du lion héraldique des armes de Franche-Comté, berceau de l'entreprise. Il subira sept modifications successives jusqu'à la version actuelle datant de 2002 et baptisé Blue Brand.

    Le 20 juin 2008, la 50 millionième[7] Peugeot est sortie des chaines de montage de Sochaux. Il s’agissait d’une 308 SW. La carrosserie de cette voiture était décorée des photographies des salariés du Site avec leur Peugeot dans les moments importants de leur vie. Après les cérémonies d’usage, la voiture a rejoint directement le musée de l’aventure Peugeot pour inaugurer les festivités du 20e anniversaire de l’ouverture du musée.

    Tous les détails sur l'histoire du logo se trouvent sur le site international de la marque Peugeot [8].

    Initiatives sociales Peugeot [modifier]

    • 1876 : Créées cette année là, les retraites Peugeot étaient en 1910 supérieures à celle de l'État (330 FFR par an).
    • 1871 : à Valentigney et Terre-Blanche, Peugeot a établi la journée de 10 heures, 33 ans avant que la loi de 10 heures soit votée par le Parlement.
    • 1912 : Logements ouvriers avec loyers modestes dès la fondation des usines de Sochaux, pour un effectif de 400 personnes, 70 logements.
    • 1917 : Création des allocations familiales qui en 1932 étaient supérieures à celles fixées par l'État.
    • 1920 : La semaine de 48 heures fut appliquée en septembre.
    • 1936 : La semaine de 40 heures fut appliquée le 6 décembre.
    • 1937 : 870 logements ; hôtels de célibataires avec 2 200 lits ; le Cercle-Hôtel.

    On compte de nombreuses initiatives associatives : arbre de Noël (1918), service médico-social (1926), club de football avec 10 sections et construction du stade des Forges (1928), société de jardinage (1929), scoutisme (1929), société de pêche (1930), orchestre d'harmonie (1930), colonies de vacances (1933), piscine (1935), et Orphéon (1935).

    Peugeot a également œuvré pour l'apprentissage avec la création de l'École d'apprentissage de Beaulieu (1919) (ville intégrée aujourd'hui à la ville de Mandeure), l'École d'apprentissage de Sochaux (1930), le cours de contremaîtres (1932), l'école de techniciens de garage (1936), et l'école de perfectionnement (1937).

    Modèles d'automobiles Peugeot [modifier]

    Peugeot Type 125 " sport " de 1910
    Icône de détail Article détaillé : Musée de l'Aventure Peugeot.

    Le premier chiffre est lié à la position du modèle dans la gamme, le dernier à sa génération. Sur le plan marketing, cette idée simple fait économiser à Peugeot des millions en publicité : lorsqu'une voiture se nomme Peugeot 204, on sait d'emblée qu'elle succède à la Peugeot 203 et se situe dans la gamme plus près de la Peugeot 104 que de la Peugeot 404. Il existe néanmoins des exceptions comme la 309 antérieure aux 306 et 307. On note également un "saut + 2" lorsque la série 60y est directement passée de la 605 à la 607. Peugeot semble délaisser la série 50y (uniquement 504 et 505).

    Peugeot a déposé dans le domaine automobile les désignations x0y pour ses modèles. C'est ainsi que la Porsche 901 sera commercialisée sous le nom de Porsche 911 à la demande de Peugeot. En revanche le Boeing 707 n'est pas concerné parce que ce n'est pas une voiture et parce que Boeing a déposé de son côté les noms de modèles d'avion en 7x7.

    On retrouve souvent l'anecdote comme quoi il s'agissait initialement d'intégrer le trou de la manivelle de démarrage moteur au numéro du modèle. Pourtant cette astuce n'a pas été utilisée sur les premiers modèles à zéro central (Peugeot 301, Peugeot 401, Peugeot 601) mais seulement sur quelques modèles qui ont suivi, les Peugeot 302 et Peugeot 402 par exemple. Bien plus récemment, le zéro central sert de bouton d'ouverture du coffre sur les Peugeot 307 CC, Peugeot 407 et Peugeot 607.

    La multiplicité des modèles a décidé Peugeot à introduire un double zéro sur certains de ses modèles futurs en lieu et place du zéro central unique, afin d'augmenter le nombre de désignations disponibles tout en gardant un air de famille dans les désignations de la gamme. Dans un premier temps il semble que ce double zéro ne serve qu'aux modèles « spéciaux » qui cohabiteront avec les modèles ayant un simple zéro (Peugeot 107 et Peugeot 1007 par exemple).

    Type / Lion

    • A complèter...

    Série 1 à 9 [modifier]

    Série 100 [modifier]

    Série 200 [modifier]

    Série 300 [modifier]

    Le concept-car Peugeot 308 RC Z

    Série 400 [modifier]

    Série 500 [modifier]

    • 504 (1968-1983)
    • 505 (1979-1992). La version "reine" développée en collaboration avec Porsche et Danielsson était la 505 Turbo Injection.

    Série 600, grande berline [modifier]

    Série 800 Monospace [modifier]

    • 806 (1994-2002)
    • 807 (2002-). On pourra penser au concept car "807 Grand Tourisme" developpé par le "Style Coopération PSA" de Carrières sous Poissy (styliste : Curt Gwin) et présenté pour lancer la motorisation V6.

    Série 900 sport [modifier]

    Série 1000 [modifier]

    Série 4000 [modifier]

    Véhicules Utilitaires Légers [modifier]

    Concept "H2O"

    Véhicules militaires [modifier]

    • P4 4x4 militaire

    Concept-cars divers [modifier]

    Concept-car Peugeot Proxima

    Musée Peugeot [modifier]

    En 1988 le musée de l'Aventure Peugeot est fondé par la famille Peugeot sur son site industriel historique de Sochaux en Franche-Comté avec plus de 100 000 visiteurs par an, 450 véhicules dont une centaine d'exposés, 300 cycles et motocycles dont une cinquantaine d'exposés, 3 000 objets estampillés à la marque, 45 000 m² d'exposition dont 10 000 m² ouverts au public et plus de 5 km d'archives.

    Peugeot en compétition [modifier]

    Championnat du monde des rallyes [modifier]

    Dès 1931, Peugeot remporte le rallye Monte-Carlo. Dans les années 1960, la Peugeot 404 gagne le Rallye East African. La Peugeot 504 fera de même plus tard.

    Peugeot a dominé le championnat du monde des rallyes avec la Peugeot 205 Turbo 16 Groupe B, qui remportera les titres mondiaux constructeurs et pilotes en 1985 (Timo Salonen) et 1986 (Juha Kankkunen). La marque se retire avec la suppression de la catégorie des Groupe B.

    Peugeot est revenu en rallye dans le championnat WRC à la fin 1998. La marque remportera trois fois le championnat constructeur 2000, 2001 et 2002 et 2 fois le championnat pilotes en 2000 et 2002 avec Marcus Grönholm. En 2004, la 206 WRC cède la place à la 307 WRC qui ne parvient pas à faire aussi bien. À la fin 2004, Peugeot annonce son retrait de la compétition à l'issue de la saison 2005.

    Rallye-raid et Paris-Dakar [modifier]

    Modèle Grand Raid 1987, 3e au Paris-Dakar en 1989, 205 Turbo 16

    Peugeot est un habitué du rallye-raid depuis longtemps, et plusieurs voitures s'y sont illustrées, telles la 404 ou la 504.

    En 1987, lorsque le Groupe B disparaît, c'est au tour de la 205 du directeur de Peugeot Talbot Sport Jean Todt de venir écrire l'histoire de la marque en Afrique. En plus d'autres épreuves, Peugeot va remporter le Paris-Dakar à quatre reprises. En 1987, victoire de la Peugeot 205 Turbo 16 Grand-Raid de Ari Vatanen et Bernard Giroux. En 1988, c'est celle de Juha Kankkunen et Juha Piironen qui s'impose. Puis en 1989, c'est avec la Peugeot 405 Turbo 16 que Peugeot réalise le doublé (1re place pour Ari Vatanen / Bruno Berglund), et en 1990 le triplé (1re place pour Ari Vatanen / Bernard Giroux).

    C'est alors au tour de la petite sœur de Citroën, la Citroën ZX Rallye-Raid, de représenter PSA Peugeot Citroën.

    Endurance et 24 Heures du Mans [modifier]

    Peugeot 905 victorieuse des 24 Heures du Mans en 1992 et 1993

    Dès 1938, le constructeur au lion a remporté une victoire de catégorie aux 24 Heures du Mans avec la Peugeot 402, 5e au classement général.

    Peugeot a connu son heure de gloire aux 24 Heures du Mans lors des éditions 1992 et 1993, avec la Peugeot 905. En 1992, la Peugeot 905 n°1 (Yannick Dalmas / Mark Blundell / Derek Warwick) gagne la course, tandis que la n°2 finit 3e. En 1993, c'est le triplé de la Peugeot 905 Ev1 Ter, la 1re étant la n°3 pilotée par Eric Hélary, Geoff Brabham et Christophe Bouchut. Peugeot remporte également les titres pilotes et équipes en 1992 en championnat du monde des voitures de sport

    Par la suite, les moteurs Peugeot seront régulièrement présents, en catégorie LMP2, et en LMP1 notamment en fournissant un V6 bi-turbo à l'écurie Henri Pescarolo Sport de 2000 à 2003.

    Lors de l'édition 2005, Peugeot a annoncé son nouveau défi technologique : gagner les 24 Heures du Mans 2007 avec une voiture propulsée par un moteur HDI, équipé du filtre à particules (FAP), la 908. Au final, l'équipe place une de ses deux voitures à la deuxième place, juste derrière l'une des trois Audi R10. Elle remporte par ailleurs le titre Le Mans Series 2007. En 2008, les 908 terminent deuxième, troisième et cinquième des 24 Heures du Mans.

    Grand Prix [modifier]

    Jordan Peugeot 197

    Dès 1894, Peugeot a remporté avec un quadricycle à moteur la course Paris-Rouen. En 1912, le constructeur gagne le Grand Prix de France à la moyenne de 110,26 km/h avec Georges Boillot. En 1913, Boillot sur Peugeot est battu d'un cheveu par un véhicule Renault au Grand Prix de l'Automobile Club de Dieppe.

    Peugeot a également gagné trois fois les 500 miles d'Indianapolis, en 1913 avec Jules Goux, en 1916 avec Dario Resta et 1919 avec Howdy Wilcox.

    Peugeot a aussi été présent sans grand succès en tant que motoriste en Formule 1, de 1994 à 2000, équipant notamment les équipes McLaren (1994), Jordan (1995-1997), et Prost Grand Prix (1998 à 2000). Comble de malchance, le meilleur résultat obtenu en F1, lors de la première saison avec Jordan, en 1995 au GP du Canada (Jordan Peugeot 2e et 3e) a été totalement occulté par le fait qu'il s'agissait aussi ce jour là de la première victoire, et la seule, de Jean Alesi, un français, sur Ferrari. Manque de chance aussi, l'écurie Jordan gagne son premier GP dans l'année qui suit le départ de Peugeot comme motoriste. Au final, les moteurs Peugeot auront obtenu 14 podiums en F1, dont 5 deuxièmes places.

    Autres [modifier]

    Peugeot 307 Stock Car Brazil

    À Pikes Peak, la Peugeot 205 Turbo 16 de Ari Vatanen échoue de peu en 1987, mais le Finlandais l'emporte en 1988 au volant de la Peugeot 405 Turbo 16. Sur cette même voiture, c'est Robby Unser qui gagnera en 1989.

    Peugeot a aussi été présent dans les championnats de voitures de tourisme, remportant plusieurs titres dans les années 1990 en championnat de France puis un titre en Allemagne. Peugeot fut également présent dans d'autres pays par le biais d'importateurs (Royaume-Uni, Danemark, Brésil,...), avec plus ou moins de succès.

    Les moulins Peugeot et autres [modifier]

    Moulin à café Peugeot " modèle G ", les plus prisés des collectionneurs

    Si la marque Peugeot est connue pour ses « moulins » (terme argotique pour désigner les moteurs) automobiles, la firme s'est également démarquée depuis plus de cent soixante ans dans la fabrication de moulins ménagers : moulin à café, moulins à sel et à poivre, à noix de muscade... (devenus des objets collectors très recherchés) exposés et vendus au Musée de l'Aventure Peugeot de Sochaux en Franche-Comté. Peugeot à l'heure du repas : de nombreux restaurants de par le monde proposent sur leur table un poivrier Peugeot. (Voir Moulin à café Peugeot) Quelques photos.... Ces moulins sont de particulièrement bonne qualité et ne souffrent jamais de problèmes mécaniques.

    Peugeot a commercialisé bien d'autres outils et objets (dont des scies et autres)

    Peugeot Motocycles [modifier]

    Vélos [modifier]

    Vélomoteurs [modifier]

    Scooters [modifier]

    Après avoir abandonné la production de vélos et vélomoteurs [Quand ?], Peugeot reste un fabricant réputé de scooters sur ses sites de Dannemarie (300 salariés) et Mandeure (800 salariés). La marque a développé des scooters de forte cylindrée (125 cm³ et plus), en complément des ses modèles d'entrée de gamme (Ludix), dont elle a annoncé à partir de 2008 la délocalisation en Chine.[9]. Les scooters Peugeot sont particulièrement répandus en Suisse et en France.

    Motos [modifier]

    En 1930, Peugeot absorbe Automoto qui avait été une entreprise pionnière dans le domaine des motos et scooters.

    Il est exceptionnel de voir circuler des motos de la marque ailleurs qu'en France. Les cyclomoteurs de 50 cm³ sont très répandus en France pour plusieurs raisons : caractère national du marché, prix légèrement inférieurs à ceux de la concurrence, équipement des motos en moteurs AM6 de Minarelli, comme celles de bien d'autres constructeurs, ce qui facilite les réparations et abaisse leurs prix. Le prix des occasions est nettement plus bas que chez la plupart des constructeurs, ce qui provoque un effet dynamisant pour le marché. Avant les célèbres XP6 et XPS, apparues en 1997 (?), les motos de 50 cm³ portaient le nom de XP[10] qui datent de 1986 (moto automatique ?) et TLX de 1982. D'autres modèles de plus fortes cylindrées existaient aussi, mais il ne reste aujourd'hui plus que la XPS CT 125 (de 125 cm³), équipée d'un moteur Honda. Débridées et/ou modifiées légèrement, les motos de 50 cm³ atteignent les 90 km/h.

    Les XP6 et XPS ont un profil de cross ; les XR6 et XR7 ont un profil sportif, mais coûtent plus cher et sont moins nombreuses.

    XP6 Meca-boîtes disposant d'un moteur Minarelli AM6


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  • Opel Zafira

     

    Opel Zafira
    Opel Zafira
    Constructeur : Opel
    Classe Monospace
    Carrosseries 5 portes
    Performances
    Motorisations Essence : 1.6i 16v (101 ch) / 1.8i 16v (125 ch) / 2.2i 16v (147 ch) - Diesel : 2.0 DI 16v (82 ch) / 2.0 DTi 16v (100 ch) / 2.2 DTi 16v (117 et 125 ch) / 2.0i 16v turbo (OPC uniquement, 200 et 240 ch) Gaz Naturel : 1.6 CNG (97 ch)
    Émission de CO2 175 à 228[1] / 136 (1.6 CNG) g/km
    Transmission traction
    Dimensions
    Longueur (Z1) 4310 mm / (Z2) 4467 mm
    Largeur (Z1) ? / (Z2) 2026 mm
    Hauteur (Z1) 1650 mm (avec barres de toit) / (Z2) 1670 mm
    Poids (Z1 2.2 DTi) 1475 kg / (Z2 1.9 CDTi) 1568 kg
    Chronologie des modèles (1999 - 2005)


    Opel Zafira B
    Opel Zafira B
    Opel Zafira B

    L'Opel Zafira est un véhicule automobile de type monospace sorti en janvier 1999, et disposant de deux à sept places assises : deux sièges dits strapontins sont logés dans le plancher du coffre et il ne suffit que de quelques secondes pour les installer (système "Flex7"), première mondiale : l'idée sera reprise par d'autres constructeurs quelques années plus tard.

    Historique [modifier]

    modèle 2.2DTi Elegance (juillet 2003)

    Le prototype du Zafira fut d'abord présenté au Salon automobile de Francfort en septembre 1997.

    À son lancement, le Zafira disposait de deux moteurs essence (1,6i et 1,8i tous deux à 16 soupapes) et un diesel (2.0DI). À l'automne 2000, Opel ajouta à la gamme le moteur 2.2i essence de 147 ch et remplaça le 2.0 DI de 82 ch par le 2.0 DTi de 100 ch. Ce dernier moteur a la mauvaise réputation de consommer beaucoup d'huile, jusqu'à 1 litre aux 1 000 kilomètres selon certains propriétaires, d'autres sources évoquant ce problème pour le moteur 2.0DI uniquement.

    modèle 2.2DTi Elegance (juillet 2003) Détails du tableau de bord

    Une première évolution de style a eu lieu au second trimestre 2003, les principaux changements se situant au niveau de la calandre (nouvelle forme et chromée) et des roues (jantes alliage de 16" à dix branches pour la finition Elégance), ainsi qu'au niveau des blocs optiques arrières (pour les clignotants, seule l'ampoule est teintée, et non plus le bloc lui-même), et enfin de cadrans blancs cerclés de chrome pour les instruments de bord (finition Elégance). De même, une autre série, inspirée du modèle OPC, est sortie quelques mois plus tard sous le nom de Design Edition : les feux anti-brouillard avant sont totalement différents, ainsi que les bas de caisses et hayon qui reprennent des éléments du Zafira OPC, et enfin les baguettes latérales de protection couleur carrosserie. Les motorisations sont par contre strictement identiques.

    modèle 2.2DTi Elegance (juillet 2003)

    Le modèle OPC (Opel Performance Center) est la déclinaison "sportive" du Zafira : équipé d'un moteur 2.0 turbo de 200 ch (240 ch sur le Zafira II) avec une boîte à six rapports, le Zafira OPC est destiné aux pères de famille qui aiment les sensations ! Cela se faisant au détriment du confort et de l'habitabilité, les sièges baquets Recaro à l'avant n'étant pas rabattables.

    Le Zafira est commercialisé sous la marque Vauxhall au Royaume-Uni et en Irlande, avec conduite à droite. La seule différence esthétique avec le modèle Opel se situe au niveau de la calandre, en forme de V, et au logo de Vauxhall en son centre, et le marquage sur le hayon arrière (logo et marque).

    Des prototypes basés sur le Zafira ont également été présentés à la presse et au public lors de différents salons :

    • le Zafira 1.6 GNV (Gaz Naturel pour Véhicules ou CNG en anglais), fonctionnant au gaz naturel et disposant également d'un réservoir d'essence de 14 litres. Le passage d'un combustible à l'autre se fait sur la simple pression d'un bouton (même en roulant). L'avantage du GNV réside dans des émissions de CO2 diminuées de 25% (136 g/km). L'autonomie du véhicule est de 360 km pour le gaz (21 kg) auquels s'ajoutent 180 km pour l'essence. Le poids à vide par contre est de 1570 kg (contre ~1450 pour le 1.8 essence), pénalisant quelque peu les performances, déjà limitées par un petit moteur 1.6 de 97 CV. Extérieurement quasiment aucune différence n'est visible. Ce véhicule a été produit en série dès 2003.
    • l'Hydrogen3, fonctionnant à l'aide d'une pile à combustible (en réalité, 200 piles à combustible montées en série), sur une base de Zafira OPC modifié, le réservoir étant à double paroi d'acier pour contenir les 4,6 kg d'hydrogène liquide (à -253 °C), augmentant le poids du véhicule de 90 kg, pour seulement 400 km d'autonomie. Ce véhicule fût présenté à la presse en décembre 2002 à Monaco et au public lors de différentes manifestations à travers l'Europe (Cité des Sciences à Paris, le 24 mai 2003), dont un rallye de 9 696 km, de Hammerfest en Norvège (ville la plus au Nord d'Europe) à Cabo da Roca, au Portugal (ville la plus à l'Ouest). L'Hydrogen3 était ravitaillé par un camion suiveur, transportant une station de distribution d'hydrogène liquide, le plein se faisant aussi simplement qu'un modèle essence ou diesel classique.

    Une nouvelle version, au design très différent de la génération précédente (design issu de l'Opel Astra 3, adapté au gabarit du Zafira), est sortie en septembre 2005, accompagné d'une nouvelle gamme de motorisations (dont un bloc turbo-diesel à injection directe et rampe commune d'origine Fiat, le 1.9 CDTi, pour des puissances de 100, 120 et 150 ch, avec boîte à 5 ou 6 rapports selon le modèle). Le 2.0i turbo de la version OPC est lui passé de 200 à 240 ch, atteignant la vitesse maximale de 231 km/h (donnée Autoplus) la Zafira OPC est le plus puissant et le plus rapide des monospaces compacts de série au monde.

    La Zafira a été vendue à plus de 1 400 000 exemplaires depuis son lancement en 1999.

    Zafira II 

    Opel Zafira II / B
    Opel Zafira II / B
    Constructeur : Opel
    Classe Monospace
    Carrosseries 5 portes
    Performances
    Motorisations Essence : 1.6i (105 ch) Twinport, 1.8i (140 ch), 2.0i turbo (200 ch, 240 ch pour l'OPC), 2.2i directe (150 ch) - Diesel : 1.9 CDTi (100, 120, 150 ch)
    Émission de CO2 175 à 243[2] g/km
    Transmission traction
    Dimensions
    Longueur 4467 mm
    Largeur 2026 mm
    Hauteur 1670 mm
    Poids (1.9 CDTi) 1568 kg
    Chronologie des modèles (2005 - en cours)
    Zafira
    Zafira
    Zafira


    L'Opel Zafira B (ou Zafira II) est l'évolution de l'Opel Zafira, véhicule automobile de type monospace, sorti en septembre 2005.

    Il se différencie de son prédécesseur par son design, un nouvel intérieur, et une nouvelle gamme de motorisations (remplacement des moteurs 2.0 DTi et 2.2 DTi par un bloc 1.9 CDTi d'origine Fiat de 100, 120 et 150 ch à 8 ou 16 soupapes, et pour le Zafira OPC, le moteur 2.0i turbo passe de 200 à 240 ch) empruntée à l'Astra III, aucun de ceux du premier Zafira n'étant repris. Les finitions sont sommaires.

     

     


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  • Opel Vectra


        Opel Vectra
      


    Carrière assez terne pour cette Vectra de deuxième génération, présentée à la fin de 1995. Elle offre pourtant un comportement routier plus sérieux que la précédente, sans rejoindre encore les références de la catégorie... Le confort reste inférieur à celui des familiales françaises en raison d'un amortissement perfectible. L'habitabilité et le grand coffre sont corrects pour les berlines (4 et 5 portes), contrairement au break apparu au début de 1997. Il pâtit de suspensions encombrantes, d'où un plancher haut et un volume inférieur au break Astra.
    En essence comme en diesel, quelques problèmes entachent le bilan fiabilité jusqu'au léger restyling intervenu au printemps 1999, particulièrement sur le 1.7 TD. Hormis ce diesel de 82 ch, les motorisations sont bonnes dans l'ensemble, la consommation, raisonnable et l'agrément dans la bonne moyenne. Cote généralement peu soutenue et vraiment faible pour la placide version V6 2.5 de 170 ch.

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  • Opel GT

    Opel GT 1900
    Opel GT 1900
    Constructeur : Opel
    Production totale 103 463 exemplaires
    Classe GT
    Performances
    Motorisations 4 cylindres en ligne
    Cylindrée 1900 cm³
    Puissance (ch) 102 ch
    Vitesse maximale 185 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 10,5 s
    Consommation 11,4 ℓ/100 km
    Dimensions
    Longueur 4 113 mm
    Largeur 1 580 mm
    Hauteur 1 225 mm
    Poids 940 kg
    Opel GT 1900

    L' Opel GT est une voiture de sport coupé deux places présentée par Opel en 1968. Sa ligne rappelle incontestablement la Chevrolet Corvette de la même année. Son design a impliqué de célèbres stylistes de GM comme Clare McKichan (connu pour ses Chevy des années 1950) et Chuck Jordan (connu pour beaucoup de véhicules, notamment la Chevrolet Camaro des années 1960, la Chevrolet Corvair Monza et la Corvette StingRay).

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    Opel GT 1900 [modifier]

    Un total de 103 463 voitures furent vendues entre 1968 et 1973. Les GT les plus intéressantes pour des collections sont sans doute les quelques premières centaines de modèles de 1968, ainsi que les modèles 1 100 cm3 de 1968-1969 (3 573 voitures). Il y eut également 10 760 unités du modèle « économique » GT/J, où la majorité des accessoires en chrome étaient absents.

    Performances - Motorisation [modifier]

    L'Opel GT était au départ équipée d'un moteur 4 cylindres en ligne de 1 100 cm³ de cylindrée Soupapes en tête, développant 67 ch (SAE) à 6000 tr/min. Cependant, la plupart des acheteurs choisissaient le moteur optionnel de 1 900 cm³ à arbre à cames en tête, qui développait 102 ch (SAE) entre 5 200 et 5 400 tr/min. En 1971, à la suite de régularisations concernant les émissions, Opel réduisit le taux de compression du moteur 1900 US, ce qui fit retomber la puissance de ce moteur à 83 ch (SAE). Il y eut également un modèle GT/J (Junior), qui était une version européenne de la 1900 GT moins onéreuse. Cette voiture était équipée d'une transmission manuelle à 4 rapports. Une version à transmission automatique (3 vitesses) était cependant disponible avec le moteur 1 900 cm³. La production de l'Opel GT s'étendit entre 1968 et 1973.

    L'Opel GT était équipée d'un châssis monocoque métallique et d'un moteur longitudinal à l'avant, avec transmission aux roues arrières. Le moteur à arbre à cames en tête était monté très en arrière du châssis pour améliorer la répartition de poids. L'Opel GT était équipée de disques de freins à l'avant et de tambours à l'arrière, et d'un système de freinage assisté. La direction n'était quant à elle pas assistée.

    Une caractéristique remarquable de l'Opel GT était son mécanisme des phares rétractables. Ce mécanisme était actionné manuellement grâce à un levier disposé sur la console centrale entre les deux sièges. Contrairement aux mécanismes de phares rétractables habituels, ceux de l'Opel GT tournaient (un demi-tour) sur leur axe longitudinal. Le mécanisme manuel pour actionner ces phares (avec la manette sur la console) était tellement difficile à actionner qu'une blague circule a ce propos : on pourrait reconnaitre les propriétaire d'Opel GT à leur bras droit musclé, nécessaire pour allumer les phares.

    Habitacle [modifier]

    L'Opel GT n'avait absolument aucun coffre ou hayon extérieur. Il y avait un espace de rangement uniquement accessible par l'intérieur (mais très mal placé, derrière les sièges) et séparée de l'habitacle par une toile tendue. C'est également par là qu'on avait accès à la roue de secours et au quelques outils de secours.

    L'habitacle de l'Opel GT était particulièrement grand pour une voiture de cette taille, de par sa conception originale (une coque métallique sculptée sur le modèle intérieur). L'espace pour les jambes et la garde au toit était suffisant pour un conducteur d'une taille d'1,83 mètre.

    Opel GT (2007) 

    Opel GT
    Opel GT
    Constructeur : Opel
    Classe Sportive
    Carrosseries Roadster
    Performances
    Motorisations 4 cylindres en ligne
    Cylindrée 1998 cm³
    Puissance (ch) 265 ch
    Puissance (kW) 194 kW
    Couple 350 Nm
    Vitesse maximale 228 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 5,7 s
    Consommation 9,2 ℓ/100 km
    Émission de CO2 218 g/km
    Transmission Propulsion
    BVM à 6 vitesses
    Dimensions
    Longueur 4 090 mm
    Largeur 1 810 mm
    Hauteur 1 270 mm
    Empattement 2 410 mm
    Poids 1 395 kg
    Chronologie des modèles (2007 -)



    Habitacle d'une Opel GT Roadster

    Design [modifier]

    En 2006, 34 ans après l'arrêt de la fabrication de la GT, Opel en a lancé un nouveau modèle (millésime 2007). La nouvelle Opel GT adopte un positionnement inédit avec sa carrosserie de cabriolet, son tempérament de propulsion et son 4 cylindres turbo. Les lignes de la dernière Opel GT sont entièrement reprises de la Saturn Sky et de la Pontiac Solstice dessinées dans les bureaux de General Motors à Détroit aux Etats-Unis et Rüsselsheim en Allemagne. La capote de ce roadster, aux dimensions originales pour la catégorie, nécessite malheureusement de descendre du véhicule pour la fermer. Le peu de surface vitrée, outre le manque de visibilité, profite indéniablement à son agressivité. La sportivité de l'Opel GT s'affirme d'ailleurs d'autant plus grâce aux deux bossages du couvre-capote, situés dans le prolongement des sièges.

    L'espace accordé dans l'habitacle de l'Opel, d'à peine plus de 4 m, demeure évidemment limité. Cependant, le conducteur se sentira à l'aise grâce au volant réglable dans les deux plans et au siège ajustable en hauteur. En terme de volume, celui du coffre est plutôt ridicule avec seulement 157 L, lorsque le roadster est capoté, volume difficilement exploitable en raison de la présence en position centrale du coffre du réservoir de carburant.

    Performances - Motorisation [modifier]

    En termes de performances, l'Opel peut profiter d'une bonne répartition des masses (51 % à l'avant, 49 % à l'arrière) pour une meilleure tenue de route. Comme sur de nombreux véhicules de sport depuis quelques années, la GT opte pour le système électronique de sécurité ESP. Elle s'équipe par ailleurs de suspensions à doubles triangles et un différentiel à glissement limité nécessaire pour la transmission du couple aux deux roues motrices en catégorie sportive. L'Opel opte pour un 4 cylindres en ligne à injection directe essence, turbocompresseur à double entrée et distribution variable sur l'admission et l'échappement. La motorisation de 2.0 L turbo développe 265 ch, et le couple maxi de 350 Nm est disponible dès 2 500 tr/min.

    Galerie [modifier]



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  • Opel Meriva

     

    Opel Meriva
    Opel Meriva
    Constructeur : Opel
    Classe Minispace
    Performances
    Motorisations Essence :
    - 4 cyl. 1.4 Twinport 90 ch
    - 4 cyl. 1.6 Twinport 105 ch
    - 4 cyl. 1.8 Ecotec 125 ch
    - 4 cyl. 1.6i Turbo 180 ch
    Diesel :
    - 4 cyl. 1.3 CDTi 75 ch
    - 4 cyl. 1.7 CDTi 100 ch
    - 4 cyl. 1.7 CDTi FAP 125ch
    Émission de CO2 135 à 187 g/km
    Transmission BVM5, BVM6 et robotisée 5
    Dimensions
    Longueur 4 052 mm
    Largeur 1 694 mm
    Hauteur 1 620 mm
    Empattement 2 630 mm
    Poids 1 255 à 1 385 kg

    L'Opel Meriva est un minispace compact apparu en 2003.

    À sa sortie, la gamme était composée de 3 modèles essence de 1,4 L à 1,8 L et de 2 modèles diesel 1,7 L dont un à injection directe.

    Aujourd'hui la gamme essence comprend 4 versions :

    • 1,4 L Twinport 90 ch
    • 1,6 L Twinport 105ch
    • 1,8 L 125 ch
    • 1,6 L Turbo développant 180ch (OPC).

    En diesel, elle se décline en trois versions :

    • 1,3 L CDTI 75 ch (origine Fiat)
    • 1,7 L CDTI 100 ch (origine Isuzu)
    • 1,7 L CDTI 125 ch (origine Isuzu également).

    Tous les moteurs sont de dernière génération.

    Il est restylé en février 2006 et gagne la version sportive OPC (Opel Performance Center).

    Moteurs

    Modèle Puissance Consommation
    (l/100 km)
    Remarques Années de construction
    Moteurs essence:
    1.4 Twinport ecoFlex 90 ch 6,2
    depuis 2004
    1.6 87 ch 7,8 remplacé par le 1.4 Twinport 2003−2004
    1.6 Ecotec 100 ch 7,5 remplacé par le 1.6 Twinport 2003−2005
    1.6 Twinport Ecotec 105 ch 6,7
    depuis 2005
    1.6 Turbo Ecotec 180 ch 7,8 seulement en version OPC (6 vitesses) depuis 2006
    1.8 Ecotec 125 ch 7,3
    depuis 2003
    Moteurs diesel:
    1.3 CDTI ecoFlex 75 ch 5,0 avec filtre à particules depuis 2005
    1.7 DTI Ecotec 75 ch 5,5 remplacé par le 1.3 CDTI 2003−2005
    1.7 CDTI Ecotec 100 ch 5,2 5 vitesses sans filtre à particules depuis 2003
    1.7 CDTI Ecotec 100 ch 5,4 6 vitesses et filtre à particules, seulement en Allemagne depuis 2004
    1.7 CDTI Ecotec 125 ch 5,4 6 vitesses et filtre à particules depuis 2006

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