• Citroën C1

    Citroën C1
    Citroën C1
    Constructeur : Citroën
    Production totale Par an : 100 000 exemplaires
    Classe Mini Citadine
    Carrosseries 3 et 5 portes
    Performances
    Motorisations Essence :
    1.0i 68ch
    Diesel :
    1.4 HDi 55ch
    Émission de CO2 106 à 109 g/km
    Transmission BVM5 ou robotisée (sur moteur essence uniquement)
    Dimensions
    Longueur 3 435 mm
    Largeur 1 630 mm
    Hauteur 1 468 mm
    Empattement 2 340 mm
    Poids 790 à 890 kg
    Citroën C1
    Citroën C1 Phase II

    La Citroën C1 est une automobile urbaine pour 4 personnes à 3 et 5 portes commercialisée depuis juin 2005 par le constructeur français Citroën en Europe.

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    Histoire [modifier]

    La C1 est construite dans l'usine de TPCA, société commune entre PSA et de Toyota à Kolín en Tchéquie. Elle utilise la même plate-forme et partage de très nombreuses pièces communes avec les Peugeot 107 et Toyota Aygo. Ces trois véhicules ont été présentés en première mondiale au Salon de Genève et lancés en série le 28 février 2005. La C1 est disponible depuis juin 2005.

    La décision de produire ces voitures d'entrée de gamme a été prise le 12 juillet 2001, lorsque les présidents de Toyota et de PSA Peugeot Citroën, Fujio Cho et Jean-Martin Folz, ont décidé de produire une petite voiture en commun pour en partager les coûts de développement et lui garantir des tarifs à partir de 8 500 euros.

    Les concurrentes sont les Renault Twingo, Smart Fortwo, Fiat Seicento, Daihatsu Cuore, Chevrolet Matiz, Fiat Panda et Volkswagen Fox.

    La C1 pèse 150 kg de plus que la Citroën AX soit +23 % afin d'assurer une sécurité accrue.

    Spécificités [modifier]

    Par rapport aux Peugeot 107 et Toyota Aygo, la Citroën se démarque par ses feux avant tout en rondeurs (en forme de goutte d'eau) et sa grande grille d'aération située sous la calandre. Les feux arrière présentent également la spécificité, par rapport à la 107, d'être noirs à bulbes transparents (et non intégralement rouges). À l'intérieur, seul le volant diffère.

    Elle est disponible en deux finitions, base et Pack, avec une transmission manuelle, ou semi-automatique robotisée en option sur le moteur essence uniquement.

    Les appuie-tête avant sont intégrés, les vitres arrières sont à compas sur le modèle cinq portes, et fixes sur la trois portes.

    Le hayon est une simple vitre, teintée en noir dans sa partie basse (afin de supporter visuellement le logo C1 et les chevrons, ainsi que l'essuie glace).

    Finitions et moteurs [modifier]

    La C1 reçoit deux moteurs et trois niveaux de finition depuis le restylage de 2009.

    Attraction [modifier]

    C'est le bas de gamme de la C1. Elle propose à partir de 8 150€ des sièges maille bi-ton gris, un ABS, un contrôle de stabilité en courbe CSC, deux airbags frontaux conducteur et passager, un redémarrage par transpondeur, un bandeau de contact avant et arrière, des pré-tensionneurs et limiteurs d'effort avant, une roue de secours standard en tôle, un compteur kilométrique avec totalisateur journalier, un essuie vitre arrière, des rétroviseurs extérieurs à réglage manuel, une alarme sonore d'oubli d'extinction des feux, une banquette arrière avec dossier rabattable, une prise 12V, une tablette arrière cache-bagages, des vitres avant manuelles, un pré équipement radio et des roues en tôle.

    Les options sont la peinture métallisé et la direction assistée avec volant réglable en hauteur.

    Le moteur disponible avec cette finition est un 1.0i de 68 chevaux, avec une boite de vitesse manuelle à 5 rapports.

    Confort [modifier]

    C'est le milieu de gamme de la C1. Il propose à partir de 9 850€ les équipements évoqués ci dessus ajouté à des appuis-têtes arrière réglables, des airbags latéraux avant, des baguettes latérale de protection, 2 fixation Isofix pour sièges enfants, un compte tours à aiguille, une direction assistée, un volant réglable en hauteur, une banquette arrière avec dossiers rabattables 50/50, une condamnation centralisé avec Plip HF, lèves vitres AV électriques et des coquilles de rétroviseur et poignées de porte ton caisse, une calandre chromée Les sièges maille bi-on gros disparaissent au profit de sièges en velours.

    Les options sont la peinture métallisé, l'air conditionné, un système audio « C2 RDS 2HP », et les jantes en alliage de 14 pouces.

    Les moteurs disponibles avec cette finition sont un diesel HDI 55ch BVM5, un 1.0i de 68 chevaux avec une boite de vitesse manuelle à 5 rapports et un 1.0 de 68 chevaux avec une boite robotisée « Sensodrive ».

    Exclusive [modifier]

    C'est le haut de gamme de la C1. Cette finition s'enrichit d'une sellerie cuir et Alcantara, de la climatisation manuelle, d'un radio CD, de jantes aluminium et d'un pommeau de levier vitesse et volant en cuir. Les moteurs disponibles avec cette finition sont un diesel HDI 55ch BVM5, un 1.0i de 68 chevaux avec une boite de vitesse manuelle à 5 rapports et un 1.0 de 68 chevaux avec une boite robotisée « Sensodrive ».

    Moteurs [modifier]

    Les moteurs proposées sont :

    • le bloc 1 litre essence d'origine Toyota
    • le diesel 1.4 litre diesel HDi, avec Rampe commune

    L'essence, qui profite de l'expertise de Toyota, est munie d'un système VVT-i de calage variable de la distribution en continu, géré par informatique (en fonction de l'accélération, de la charge, etc...). Le moteur n'a que trois cylindres.

    Le diesel de faible cylindrée (1,4 litre) est un modèle à 4 cylindres d'origine PSA. Sa consommation est sensiblement équivalente au modèle essence, ce qui en fait un choix discutable tant au niveau économie de carburant que pollution.

     


    Citroën C1 Citroën C1 Diesel
    Moteur 3 cylindres en ligne 4 cylindres en ligne avec Turbo
    Nombre de
    soupape
    12 8
    Cylindrée 998 cm³ 1398 cm³
    Puissance maxi
    68 ch
    à 6000 tr/min
    54 ch
    à 4000 tr/min
    Couple maxi
    93 Nm
    à 3600 tr/min
    130 Nm
    à 1750 tr/min
    Boîte de
    vitesse
    5 vitesses, manuelle ou
    boîte robotisée Sensodrive
    Vitesse maxi 157 km/h 154 km/h
    0-100 km/h 13,7 s 15,6 s
    Consommation
    en l/100 km
    4,5 4,1
    Emissions de CO2 en g/km 106 109

     

    Sécurité et habitabilité 

    Quatre personnes peuvent y prendre place, et elle est dotée en série pour l'Europe de l'Ouest d'un ABS, de deux coussins gonflables frontaux et d'un système de contrôle de stabilité en courbe dit CSC (mais qui n'est pas l'ESP proposé en option). La C1 a également obtenu 4 étoiles aux crash-tests Euro NCAP pour les adultes (3 pour les enfants), avec un score total de 26 points sur 37, et elle obtient 2 étoiles pour la protection des piétons.


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  • Citroën C-Crosser

    Citroën C-Crosser
    Citroën C-Crosser
    Constructeur : Citroën
    Années de production 2007 -
    Classe SUV
    Carrosseries 5 portes, 5-7 places
    Usines d'assemblage - Okazaki , Chūbu , Japon (2007-2009)
    - Born , Limbourg , Pays-Bas (depuis 2009)
    Performances
    Motorisations Essence :
    - 4 cyl. 2.4 L
    Diesel :
    - 4 cyl. 2.2 L HDi
    Puissance (ch) 156 à 170 ch
    Puissance (kW) 115 à 125 kW
    Couple 232 à 387 Nm
    Vitesse maximale 190 à 200 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 9,4 à 10,4 s
    Consommation 7,2 à 9,4 ℓ/100 km
    Émission de CO2 191 à 222 g/km
    Transmission Intégrale
    BVM à 6 vitesses
    BV CVT
    Dimensions
    Longueur 4 646 mm
    Largeur 1 806 mm
    Hauteur 1 670 mm
    Empattement 2 670 mm
    Coffre 441 à 1 686 dm³
    Poids 1 717 kg
    Aucun
    Aucun



    Le C-Crosser est un SUV commercialisé par Citroën à compter du 12 juillet 2007. Il reprend la plate-forme du Mitsubishi Outlander qu'il partage avec le Peugeot 4007. Ces véhicules sont construits par Mitsubishi dans l'usine de Mizushima au Japon.

    En mars 2008, PSA a annoncé que les 4007 et C-Crosser destinés au marché européen seraient produits dès 2009 dans l'usine néerlandaise NedCar détenue par Mitsubishi. Mitsubishi continuera à fabriquer les 4007 et C-Crosser non destinés à l’Europe au Japon, mais prévoit de les transférer dans son usine Okazaki de Nagoya dès novembre 2008[1].

    Alors que seule une motorisation diesel est proposée en Europe, certains marchés comme l'Allemagne ou la Russie proposent un moteur essence 2,4l de 170 ch[2].

    Finitions et moteur [modifier]

    Le C-Crosser à 1 moteurs pour 3 niveaux de finitions

    • Attraction : C’est le bas de gamme du C-Crosser. Il propose à partir de 31 950€ des jantes tôle 16 pouces, une roue de secours galette, des accoudoirs centraux avant et arrière, un ABS+REF+ESP+ASR, une transmission intégrale avec sélecteur de mode, des airbags frontaux et latéraux avant, des airbags rideaux en rang 1 et 2, un régulateur de vitesse, un siège conducteur réglable en hauteur, une climatisation automatique, un pare-soleil avant avec miroir occultable, une condamnation centralisée avec plip HF, une direction à assistance variable, des vitres avant et arrière électrique, des rétroviseurs extérieurs électrique chauffantes et rabattable électriquement, un système audio CD RDS MP3 6HP
    • Options : Peinture métallisée = 500€

    Moteurs disponible avec cette finition : 2.2 HDI 160ch FAP

    • Pack : C’est le deuxième niveau de finition du C-Crosser. Il propose à partir de 34 850€ les équipements évoqués ci dessus ajouté à une banquette en rang 2 rabattable électriquement, un kit main libres Bluetooth et des jantes alliage 16 pouces
    • Options : Peinture métallisée = 500€ Aide au stationnement arrière = 350€ Navigation couleur+caméra de recul = 2 400€ Jantes alliage 18 pouces = 800€

    Moteurs disponible avec cette finition : 2.2 HDI 160ch FAP

    • Exclusive : C’est le haut de gamme du C-Crosser. Il propose à partir de 38 150€ les équipements évoqués ci dessus ajouté à des lave projecteurs, des projecteurs Xénon, une aide au stationnement arrière, un système audio RDS MP3 6HP chargeur 6 CD intégré et des jantes alliage 18 pouces
    • Options : Peinture métallisée = 500€ Toit ouvrant électrique = 700€ Système audio HiFi MP3 9HP 650W = 950€ Système audio Rockfor+Navigation couleur = 3 350€ Navigation couleur+caméra de recul = 2 400€

    Moteurs disponible avec cette finition : 2.2 HDI 160ch FAP

     


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  • Citroën BX

     

    Citroën BX
    Citroën BX
    Constructeur : Citroën
    Production totale 2 337 016 exemplaires
    Classe Familiale
    Carrosseries Berline bicorps
    Break
    Berline 4TC
    Performances
    Motorisations Essence : 1,1 (57 ch), 1,4 (65 à 75 ch), 1,5 et 1,6 (75 à 94 ch), 1.9 (107 à 121 cv) 1,9-16v Sport,GTI (122 à 160 ch) et 2,1 sur la 4TC (plus de 200cv).
    Diesel : 1,7 (60 ch), 1,9 D (64 et 71 ch) 1,9 TD (90 ch et 92 cv)
    Transmission Traction
    Dimensions
    Longueur 4 280 / 4 390 / 4 510 mm
    Largeur 1 690 / 1 690 / 1 830 mm
    Hauteur 1 360 / 1 390 / 1 420 mm
    Poids de 885 à 1 235 kg
    Chronologie des modèles (1982 - 1994)

    La Citroën BX est un modèle automobile, produit par le constructeur français Citroën à 2 337 016 d'exemplaires entre 1982 et 1994.

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    Présentation [modifier]

    Remplaçante de la GSA, la Citroën BX fut présentée au salon de l'automobile de Paris en octobre 1982. Dessinée par Marcello Gandini, responsable du style à la Carrozzeria Bertone (alors dirigée par Nuccio Bertone), son style est anguleux et inspiré du prototype Reliant FW11 de 1977. Particulièrement bien dotée pour l'époque, elle était équipée de série de 4 freins à disques et de la suspension hydropneumatique. Sa plate-forme sera ensuite utilisée, à partir de 1987, par la Peugeot 405[1]. Une particularité notable de la BX était le décentrage du double chevron Citroën sur la gauche du capot, devant le conducteur, ce qui donnait une allure moins académique et plus originale à la partie avant de la voiture ; de plus, elle n'était dotée que d'un essuie-glace mono-balais, à l'instar des Visa et CX.

    Cette fois-ci, les trains avant sont de type pseudo-McPherson. Elle dispose d'un tableau de bord inspiré de celui de la CX : compteur à rouleaux pour le compteur de vitesse et satellites latéraux en lieu et place des classiques commodos. Le compte-tours est à curseur horizontal et n'est monté que sur la version haut de gamme (BX 16 TRS). Plus large que sa devancière, elle est également dotée de moteurs plus puissants dès sa sortie. Trois motorisations essence forment la dot de l'engin : le 1 360 cm³ XY hérité de la 104, en version 62 et 72 ch et le tout nouveau XU 1 580 cm³ de 90 ch. En 1987, les moteurs essence XY sont abandonnés laissant totalement leur place au TU, comme dans le reste de la gamme PSA. Concernant les finitions, 5 sont disponibles : BX, BX 14 E, BX 14 RE, BX 16 RS et BX 16 TRS. La BX de base possède un équipement relativement spartiate, mais ne démérite pas par rapport à la concurrence de l'époque. La BX 16 TRS, quant à elle, dispose de la centralisation, des vitres avant électriques, d'un compte-tours électronique, peut disposer des vitres arrière électriques et d'un climatiseur en option ; elle se distingue par ses vitres de custode fumées, en polycarbonate.

    L'année 1983 voit l'arrivée d'un diesel. Il s'agit du tout nouveau XUD9, développant 65 ch. L'option boîte automatique voit le jour en 1984, tout comme un nouveau modèle haut de gamme, la BX 19 GT. Disposant d'un XU9 de 1 905 cm³ à carburateur double corps, cette élégante berline peut désormais compter sur 105 ch pour se mouvoir. Ce moteur coupleux associé à une boîte aux rapports relativement courts permet d'effectuer des accélérations et des reprises d'un niveau tout à fait actuel. Le tableau de bord est doté d'un compteur de vitesse et d'un compte-tours à cadrans ronds, début du renoncement aux particularités Citroënistes. La BX 19 GT disposait d'une direction assistée de série, d'une sellerie en tweed et d'un ordinateur de bord. Celui-ci dispensait des informations de consommation et d'autonomie, mais la tenue au temps désastreuse du débitmètre a souvent terni la fiabilité du dispositif.

    Citroën BX 4TC

    1985 est une grande année pour la BX. La première déclinaison "sportive" de la BX voit le jour. Il s'agit de la BX Sport, qui a été préparée par Danielson sur la base de la BX 19 GT. La culasse est dérivée de celle de la Visa GTI, et deux énormes carburateurs viennent prendre place sous le capot. Au final, 126 ch agressifs et pleins à tous les régimes font de cette voiture une véritable bombe. De plus, la présentation externe est adaptée, avec un kit carrosserie spécifique A l'époque, le remplacement d'un bouclier avant coûtait près de 4 fois plus qu'un bouclier de série). Cette même année apparaît la BX break (assemblé chez Heuliez), disponible en deux motorisations essence et une diesel. A sa sortie, aucune version haut de gamme n'était disponible (14 RE, 16 RS et 19 RD). Apparition également de la BX Digit, série spéciale sur base de BX 19 GT mais avec des compteurs numériques spécifiques et une présentation intérieure que les fans de Star Trek ne renieraient pas. Toujours la même année en 1985, Citroën décide de participer au Championnat du monde des rallyes avec la BX 4TC Evolution destinée à la catégorie Groupe B. Elle se veut imiter l’Audi Quattro à l'aide de sa transmission intégrale, mais trop grosse, pas assez puissante, et manquant de développement et de fiabilité, elle sera rapidement abandonnée. Son seul résultat étant une 6e place au Rallye de Suède 1986. Comme tous les engin du groupe B, cette voiture a été fabriquée dans une version "public", 200 exemplaires "clients" seront réalisés par Heuliez. Cette commercialisation d'une version "public" était une condition d'homologation exigée par la FISA à l'époque (idem pour la 205 T16 par exemple). Homologuée le 1er janvier 1986 par la FISA, la voiture a été fabriquée chez Heuliez puis préparée à Trappes tout au long de l’année 1985. Moteur : 4 cylindres en ligne à turbocompresseur Garrett et injection K Jetronic Bosch et boîte 5 rapports de type SM. Cylindrée : 2 141 cm³/200 ch DIN à 5 250 tr/min, 10 CV (plus de 230km/h et 0 à 100 en 7.6secondes). Carter moteur en fonte, culasse en alliage léger. Echangeur air-air Néanmoins, dans le cas de la BX 4TC "clients", seules 86 trouvèrent preneurs, les invendues furent détruites par Citroën. Le prix de la BX 4TC était de 248 500 FF en 1986.

    Citroën BX 4TC

    En juillet 1986, la BX subit un restylage pour le millésime 1987, réalisé par Carl Olsen, designer Citroën à qui l'on doit également l'AX et la CX Série 2. On rentre alors dans l'ère de la BX Série 2. Au rang des modifications, on trouve le changement des boucliers avant et arrière par des nouveaux modèles moins massifs, l'augmentation de la taille des clignotants avant (qui sont désormais de couleur blanche), et en ligne avec les phares. Le tableau de bord change également complètement, et les compteurs à rouleaux "pèse-personne" sont abandonnés au profit de compteurs plus classiques à aiguilles, tout comme les "satellites" qui sont remplacés par des commodos traditionnels. Le volant monobranche évolue au profit d'une branche large, sauf pour certains modèles où il est à 4 branches). Les BX Sport, Digit et 19 GT disparaissent. La BX 19 TRS remplace la BX GT, dont elle reprend la même mécanique. La BX Sport se fait remplacer par la BX 19 GTi. Celle-ci est motorisée par une variante du bloc de la 205 GTi, ramenée à 125cv. La BX GTi dispose de l'ABS en option. C'est le seul modèle qui arbore un jonc chromé sur ses baguette latérales.

    L'AM 88 voit l'apparition de la BX Turbo Diesel. Le moteur a une cylindrée de 1 769 cm³, dispose d'un échangeur thermique (intercooler) et développe 90 ch. Cette motorisation particulièrement performante et économique en carburant est disponible en berline et en break. Autre modèle important : la BX GTi 16 Soupapes. Cette BX est la plus puissante de la gamme et le restera jusqu'à la fin de la fabrication (si on exclut la très rare BX 4TC). Disposant du tout nouveau XU9J4 (1 905 cm³, double arbre à cames en tête, 16 soupapes) de 160 ch DIN, elle peut atteindre 218 km/h et est capable de réaliser le 0-100 km/h en 7.9 secondes. C'est la première voiture française de série à disposer d'un moteur multisoupapes; de plus, elle dispose de l'ABS de série. Attention néanmoins à ne pas faire de la confusion avec la BX16s, version à la finition bas de gamme, équipée du moteur 1580cm3 94 cv. Apparaît aussi en essence la BX 15 RE c'est le 1 580 cm³ de la BX 16 mais avec seulement 80 ch (au lieu de 94) car mise en place d'un carburateur simple au lieu du double corps de la 16. Ses performances : 180 km/h en vitesse maximum, et elle fait le 0 à 100km/h en 11.7 secondes. En diesel, apparition d'une nouvelle version dénommée BX D et qui est équipée du moteur de la Visa (1 769 cm3).

    En juillet 1989, apparition de la version 4x4 de la BX. Elle dispose d'un différentiel avant, d'un différentiel central à verrouillage et d'un différentiel arrière à glissement limité. La version GTI est dotée de l'ABS et d'un différentiel torsen. Le comportement routier est tout bonnement excellent, malgré des performances en retrait par rapport à la version 2 roues motrices. La BX 16 Soupapes subit un restylage, avec une modification des boucliers avant et arrière, de l'aileron, des jantes ainsi qu'un changement du type d'injection, la puissance a été ramené à 144cv du fait de l'adoption d'un pot catalytique.

    En 1992 apparaît le moteur XUD9A (1,9D), dans une version à 71ch. Il se distingue par sa grande souplesse et sa faible consommation. Il sera ainsi repris sur les ZX et Xantia (avant que tous les moteurs diesel atmosphériques ne disparaissent de la gamme avec l'arrivée du HDI).

    Les dernières années de production voient le niveau d'équipements en hausse permanente et un certain nombre de séries spéciales sont lancées afin de doper les ventes : Calanque, Image, Millésime, Ourane (version uniquement disponible en turbo diesel, présentation extérieure spécifique, abs de série, et climatisation de série sur les dernières). La production est arrêtée en décembre 1993 pour les berlines. Les breaks voient leur production continuer jusqu'en 1994. Il est bon de savoir qu'elle pouvait avoir en équipement, la climatisation, les vitres électriques avant arrière, les rétros-viseurs électriques et dégivrants, des jantes aluminium, toit-ouvrant électrique...

    La dernière BX vendue est un break, en janvier 1996. De ce fait, l'obligation légale pour le constructeur de fournir les pièces ne s'est éteinte qu'en janvier 2006.

    Elle a été remplacée par la Xantia dès mars 1993; la version break continuant sa carrière encore quelques mois.

    Cinéma [modifier]

    Films mettant en scène une BX


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  • Citroën Berlingo

    Citroën Berlingo First
    Citroën Berlingo First
    Constructeur : Citroën
    Classe Ludospace / Utilitaire
    Carrosseries Fourgonnette, Fourgonette vitrée 5 places (versions particuliers)
    Performances
    Motorisations Essence ou GNV
    Puissance (ch) 68 à 75 ch
    Émission de CO2 146 g/km
    Transmission BVM5
    Dimensions
    Longueur 4 137 mm
    Largeur 1 960 mm
    Hauteur 1 796 mm
    Empattement 2 693 mm
    Poids 1 258 kg
    Chronologie des modèles (1996 -)
    Citroën C15
    Berlingo II
    Berlingo II
    Berlingo II
    Citroën Berlingo I vue arrière

    Le Berlingo est un modèle d'automobile du constructeur automobile français Citroën sorti en 1996 pour la première version et sorti en 2008 pour la deuxième version.

    Le Berlingo existe en plusieurs versions : véhicule particulier à 5 places, utilitaire (600 et 800 kg de charge utile) et en version châssis-cabine.
    Dans la même catégorie : Renault Kangoo, Fiat Doblò, Opel Combo Tour, Mercedes Vaneo, Peugeot Partner, Ford Tourneo.

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    Berlingo I (1996 - 2008) 

    À l'origine, le couple Berlingo-Partner apparaît pour remplacer des fourgonnettes obsolètes, dont la conception remonte aux années quatre-vingt. La version utilitaire est lancée en premier, et Citroën crée un marché en décidant, en 1996, de lancer en parallèle une version familiale, appelée « Multispace », et un peu plus haut de gamme par rapport à l'utilitaire (pare-chocs peints, meilleur choix de matériaux intérieurs et de coloris de peinture, hayon monobloc, moteur 1,8 l essence disponible, meilleur choix d'options).

    Mais ce segment des ludospaces ne reste pas l'exclusivité de Citroën pendant très longtemps, surtout qu'il présente des avantages pour les deux partis : les clients ont de l'espace pour pas cher, et le constructeur rentabilise ses installations industrielles en augmentant ses ventes du même modèle.

    Renault présente rapidement un concurrent, le Kangoo avec un design ludique et une porte coulissante à l'arrière. Ces ventes sont bonnes, et Peugeot-Citroën doit répliquer. Le Berlingo doit disposer d'une porte coulissante, et ce, en modifiant au minimum les moyens de production : le profil du véhicule doit rester le même, la porte avant, initialement prévue large, doit rester en place.

    Ainsi apparaît, au printemps 1999, un Berlingo avec une porte coulissante. Pour des raisons de sécurité, celle-ci est sur le côté droit de la carrosserie.

    Il adopte début 2000 un moteur 2 litres HDi de 90 ch, en complément du 1.9 diesel de 71 ch et des deux blocs essence. Les pare-chocs des versions Multispace reçoivent un demi-bandeau en plastique noir en lieu et place de la peinture intégrale, et l'intérieur devient coloré en harmonie avec la couleur extérieure.

    Dans la suite logique de cette démarche, Renault équipe le Kangoo d'une deuxième porte de ce type, à gauche.

    Citroën alignera à nouveau son offre, avec une deuxième porte coulissante, d'abord en option, puis en série sur les Multispace.

    Le Berlingo vieillit tranquillement, jusqu’à ce que le Kangoo tente de reprendre l'avantage que Citroën avait pris grâce à une tenue de route bluffante pour un utilitaire et au 2 litres HDi doux et polyvalent. Le Kangoo se repoudre le nez et adopte un diesel un peu moins « agricole ».

    Finitions et moteurs [modifier]

    Le Berlingo First a 1 moteur pour 1 niveau de finition.

    • First : C’est le seul niveau de finition du Berlingo First. Il propose à partir de 17 350€ une batterie sans entretien, des roues tôle, un volant réglable en hauteur, un ABS+REF, un coussin gonflable de sécurité (« airbag ») côté conducteur, un pare-brise feuilleté, une direction à assistance variable, des rétroviseurs extérieurs manuel, une condamnation à clé, des essuie-vitre avant intermittents, un pack plus, des portes arrières battantes vitrées, une porte latérale coulissantes droite, un rangement capucine, une tablette cache-bagages, un tapis de sol des vitres arrière chauffantes, des vitres teintées et un pré-équipements radio
    • Options : Peinturé métallisée = 350€ Projecteurs anti-brouillard = 150€ Essuie-vitre arrière = 150€ Air conditionné = 1 100€ Portes latérales coulissantes vitrées = 300€ Système audio CD RDS 6 HP = 350€

    Moteur disponible avec cette finition : 1.4i Essence/GNV 75/68ch

    Berlingo I Phase 2 [modifier]

    Berlingo I phase 2

    Le Berlingo doit réagir une énième fois à ces attaques, ce qui se fera assez rapidement, à l'occasion du restylage de 2002. Ce restylage concerne la face avant, et l'on passe d'une vague imitation de Xsara à un look vraiment personnel, imitant un SUV et son pare-buffle à l'avant. La planche de bord est aussi modifiée à cette occasion, mais l'arrière n'en a pas profité, et la couleur, omniprésente de la planche de bord aux ceintures de sécurité, disparaît à cette occasion.

    Les modifications techniques sont à l'avenant : multiplexage, renforcement de la zone d'absorption des chocs à l'avant, adoption en série sur Multispace des freins antiblocage et de coussins gonflables.

    Aucune modification sérieuse depuis, hormis l'apparition des moteurs 1,6 l Hdi (75 et 92 ch) et de la version XTR, imitant un tout-terrain (bas de caisse, pare-chocs, etc.).

    Moteurs et châssis [modifier]

    Le Berlingo dispose, en version utilitaire, de deux moteurs à essence, 1,1 l (60 ch) et 1,4 l (75 ch), et de deux motorisations diesel, l'une atmosphérique de 1,9 l et l'autre turbocompressée, le fameux moteur 2,0 HDi de PSA.

    Il peut aussi recevoir, dans sa version utilitaire, une motorisation électrique disponible depuis 1998 (ce modèle remplace la C15 électrique), et une motorisation au gaz, basée sur le moteur à essence de 1,4 l.

    La version particuliers (5 places) commence, en essence, par le 1,4 l, et est complétée par le 1,6 l à 16 soupapes (version 110 ch). Les anciennes versions ne bénéficiaient "que" d'un 1,8 l à 8 soupapes comme "gros" moteur, celui-ci développe 90 ch et présente l'avantage du couple à bas régime, important quand on roule avec de la charge.

    Pour le salon de l'auto 2006 de Bruxelles les motorisations essence sont la 1.4i et la 1.6i 16v. En diesel, 1.6 HDi, 2.0. HDi et 1.9D.

    Courant 2006, le 1.6 HDi remplace à la fois le 2.0 HDi, dans sa définition de moyenne puissance (92 ch), et le 1.9 diesel par sa plus modeste définition (75 ch). Ce moteur de 75 ch est exclusif au Berlingo. Les ventes en diesel de ce véhicule représentent plus de 85 % du total des ventes de Berlingo, Citroën mise donc en grande partie dessus.

    Le châssis est issu de feu la ZX, et a été amélioré en 2002 au moment du restylage pour satisfaire aux normes de sécurité. Il a ainsi glané quatre étoiles en crash-test EuroNCAP. Les suspensions avant de ZX permettent un guidage précis et une tenue de route saine, en tout cas honorable pour un utilitaire plus haut que large.

    Les suspensions arrière (issus de Peugeot 405 break) sont spécialement conçues pour résister à l'écrasement en charge. L'effet "cul tassé" bien connu des propriétaires de C 15 est ainsi évité au maximum. La charge maximale utile pour les versions utilitaires est de 800 kilogrammes. En fait, le Berlingo semble, par sa répartition des masses, être plus conçu pour rouler en charge, qu'à vide. Une fois chargé, l'avant est un peu moins plongeant, et l'ensemble est rééquilibré.

    Dangel fournit une transmission intégrale sur demande spéciale, alors que Citroën imite le SUV avec sa version “XTR”.

    Ne pas confondre le Berlingo XTR avec le Berlingo Dangel, ce dernier est un véritable 4 roues motrices à boîte de transfert, blocage de différentiel, protection du carter et garde au sol augmentée, alors que le XTR n'est qu'une simple traction.

    Habitacle et carrosseries [modifier]

    L'habitacle des versions 5 places est bien évidemment très spacieux, et il peut se muer en utilitaire à l'envi, offrant un volume de chargement impressionnant pour 4,13 m de long : une fois la banquette repliée, on dispose d'un volume de l'ordre de 2,8 à 3 mètres cube, selon les sources.

    Les sièges arrière ont été légèrement surélevés en 1999, à l'occasion de l'adoption de la porte latérale coulissante.

    Ceci afin de faciliter l'accès à bord, mais aussi d'éviter le mal des transports chez les enfants, en leur offrant une meilleure visibilité sur la route.

    Ce surélèvement ne grève que très peu la hauteur habitable à l'arrière (distance siège - toit), celle-ci reste d'environ 98 cm, là où une berline traditionnelle ne dépasse pas 80 cm.

    Les versions utilitaires profitent de la même planche de bord, donc de la même finition, et de plus en plus, de la porte coulissante droite, offrant un accès aisé à l'aire de chargement. Par contre, le plus souvent, les utilitaires n'ont pas de hayon mais deux portes battantes, s'ouvrant vers les côtés et non vers le haut.

    Le hayon des versions familiales offre l'avantage de pouvoir servir de “parapluie”, car il représente une importante surface de tôle, plate, et qui s'ouvre jusqu’à l'horizontale. L'inconvénient vient de ce que d'autres peuvent se garer à cinq centimètres d'une telle porte : impossible alors de l'ouvrir. Citroën a prévu des portes battantes en option gratuite.

    Des versions à toit ouvrant en toile ont existé jusqu'au restylage de 2002. Ce toit, façon deux-chevaux, s'ouvrait jusqu'après les sièges arrière. L'étanchéité est le point faible de ce type de mécanisme, d'autant plus qu'il fait diminuer la rigidité du châssis.

    Sur les modèles restylés, et profitant de l'importante hauteur sous plafond, Citroën propose en option sur le Multispace un aménagement dit "Modutop". Le Modutop, accroché au toit, consiste en un hublot au-dessus de chaque siège, une bouche de ventilation par passager arrière, un range-CD et deux capucines individuelles à l'avant, deux coffres de rangement aux places arrière, et une capucine dans le coffre. Ceci est livré avec une "Modubox", chariot pliant disposant d'ancrages dans le coffre (pour transporter un faible volume de courses, par exemple).

    Le Berlingo est produit un peu partout dans le monde, notamment en Russie, en Chine, en Espagne et en France pour le marché européen, et en Amérique du Sud. En 2008, PSA a annoncé le lancement d'une version rallongée produite en Turquie.

    Berlingo II (2008 - ) [modifier]

    Citroën Berlingo II
    Citroën Berlingo II
    Constructeur : Citroën
    Production totale Par an : 300 000 exemplaires
    Classe Ludospace / Utilitaire
    Carrosseries Fourgonnette, Fourgonette vitrée 5 places (versions particuliers)
    Performances
    Motorisations Essence :
    1.6i 16V 90ch
    1.6i 16V 110ch
    Diesel :
    1.6 HDi 75ch
    1.6 HDi 92ch
    1.6 HDi 110ch FAP
    Émission de CO2 147 à 195 g/km
    Transmission BVM5
    Dimensions
    Longueur 4 380 mm
    Largeur 1 810 mm
    Hauteur 1 810 ; (+ 30 pour la XTR) mm
    Empattement 2 730 mm
    Poids 1 397 à 1 429 kg
    Chronologie des modèles (2008-)
    Berlingo I
    Berlingo I
    Berlingo I
    Aucun
    Aucun
    Aucun
    Citroën Berlingo II Utilitaire

    Deux modèles (pour chaque marque) remplacent les petits utilitaires actuels, alors que le Belingo I continue à être produit pour certains marchés sous le nom Berlingo First.[1]

    Les Berlingo II et Partner II sont développés entièrement par PSA sur la même plate forme que la Citroën C4 et la Peugeot 308. Ils bénéficient de moteurs plus puissants avec l'arrivée du HDi 110 chevaux FAP, le DV6 HDi 90ch étant reconduit, de même que le 1,6l 90 ch essence. La version ludospace au un équipement enrichi (aide au démarrage en pente, volant réglable en hauteur et en profondeur, volet arrière avec lunette ouvrante, 3 sièges indépendants et déposables en rang 2, nouveau Modutop®...).

    Le nouveau Berlingo a reçu 4 étoiles sur un maximum de 5 au crash Euro NCAP

    Finitions et moteur [modifier]

    Le Berlingo à 5 moteurs et 4 niveaux de finitions

    • Bivouac : C'est le bas de gamme du Berlingo. Il propose à partir de 15 250€ une roue de secours homogène, ABS+REF+AFU, un coussin gonflable de sécurité côtés conducteur et passager, un pare-brise feuilleté et une vitre arrière trempé, une direction à assistance variable, une banquette arrière 40/60 rabattable, une capucine, un essuie-vitres intermittents, une porte latérale coulissante droite, des rétroviseurs rabattable manuellement, un tapis moquette en rang 1 et 2, un tapis de coffre en PVC, des vitres entrebaillables en rang 2, des vitres teintés, un pré-équipement système audio, des jantes 15 pouces et un volet arrière.
    • Options :Peinture métallisé = 390€ Filet de retenue charges hautes = 100€ Capucine + 2 barres de chargement intérieur = 120€ Girafon = 260€ 2 portes latérales coulissantes droite et gauche = 300€ Système audio CD RDS 6HP MP3 = 390€ 2 portes arrière battantes vitrées = 80€

    Moteur disponible avec cette finition : 1.6i 16v 90ch et 1.6 HDI 75ch

    • Multispace : C'est la deuxième finition du Berlingo. Il propose à partir de 16 050€ les équipements évoqués ci dessus ajouté à un coussin gonflable de sécurité thorax latéraux en rang 1, pack confort et sécurité, des rétroviseurs électriques, 2 portes latérales coulissantes droite et gauche, un siège conducteur réglable en hauteur et un tapis de coffre en moquette.

    Par contre le tapis de coffre en PVC disparaît.

    • Options :Peinture métallisé = 390€ Filet de retenue charges hautes = 100€ Pack enfant = 200€ Régulateur/limiteur de vitesse = 250€ Capucine + 2 barres de chargement intérieur = 120€ Modutop = 750€ Rétroviseurs extérieurs électriques = 100€ Pack clim/CD = 1 200€ Kit mains libres Bluetooth = 670€ Système audio CD RDS 6HP MP3 = 390€

    Moteur disponible avec cette finition : 1.6i 16v 90ch, 1.6 HDI 75ch et 1.6 HDI 92ch

    • XTR : Voir au dessous
    • Options :Peinture métallisé = 390€ ESP = 350 € Filet de retenue charges hautes = 100€ Pack enfant = 200€ Radars de recul = 300€ Régulateur/limiteur de vitesse = 250€ Modutop = 750€ Rétroviseurs extérieurs électriques = 100€ Kit mains libres Bluetooth = 670€ Système audio CD RDS 6HP MP3 = 390€ Volet arrière et lunette ouvrante = 240€

    Moteur disponible avec cette finition : 1.6i 16v, 1.6 HDI 92ch et 1.6 HDI 110ch FAP.

    • Multispace Pack : C'est le haut de gamme du Berlingo. Il propose à partir de 22 000€ les équipements évoqués au dessus ajouté à un coussin gonflable de sécurité rideaux avant et arrière, un pack enfant, un pare-brise feuilleté athermique, un régulateur/limiteur de vitesse, un volant en cuir, une capucine, un système audio CD RDS 6HP MP3, des jantes 15 pouces et un volet arrière accompagné d'une lunette ouvrante.

    Par contre d'autre équipements disparaissent : les deux barres de chargement intérieur et les jantes 16 pouces

    • Options :Peinture métallisé = 390€ ESP = 350 € Filet de retenue charges hautes = 100€ Supercondamnation = 120€ Jantes alliage 16 pouces+Détecteur de sous gonflage = 480€ Radars de recul = 300€ Capucine+2 barres de chargement intérieur = 120€ Modutop = 750€ Kit main libres Bluetooth = 670€

    Moteur disponible avec cette finition : 1.6i 16v, 1.6 HDI 92ch et 1.6 HDI 110ch FAP.

    Berlingo XTR [modifier]

    Cette finition un peu spécifique du Berlingo propose à partir de 20 600€ les équipements des finitions Bivouac et Multispace ajouté à des éléments de style extérieur, des antibrouillard, une capucine avec 2 barres de chargement intérieur, 3 sièges arrières indépendants, un siège conducteur réglable en hauteur et des jantes de 16 pouces. Par contre les essuies-vitres intermittents disparaisse.
    C'est la finition baroudeur du Berlingo, Attention il a toujours que 2 roues motrice et non 4 comme le fait le préparateur Dangel

    Berlingo utilitaire (VU) [modifier]

    La version utilitaire offre un grand espace de chargement (3,3 m³, jusqu’à 850 kg de charge utile et 1,8 m de longueur utile) pouvant accueillir deux palettes de type Euro dans le sens de la largeur. Il peut aussi disposer d’une cabine modulable permettant de transporter des charges mesurant jusqu’à 3 mètres de long et d’étendre son volume utile à 3,7 m³ ou d’accueillir 3 personnes à l’avant.[2] Le Berlingo utilitaire peut aussi proposer une ou deux porte coulissantes latérales pour faciliter le chargement


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  • Citroën AX

    Citroën AX
    Citroën AX
    Constructeur : Citroën
    Production totale 2 461 432 exemplaires
    Classe Petite polyvalente
    Carrosseries berline 3 et 5 portes
    Performances
    Motorisations ÉLECTRIQUE : SA13
    ESSENCE: 1L (45ch - 50ch) 1,1L (55ch - 60ch), 1,4L(65-70ch - 75ch), GT (85 et 75ch) et Sport puis GTI(95ch)
    DIESEL: 1.4 D (53 ch), partir de sept.1994 1.5 D (58 ch)
    Transmission Manuelle 4 rapports puis 5 en juillet 1992, traction
    Dimensions
    Longueur 3530 mm
    Largeur 1560 mm
    Hauteur 1360 mm
    Poids 630 - 848 kg

    La Citroën AX est un modèle d'automobile citadine, conçu par le constructeur français Citroën. Légère et aérodynamique (Cx de 0,31), elle a été conçue dans le but d'être économique, et peu coûteuse à la production et à l'entretien. Elle a été produite par Citroën de 1986 à 1999. Elle a également été produite en Malaisie de 1996 à 2000 et vendue sous le nom de Proton Tiara. L'AX est la 3e voiture la plus produite par Citroën après la GS (1970-1986) et la 2CV (1948-1990).

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    Naissance de l'AX 

    La Citroën AX est présentée au Salon de Paris de 1986. Elle se présente comme le successeur de trois modèles : la petite LNA, la vieillissante Visa et la mythique 2cv (« deux chevaux »). L'AX est bien acceptée par le public : par rapport à la LNA et la Visa, l'AX représente un progrès peu contesté en revanche vis-à-vis des adeptes de la 2cv c'est un peu plus compliqué. En Allemagne l'AX connaît un succès mitigé dû au fait qu'elle n'est alors disponible qu'en version trois portes alors que la 2cv en propose 4 et pour un prix 20% moins élevé. En 1988 la version 5 portes de l'AX arrive et sonne le glas de la 2cv, déjà condamnée par les normes anti-pollution et sa faible résistance au crash test. Finalement, en juillet 1990, la production de la 2cv cesse au Portugal à l'usine de Mangualde laissant donc la place à l'AX. La gamme commence à s'élargir pour pouvoir s'attaquer aux reines de la catégorie : la Renault 5II (ou SuperCinq) et la Peugeot 205.

    Évolutions 

    Au début de sa carrière, l'AX a une forme anguleuse, très à la mode dans les années 1980. Le tableau de bord est lui aussi géométrique d'aspect mais on note un plus comparé à la Visa qu'elle remplace : l'abandon des célèbres (mais peu seyants) "satellite" de commandes. En 1992, pour fêter les 6 ans de carrière de l'AX, Citroën lui accorde un petit restylage. Les pare-chocs s'arrondissent, le tableau de bord également mais il est également plus complet qu'auparavant. Sur les dernières années de sa production, l'AX est disponible avec le coussin gonflable de sécurité (« airbag »), ce qui est très peu courant dans les années 1990 sur des voitures de cette taille, la climatisation (en option) et les vitres électriques. Lorsqu'en 1996 Citroën présente la Saxo, l'AX à encore de beaux jours devant elle. En effet la "nouvelle" Saxo n'est qu'une copie de la Peugeot 106 née en 1991. Le succès de la Saxo n'étant pas au rendez-vous, Citroën décida de poursuivre la production de l'AX en attendant la Saxo 5 portes et le succès qui va avec. Après le restylage de la Saxo en 1998, l'AX n'a plus beaucoup d'arguments pour séduire, après l'apparition de la 206 (la remplaçante de la 205) et de la Clio (la remplaçante de la Supercinq), l'AX apparaît subitement dépassée. En 1999 l'AX disparaît des tarifs du constructeur.

    Motorisation 

    À partir de juillet 1992, les moteurs à essence sont pourvus d'un circuit d'injection. Elle fut la première voiture a recevoir le nouveau bloc TU développé par PSA.

    Habitacle [modifier]

    L'intérieur de l'habitacle est redessiné en juillet 1991.

    L'AX, en particulier en phase 1, était plutôt dépouillée et donc légère (la version 10E de 1986 affiche un poids de 640 kg à vide). Les réglages disponibles pour le volant et les sièges sont très limités. En revanche, il s'agit d'une des seules voitures comportant des porte-bouteilles dans les portières avant.

    Il existait tout de même une version luxe de l'AX phase 2 : l'AX Exclusive. C'était une AX bénéficiant de nombreux équipements (climatisation, intérieur cuir, freinage ABS, etc.). Le moteur était celui de l'AX GT ou 4x4 (1.4 l, 75 ch) avec un look d'AX GTI mais des trains roulant en 3 trous, aucun signe extérieur, ni aucune inscription ne la démarque, seul l'intérieur cuir trahit la finition très haut de gamme de cette AX qui reste rare et cotée sur le marché de l'occasion.

    L'AX sport d'une cylindrée de 1294 cm³ et ses 2 carburateurs double corps capricieux développent une puissance de 95 ch DIN grâce au préparateur Danielson. Pour un poids plume de 715 kg. Elle est sortie en 2 versions phase 1 (5 000 exemplaires seulement), puis phase 2 à partir de 1987. Les principales modifications de cette dernière sont la modification du tableau de bord avec un grand compte-tours, nouvelle décoration extérieure (aileron, stickers, nouvelles couleurs), nouvelles jantes de 14 pouces. L'AX Sport était le cauchemar des garagistes pour les réglages de carburateurs et n'était pas adaptée à une utilisation citadine mais aux courses de côtes.

    L'AX GT, qui représentera le modèle sportif de la marque, est plus polyvalente et développe une puissance de 85 ch DIN puis 75 ch en phase 2 sur une base 1,4 l.

    La GTI, quant à elle, dispose de l'ABS en option et d'un équipement de finition exemplaire de la gamme ! Elle développe 100 ch DIN, puis 95 ch en version catalysée (à partir de 1992) sur base d'un 1 360 cm³, le même que sa cousine la Peugeot 106 xsi.


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