• Ferrari 348

    Ferrari 348
    Ferrari 348
    Production totale 8800 exemplaires
    Classe Coupé sport
    Carrosseries Coupé
    Performances
    Motorisations V8 3,4L
    Transmission Boîte de vitesses 5 rapports
    Poids 1450 kg
    Chronologie des modèles (19891995 )
    Ferrari 328
    Ferrari F355

    La Ferrari 348 est une voiture sportive de grand tourisme du constructeur automobile italien Ferrari. Elle fut produite en série à 8 844 exemplaires en version TB (version coupé) et TS (version Targa) entre 1989 et 1995.

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    Historique [modifier]

    La Ferrari 348 est la première Ferrari de l'après Enzo Ferrari disparu en 1988. L'hystérie spéculative touche tous les modèles de la marque. Les clients s'échangent les bons de commande Ferrari jusqu'à 5 fois le prix pour une Ferrari F40.

    Le 348 remplace la Ferrari 328 à titre d'entrée de gamme de la marque. La carrosserie est signée traditionnellement par Pininfarina. Le profil rappelle la 328 et les flancs ainsi que les feux arrières couverts par une grille la Ferrari Testarossa.

    Dans son cycle de production, la 348 a été décliné dans d'autres variantes, à savoir la Spider, la GTB et la GTS. Bien que la première se caractérise par son toit pliant en toile, les deux autres sont des améliorations mécaniques et esthétiques de la TB et le TS, notamment une augmentation de puissance de 300 à 320 cv.

    • Jantes de 17" de diamètre.
    • Moteur V8 à 90° de 3 405 cm3-32 soupapes - 3,4 l (d'où le nom 348) implanté longitudinalement en position centrale arrière
    • 300 cv à 7 000 tr/mn pour un couple maxi remarquable de 323 Nm à 4 200 tr/mn
    • Sonorité évoluant de 1 000 à 8 000 tr/mn avec un ronronnement grave et rauque à un hurlement métallique
    • 275 km/h en vitesse (280 km/h pour la GTB et GTS) de pointe et passe de 0 à 100 km/h en 5 sec 6 pour atteindre le 1 000 m départ arrêté au bout de 25 sec.

    Productions [modifier]

    • Ferrari 348 TB : 2 894 exemplaires
    • Ferrari 348 TS : 4 228 exemplaires

     

    • Ferrari 348 Spider : 1 146 exemplaires
    • Ferrari 348 Competizione : 56 exemplaires

     

    • Ferrari 348 GTB : 222 exemplaires
    • Ferrari 348 GTS : 218 exemplaires

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  • Ferrari 328

    Ferrari 328 GTB et GTS
    Ferrari 328 GTB et GTS
    Constructeur : Ferrari
    Production totale 7500 exemplaires
    Classe Coupé sport
    Carrosseries Coupé
    Performances
    Motorisations V8 3,2L
    Transmission Boîte de vitesses 5 rapports
    Chronologie des modèles (19851989)
    Ferrari 308
    Ferrari 348

    La Ferrari 328 est une voiture sportive de grand tourisme du constructeur automobile italien Ferrari. Elle fut produite en série à 7 500 exemplaires en version GTB et GTS entre 1985 et 1989.

    Historique [modifier]

    La Ferrari 328 remplace le Ferrari 308 en septembre 1985 au Salon automobile de Francfort. Les pare-chocs avant et arrière sont plus enveloppants. Elle est équipée d'un nouveau moteur V8 3,2 l (d'où l'appellation 328), quatre soupapes par cylindres.

    • 270 ch à 7 000 tr/mn et 31 mkg de couple à 5 500 tr/mn
    • 7 500 exemplaires de 328 sont produites, dont 6 000 en GTS.

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  • Ferrari 308 GTB

    Ferrari 308 GTB et GTS
    Ferrari 308 GTB et GTS
    Constructeur : Ferrari
    Classe Coupé sport
    Carrosseries Coupé
    Transmission Boîte de vitesses 5 rapports
    Chronologie des modèles (19751985)
    Ferrari Dino
    Ferrari 328

    La Ferrari 308 (GTB ou GTS) est un coupé 2 places construit par le constructeur automobile italien Ferrari entre 1975 et 1985.

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    Historique [modifier]

    Les premières versions à 4 carburateurs Webber 40DCNF et à coque en polyester (1975-1977), construites à 712 exemplaires firent place aux modèles à caisse en acier (1977-1985), d'abord gardant les carburateurs, puis passant à l'injection en 1980 (308 GTBi/GTSi, 214 ch) et à quatre soupapes par cylindre en 1982 (308 GTB QV/GTS QV, 240 ch) ces derniers sont moins côtés aujourd'hui. Le modèle bénéficie d'une évolution sous l'appellation 328.

    Ce modèle est représentatif des GT à moteur V8 (berlinette), l' « entrée de gamme » de Ferrari; il se base sur l'architecture de la Dino et donnera naissance à une lignée de petites sportives très nerveuses: 348, F355, 360 et dernièrement F430, toutes déclinées par la suite en version Challenge ou Scuderia (version dite « light », c'est-à-dire plus légère et plus puissante que la version de série).

    Appellation [modifier]

    L'appellatif 308 GTB renseigne:

    • la cylindrée totale: 3 000 cm3 (en réalité elle en fait 2 926 cm3),
    • le type de moteur: 8 cylindres en V implanté transversalement en position centrale arrière et délivrant une puissance de 255 cv (version avec carburateurs). Pour le millésime 1980 (GTBi et GTSi), l'injection diminuera fortement la puissance puisqu'il ne restera qu'environ 214 ch pour propulser la voiture. Cependant, dès 1982, les culasses comporteront quatre soupapes par cylindre pour procurer ainsi 240 ch. Le principal signe distinctif de cette version QV (quattro valvole) sera l'ajout de longues portées et du Cavallino Rampante dans la grille de calandre,
    • le type de carrosserie: berlinetta désignant un coupé en opposition à spyder désignant une version « targa » cette appellation étant reservée par Porsche, c'est-à-dire avec une toit escamotable.

    On doit la ligne des 308 GTB (coupé) et GTS (spyder) à Leonardo Fioravanti pour Pininfarina. Celle-ci est plus douce que celle de la 308 GT4 dessinée par Bertone au milieu des années 1970.

    Ferrari 308 célèbre à la télévision [modifier]

    Elle apparaîtra dans la sérié télévisée américaine Magnum, ce qui contribuera à son succès.


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  • Ferrari 288 GTO

    Ferrari 288 GTO
    Ferrari 288 GTO
    Constructeur : Ferrari
    Production totale 272 exemplaires
    Classe Supercar
    Carrosseries Berlinette
    Performances
    Motorisations V8 central arrière, 2 ACT 32 soupapes + 2 turbos IHI avec échangeurs
    Puissance (ch) 400 ch
    Couple 50,6 Nm
    Transmission Propulsion, Boîte de vitesses manuelle à 5 rapports
    Dimensions
    Longueur 4 290 mm
    Largeur 1 910 mm
    Hauteur 1 120 mm
    Poids 1 160 kg

    La Ferrari 288 GTO est une supercar destinée à l'époque, une fois préparée, à courir dans le FIA Groupe B, elle fut produite à seulement 272 exemplaires et sa version Evoluzione pour le Groupe B servit de base de développement à la Ferrari F40.

    Historique [modifier]

    En 1984, Enzo Ferrari concentrait depuis plusieurs années l'ensemble de ses efforts sur la compétition et, en particulier, sur la Formule 1. Toutefois, soucieuse de combler le vide vertigineux qui séparait déjà à l'époque les voitures de sport de celles de la production, la firme de Maranello décida de concevoir et proposer une voiture conforme à la définition du FIA Groupe B, c’est-à-dire compétitive sur route comme sur circuit et satisfaisant l'obligation d'une production minimale de 200 exemplaires. Ferrari en profita pour ressortir de ses tiroirs un sigle prestigieux : GTO (Gran Turismo Omolagata).

    Ainsi naquit la 288 GTO : un V8 longitudinal à trente-deux soupapes de 2855 cm³ suralimenté par deux turbocompresseurs IHI avec injection Weber-Marelli développant 400 ch à 7 000 tr/min. La cylindrée avait été déterminée pour passer l'homologation (maximum de 4 000 cm³ dans la plus haute classe du Groupe B), les constructeurs devait tenir compte d'un coefficient de 1,4 pour les moteurs turbocompressés, ce qui nous donne donc 2 855 cm³ x 1,4 = 3 997 cm³ et donc inférieur à 4 000 cm³. Il était bien évident que, s'ils étaient proposés ainsi en série, les 200 exemplaires atteindraient sans grande difficulté la puissance phénoménale de 600 ch une fois préparés. Tous les matériaux les plus performants et à la pointe de la technologie de l'époque entraient dans la fabrication de cette GTO : fibre de carbone, Kevlar, Nomex, châssis tubulaire, . . .

    Les impressions de conduite générées par la GTO étaient assez diverses. Menée gentiment, il semblait évident qu'elle assumerait parfaitement des tâches aussi exaltantes et sportives qu'une corvée de supermarché ou les trajets des enfants vers l'école, mais, selon le spécialiste Don Sherman, dès lors que l'on "ouvrait en grand", elle donnait l'impression à l'accélération d'avoir été propulsée par un jet. Il faut dire qu'elle "montait" jusqu'à 304 km/h et qu'elle arrivait à 100 km/h en 4,9 secondes. Mais malgré tout cela la carrière sportive que la 288 GTO était censée entamer s'obscurcit très rapidement, puisqu'en 1986 la FISA prit la décision, à la suite de plusieurs accidents mortels en rallye, dont furent victimes entre autres Attilio Bettega et Henri Toivonen, d'enterrer la catégorie des Groupes B.

    Quoi qu'il en soit, à l'époque, les 200 unités construites trouvèrent rapidement acquéreurs auprès d'heureux passionnés et Ferrari décida même de produire 72 exemplaires supplémentaires pour combler une partie de la forte demande. Côté finitions le client fortuné, 935 000 FF pour la version de "base" en 1984, pouvait seulement choisir la couleur des garnitures des sièges, soit en noir intégral ou soit en noir/orange. La couleur extérieure était exclusivement disponible en rouge. La radio, la climatisation et les vitres électriques étaient toutes en option.

    288 GTO Evoluzione [modifier]

    En 1985, Ferrari commença à développer la version Groupe B de la voiture, celle-ci fut nommée 288 GTO Evoluzione. Mais coupée dans son élan, Ferrari n'en sortira que 5 exemplaires. La préparation était pourtant remarquable, en effet elle possédait 650 ch pour un poids d'à peine 940 kg ce qui lui permettait d'atteindre 369,8 km/h et d'abattre le 0-100 en 4 secondes. Elle ne connut jamais aucune forme de compétitions mais elle servira par la suite de base au développement de la future supercar de Ferrari, la fameuse F40. On peut d'ailleurs noter une ressemblance visible au niveau du design entre les deux autos.

    Ferrari 288 GTO Evoluzione
    Numéro de chassis Historique
    1 79 887 Vendue en Italie à Capitanio of Style Auto puis en Grande-Bretagne
    2 70 167 Utilisée pour le développement de la F40 puis vendue en France (collection Bardinon) et enfin au Japon. Elle dispose d'une puissance de 530 ch
    3 70 205 Utilisée pour le développement de la F40 avec un moteur de 288 GTO de production, puis conservée par l'usine dans le musée
    4 79 888 Vendue en 1992 à Francorchamps en Belgique
    5 79 889 Vendue au Sultan de Brunei

     


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  • Ferrari 250

     

    La désignation « 250 » correspond à des moteurs 12 cylindres en V de 3 litres de cylindrée. On retiendra pour l'essentiel les modèles suivants :

    Ferrari 250 GT transformée par la Scuderia SSS (1962)

     

    • Ferrari 250 S (1952), victorieuse des « Mille Miglia. »
    • Ferrari 250 MM (1953-1959), moteur de 220 ch et poids de 900 kg.
    • Ferrari 250 GT (1959-1960). Cette voiture va connaître plusieurs versions de carrosserie par Pininfarina et Zagato (à cinq reprises). Le Coupé Pinin Farina 2 places est la version de route de la célèbre 250 GT Berlinetta Competizone, dite « Tour de France. »
    • Ferrari 250 GT Passo Corto (ou SWB)  (1960-1961), moteur de 270 cv pour les 46 exemplaires produits en 1960. En 1961, une version plus puissante de 280 cv ne fut produite qu'à 22 exemplaires. Une seule fut fabriquée avec une conduite à droite (chassis n° 2735) et vendue à l'écurie britannique de Rob Walker.
    • Ferrari 250 GT « Lusso » (1963-1964), version de route de la 250 GT SWB (Short Wheel Base = empattement court). Son dessin est dû au crayon de Gian-Battista Pinin Farina, elle fut l'ultime modèle de la légendaire lignée 250 GT. 351 unités fabriquées. C'était la Ferrari de l'acteur Steve McQueen.
    • Ferrari 250 GTO (1962-1963). Les 39 unités produites sont toutes en état de marche à ce jour (mai 2006), il faut dire qu'elle est considérée comme une des plus belles Ferrari de compétition. D'après l'émission Turbo, elle se négocie aux alentours des 15 millions d'euros en 2007.
    • Ferrari 250 LM (1964). Modèle de course, qui ne connaîtra pas les heures de gloire des modèles précédents : son homologation en grand-tourisme ayant été refusée par les instances internationales de l'époque, elle fut condamnée à se battre avec les prototypes qui la surclassait. A noter cependant qu'elle remporta les 24 heures du Mans en 1965, sauvant la victoire pour Ferrari durant le combat contre Ford.

    À partir de 1964, les 250 commencent à être remplacées par les Ferrari 275.


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