• BMW

     

    Logo du groupe BMW

    Logo de BMW Group

    Création 1916
    Fondateur(s) Gustav Otto et Karl Friedrich Rapp

    Forme juridique société par actions
    Slogan(s) « Le plaisir de conduire »
    Siège social Munich
    Drapeau de l'Allemagne Allemagne
    Direction Norbert Reithofer
    Actionnaires Famille Quandt (majoritaire)
    Activité(s) Automobiles,Motos
    Produit(s) Véhicules particuliers et sportifs
    Filiale(s) Mini, Rolls-Royce, Husqvarna
    Effectif 100.041 (en 2008)
    Site d’entreprise www.bmwgroup.com

    Chiffre d’affaires 53.2Md (2008)
    Résultat net 0.921 milliards d'euros (2008)
    Principaux concurrents
    Audi, Mercedes-Benz, Jaguar, Infiniti, Lexus

    Bayerische Motoren Werke AG Bayerische Motoren Werke Aktiengesellschaft.ogg ou BMW[1], (en français : manufactures bavaroises de moteurs) est une société industrielle allemande constructrice d'automobiles et de motos après avoir été un grand constructeur de moteur d'avion d'où la forme du logo de la firme fondée en 1916 par Gustav Otto et Karl Friedrich Rapp.

     

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    Histoire [modifier]

    BMW est née de la fusion, le 7 mars 1916[2], de deux entreprises de mécanique de Munich, la Bayerische Flugzeugwerke et Otto-Werke. Elle était à l'origine un fabricant de moteurs d'avion. C'est ce que rappelle l'emblème de la marque : une hélice en mouvement sur fond des couleurs de la bavière : bleu et blanc.

    C'est du moins la version officielle. La vérité est moins poétique. Lorsque l'entreprise devient la Bayerische Motoren Werke, en 1917, ses dirigeants décident d'utiliser les couleurs de la Bavière. Toutefois, pour ménager les susceptibilités de la monarchie, très centralisatrice à l'époque (l'Allemagne n'étant unie que depuis 1871, pas question de raviver les tendances régionalistes), les couleurs bavaroises sont inversées, le bleu passant avant le blanc. Ce n'est que plus tard que le lien sera fait avec les moteurs d'avions, le service marketing y voyant bien des avantages. Avec le temps, la légende a perduré[3].

    À la suite de la défaite de l'Allemagne lors de la Première Guerre mondiale, il lui fut interdit de produire des avions ainsi que des moteurs pour son pays, et donc elle fut forcée de se reconvertir.

    Siège actuel de BMW à Munich en Bavière sur l'emplacement de la première usine historique de moteur d'avion de Gustav Otto en 1911.

    Elle se diversifia et produisit des moteurs pour motocyclettes (1922, avec un bicylindre à plat dessiné par Max Friz), camions et voitures.

    La production de motos prit de l'importance, avec un investissement important dans la compétition. En 1929, une BMW atteint 216,75 km/h, pilotée par Ernst Henne.

    En dehors d'un record d'altitude clandestin en 1920 (9 760 m), la production de moteurs d'avions reprit dans les années 1930, d'abord avec la fabrication sous licence de moteurs Pratt & Whitney, puis avec le moteur radial BMW 801 qui équipa le Focke-Wulf Fw 190. En 1939, il équipe le Junker 52. En 1944, BMW met au point le premier turboréacteur au monde.

    En 1928, BMW rachète les usines Dixi, constructeur allemand situé à Eisenach et se lance dans l'assemblage de la minuscule Austin Seven anglaise dont Dixi avait obtenu les droits. C'est ainsi que naît en 1929 la 3/15 PS. Elle gagne la coupe des Alpes en 1929.

    En 1930, sort un modèle nommé Wartburg, 748 cm³.

    En 1933 sortent la 303, équipée d'un 6 cylindres de 1773 cm3 et la 315 de 1 490 cm³.

    Les activités motocyclistes continuent, puisque la 100 000e moto sort en 1938, et que le record de vitesse passe à 279,5 km/h en 1939. Le modèle R75 avec side-car équipera l'armée.

    Durant la seconde guerre mondiale, BMW a eu amplement recours au travail forcé, notamment pour la fabrication des moteurs pour avions dans le camp d'Allach près de Munich. BMW admet avoir utilisé entre 25 000 et 30 000 prisonniers dont le salaire ridicule était reversé au trésor SS. La section allemande de Ford, Fordwerke, aurait recouru aux mêmes pratiques avant sa systématisation par le gouvernement nazi.

    Après-guerre [modifier]

    En 1945, l'usine de Munich était presque totalement détruite et l'usine d'Eisenach était occupée par les soviétiques. Celle-ci vandalisèrent les usines et s'emparèrent de la toute nouvelle technologie de BMW, à l'instar des Britanniques, qui produisirent le modèle x rose 3000, à la brillante carrière, à partir de plans volés à BMW. La société dut se reconvertir dans la production de bicyclettes et d'équipements ménagers et électro-ménagers.

    En 1952, l'entreprise d'Eisenach fut nationalisée.

    Jusqu'à cette période l'usine de Munich n'avait encore jamais fabriqué de voitures. En 1952, la production d'automobiles démarra avec des modèles faisant pâle figure à côté de leur concurrent direct, Mercedes-Benz.

    À cette époque, BMW fabriquera aussi bien un 8 cylindres (la 502) que l'Isetta sous licence ISO Rivolta (200 000 exemplaires vendus).

    La reprise en main de la gestion de la société par Herbert Quandt, qui devint un des principaux actionnaires, réorienta radicalement la stratégie de l'entreprise, axée sur des modèles plus abordables et plus proche de la demande existante. Il fit table rase de la hiérarchie préexistante dans l'entreprise et institua un régime méritocratique dans la culture de l'entreprise, ce qui lui permit de connaître un essor sans précédent.

    La BMW 1500 fut lancée au Salon mécanique de 1961 à Francfort, qui tourna une page dans l'histoire de BMW, libérée de son passé.

    Puis, elle fabriqua des véhicules : motos et voitures. Ces dernières firent gagner à la marque sa notoriété lors de confrontations sportives.

    En bleu : pays dans lesquels le groupe BMW possède des sites de production dans le monde

    En 2007, BMW compte 23 sites de production dans le monde avec MINI et Rolls-Royce, dans 13 pays sur 4 continents :

    Facilités de production chez des partenaires extérieurs :

    Implantation en France : Trois implantations du groupe en France (Paris, Strasbourg, Marseille)


    En 2007, BMW rachète au groupe italien Cagiva le constructeur de motos suédois Husqvarna.

    Modèles 

    Motos [modifier]

    BMW R37 : la deuxième, mais tout y est déjà.

    BMW commence à produire des moteurs de motos à la suite de l'interdiction de produire des moteurs d'avion à la suite du traité de Versailles.

    Au début, BMW copie les moteurs Douglas, flat twin (Boxer) à soupapes latérales et dont les cylindres sont montés longitudinalement. Ces moteurs sont vendus à des assembleurs comme Victoria ou Helios.

    BMW rachète Helios, et redessine complètement la moto, avec un moteur 500 cm³ dont les cylindres sont cette fois orientés traditionnellement transversalement (face à la route), avec une transmission par arbre sans cardan (il n'y a pas de suspension arrière), une suspension avant par ressorts à lame, et pas de frein avant : nous sommes en 1923, et c'est la R32.

    En 1924, sort la R37, à moteur culbuté.

    Cette machine est très moderne pour l'époque, où l'on rencontre majoritairement des moteurs à soupapes latérales et de composants mécaniques fonctionnant à l'air libre.

    En 1925, sort la R39, une 250 monocylindre culbutée (il y aura des monocylindres de 200 à 400 cm³).

    En 1928, sort la R63, une 750 cm³.

    Dans l'avant-guerre, BMW commercialisa plusieurs modèles 250 et 350 cm³ monocylindres, toujours 4 temps, avec arbre et cardan, à cadre tube ou en tôle emboutie.

    BMW sera la première marque à équiper ses motos d'une fourche télescopique en 1935.

    Pendant la guerre, BMW sera célèbre pour sa fameuse Afrika Korps (très inspiré du side belge FN Herstal), side-car à roue du side motrice, copié après la chute de l'Allemagne, par les soviétiques Ural.

    Après la guerre, la firme française CEMEC fabriquera des copies de BMW plus ou moins modifiées pour les administrations françaises.

    De 1950 à 1972, BMW continuera ses flat-twins à cardan, avec la Série 2, reconnaissable à sa fourche Earles. La couleur est le noir, parfois blanc, rarement rouge.

    En 1954, avec la BMW RS est produit un moto de course aux Upright Shafts. Elle reste victorieuse jusqu'aux années 1970.

    BMW n'abandonne pas tout de suite les monocylindres, avec des 250 cm³ à cardan : la R25 en 1953 (fourche télescopique) et la R27 en 1964 (fourche Earles), jusqu'en 1966.

    La fourche télescopique ne reviendra qu'avec la série 5 (déclinée en 500, 600 et 750 cm³), de 1969 à 1973.

    La Série 6 verra apparaître une 900 cm³, et une version plus puissante, la R90 S, avec un tête de fourche (1973 à 1976) et disparaître la 500.

    Le célèbre flat twin en version série 7

    La Série 7 comportera quatre 1000 cm³, la R100/7, non carénée, la R100 S avec le tête de fourche tourisme de la R90 S, la R100 RS, avec carénage intégral sport et la R 100 RT avec carénage intégral grand tourisme (1976 à 1995).

    Par la suite, on verra de « petites » BMW, toujours en flat twin, en 450 et 650 cm³ (R45 et R65) et la R75 passer en 800 cm³ (R 80/7).

    BMW ne proposera autre chose qu'un flat twin qu'avec la série K, en 1983 : la K75 (3 cylindres 750 cm³) et la K100 (4 cylindres 1 000 cm³). Ce moteur avait la particularité d'être un 4 cylindres en ligne longitudinal à arbre, couché horizontalement.

    C1 : un des premiers scooters (mais plus le seul) dont la conduite n'impose pas le port du casque car il est muni d'un toit, de protections latérales et d'une ceinture de sécurité.

    BMW continuera à innover en matière de suspensions, avec les GS 1150 et 1200, munies d'une fourche télescopique, associée à un combiné amortisseur situé devant le moteur.

    BMW sera aussi le premier à monter un ABS en série, sur sa K1.

    En 2006, BMW inaugure un tout nouveau moteur bicylindre en ligne vertical avec la F800. Il reprend le câlage à 360° du flat twin, gage d'une grande disponibilité, et développe 85 cv à 8000 trs/min. La F800 se décline en sport GT (S), GT (ST), à transmission par courroie, et GS. Légères, vives, maniables, elles veulent élargir la clientèle BMW.

    Depuis 2007 de nouvelles innovations technologiques de premier plan sont apparues sur les nouveaux modèles de la marque : un système électronique d'anti-patinage (ASC) inauguré par la R1200R, tel qu'on le trouve sur les autos, et permettant d'affronter des conditions d'adhérence très mauvaises en toute sécurité, un système de suspensions réglables électriquement en roulant (ESA) et un système de contrôle de la pression de gonflage des pneus (RDC).

    Voitures [modifier]

    la BMW 250 Isetta

    Il faut savoir que les modèles de la marque furent identifiés par un nombre de 3 chiffres le premier correspondant à la catégorie de véhicule, les deux autres à la cylindrée du moteur (sauf exceptions) suivi d'une lettre indiquant le carburant utilisé ou le type de transmission. Les séries principales actuelles sont :

    • BMW série 1 : berline compacte, disponible en 3 ou 5 portes, en coupé, et en cabriolet.
    • BMW série 3 : berline familiale, également disponible en break, coupé et coupé-cabriolet.
    • BMW série 5 : berline routière, également disponible en break.
    • BMW série 5 Gran Turismo : berline routière ou PAS (Progressive Activity Sedan).
    • BMW série 6 : coupé ou cabriolet Grand Tourisme.
    • BMW série 7 : berline de prestige, haut de gamme.
    • BMW série 8 : coupé Grand Tourisme.
    • BMW X3 : SUV (Sport Utility Vehicle) haut de gamme.
    • BMW X5 : Véhicule d'Activités Sportives VAS (Sports Activity Vehicle).
    • BMW X6 : Coupé d'Activités Sportives ou SAC (Sports Activity Coupé).
    • BMW M : véhicules sportifs et haut de gamme déclinée sur les Série 3, 5, 6, Z3, Z4, X5, X6 à travers les M3, M5, M6, Z3 M, Z4 M, X5 M et X6 M
    • BMW série Z : coupés et/ou roadsters : Z1, Z3, Z4, Z8.

    Les deux derniers chiffres représentant (souvent, mais pas toujours) la cylindrée, par exemple :

    • 320 = série 3 2,0 litres
    • 740 = série 7 4,0 litres
    • 330 = série 3 3,0 litres

    Cependant, BMW ayant pour certains modèles des moteurs de même cylindrée mais de puissance différente, ce schéma n'est pas toujours respecté, ainsi pour la série 1 :

    • 118d = série 1 2,0 litres, puissance 143 ch
    • 120d = série 1 2,0 litres, puissance 177 ch
    • 123d = série 1 2,0 litres, puissance 204 ch

    ou encore :

    • 335i = série 3 3,0 litres, (biturbo) puissance 306 ch [E92]
    • 745i = série 7 3,5 litres + turbo, puissance 252 ch [E23]

    Les modèles à 4 roues motrices sont designés par la lettre x, par exemple : 330xi. Les coupés sont designés par la lettre c, par exemple : 650ci (le coupé série 3 a abandonné le 'c').

    Le carburant de prédilection de la marque fut d'abord l' essence. Actuellement, pour ces modèles, un « i » en fin signifie, à injection (ex : 330i). Lorsqu'un « d » vient s'adjoindre à la fin du nombre du modèle, c'est qu'il s'agit d'un modèle à moteur diesel (ex : 330d). Toutefois, il y a eu quelques variantes au cours de l'histoire. Les modèles diesels furent aussi désignés par td ou tds (ex : 524 td ou 725 tds). Pour les essences, l'après choc pétrolier a fait apparaître des versions dites 'économiques' aujourd'hui disparues et affublées d' un e (ex : 525 e). Il exista la désignation tii (la 2002 tii des années 1970).

    Depuis 1990, BMW a beaucoup travaillé sur la réduction des émissions de CO2 de ses véhicules. La consommation moyenne de ses berlines a été diminuée de presque 30 %. Aujourd'hui, à peu près une BMW sur deux vendue en Europe émet moins de 140 grammes de CO2 par kilomètre[4]. BMW vient de franchir une nouvelle étape avec les mesures Efficient Dynamics qui consistent en des solutions visant à réduire la consommation et les émissions des véhicules (pneus à faible frottement, indicateur de changement de vitesse pour changer de vitesse au moment opportun, rechargement de la batterie lors des phases de freinage et le moins possible en roulant...).

    BMW est une marque aussi innovatrice en terme de concept-car. L'exemple du concept GINA Light Visionary (GINA pour Geometry and Functions In N Adaptions) révélé le 9 mai 2008 est symbolique. Il a remit en question la vision dont le monde automobile se fait des véhicules modernes. La modification de la géométrie d'un véhicule pourrait permettre de grande économies en terme de consommations tout comme elles seraient encore réduites par le faible poids que pèserait une carrosserie en fibre extensible. Bien évidemment il s'agissait d'un concept donc d'une idée pour faire réagir, et non pas d'un réel projet, du moins pour l'instant... Autre concept-car et non des moindres, le BMW Concept CS, ayant lui pour but de montrer le futur de la marque en terme d'esthétique et de design.

    BMW

     

    Marché [modifier]

    Constructeur automobile allemand positionné sur les segments haut de gamme et sportifs.

     

    Organisation de l'entreprise [modifier]

     

    La direction [

     

    Conseil de surveillance [modifier]

    Au 1er septembre 2006, le président du conseil de surveillance était Joachim Milberg.

     

    Le directoire [modifier]

    • Norbert Reithofer, Chairman
    • Klaus Draeger, Recherche & Développement et Achat
    • Frank-Peter Arndt, Production
    • Michael Ganal, Finance
    • Ian Robertson, Ventes & Marketing
    • Ernst Baumann, Ressources Humaines
    • Mario Theissen, directeur

     

    L'actionnariat [modifier]

    Flottant 53,4 %, famille Quandt 46,6 %, n.d. 4,5 %. Au 1er septembre 2006, Mme Quandt (veuve de Herbert Quandt) détenait 17,4 % des actions, son fils Stefan Quandt 16,7 % et sa fille Suzanne Klatten 12,5 %.

     

    La recherche et développement [modifier]

    Depuis 25 ans, les ingénieurs de BMW cherchent à développer une voiture à moteur thermique classique propulsée par un système d'alimentation en hydrogène liquide. En effet, l'hydrogène est un combustible propre car il ne génère que de la vapeur d'eau. Néanmoins, ce n'est pas une énergie primaire, de ce fait, la question est comment le produire. À l'heure actuelle, il peut être produit selon plusieurs méthodes, mais toutes ne sont pas « propres ». Produire de l'hydrogène à partir de gaz n'a en effet aucun sens puisque celui-ci va produire de la pollution en grande quantité. Des procédés propres peuvent alors être adoptés pour produire cet hydrogène (électrolyse de l'eau à partir d'électricité propre), mais ils ne sont actuellement pas rentables. C'est sur ce terrain que BMW tente de favoriser cette production « verte » pour ses futurs véhicules. La BMW Hydrogen 7, voiture homologuée mais non commercialisée est l'aboutissement de leur travail. Elle dispose de deux réservoirs : un d'essence, l'autre d'hydrogène. En mode essence le véhicule rejette 300 g/km de CO2 alors qu'il n'en rejette que... 5 g/km avec le mode hydrogène

    Cependant la commercialisation des modèles à hydrogène pose encore de nombreux problèmes à la firme bavaroise. Les réservoirs d'hydrogènes sont en effet très lourds ; ils pèsent 220 kilos. Les ingénieurs travaillent donc sur de nouveaux réservoirs moins volumineux


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  • BMW Z4 (E89)

     

    BMW Z4 (E89)
    BMW Z4 (E89)
    Constructeur : BMW
    Classe Sportive de prestige
    Carrosseries Roadster
    Usines d'assemblage Regensburg, Allemagne
    Performances
    Motorisations Essence
    6 cylindres en ligne, 4s
    Cylindrée 2 497 à 2 979 cm³
    Puissance (ch) 204 à 306 ch
    Puissance (kW) 150 à 225 kW
    Couple 250 à 400 Nm
    Vitesse maximale 250 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 5,5 à 6,2 s
    Émission de CO2 199 à 219 g/km
    Transmission Manuelle, Automatique ou Robotisée (DKG)
    Dimensions
    Longueur 4 239 mm
    Largeur 1 790 mm
    Hauteur 1 291 mm
    Empattement 2 496 mm
    Poids 1 480 à 1 580 kg
    Chronologie des modèles (2009 -)
    BMW Z4 (E85)


    La BMW Z4 est un modèle de roadster du constructeur automobile BMW. Le présent article s'intéresse à la version apparue en 2009 du Z4, dénommée en interne par BMW E89, remplacente de la BMW E85. Pour la fois dans son histoire, afin de rivaliser avec la concurrence telle Mercedes-Benz et son roadster SLK, la Z4 s'équipe un toit rigide rétractable. Cette nouvelle Z4 ne sera d'ailleurs plus scindée en deux véhicules distincts, coupé et roadster, mais sera uniquement disponible en version découvrable.

    Cette seconde génération de BMW Z4 est d'abord présentée par le biais de l'Internet début 2009 par le constructeur puis physiquement à l'édition 2009 du Salon international de l'automobile de Genève. Désormais fabriquée dans l'usine de Regensburg en Allemagne, et non plus aux États-Unis, la BMW Z4 sera lancée au mois de mai 2009 à un prix de base d'environ 35 900 €.

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    Design [modifier]

    « Capot gigantesque, empattement long et porte à faux court confèrent à la Z4 un style américain du plus bel effet »[1].

    Structure et châssis [modifier]

    La Z4 de la campagne de publicité BMW « An Expression of Joy », exposé au salon de l'automobile de New York.

    La nouveauté majeure du BMW Z4 est l'abandon de la toile rétractable au profit d'un toit rigide en deux parties en aluminium, dont l'ouverture électro-hydraulique s'effectue en 20 secondes. Conséquences de cette modification, la Z4 accuse une augmentation de 195 kg de plus que l’ancien roadster, à performances équivalentes[1].

    Profitant d'un châssis allongé de 11 cm, portant sa longueur totale à 4,23 m au lieu de 4,09 m pour sa prédécesseur, la BMW Z4 annonce un volume de coffre en hausse, atteignant les 310 dm3 avec le toit en place contre 260 dm3 pour la BMW E85. En raison de l'option toit rigide optée par la marque allemande, ce volume diminue à 180 dm3 en version décapotée[2],[3].

    Habitabilité et confort [modifier]

    La BMW Z4 propose les phares au xénon de série.

    La BMW Z4 profite en option de nombreux équipements, absents de la précédente version, tels que le GPS à disque dur et l'iDrive, empruntés à la BMW Série 7[2]. Le terme iDrive désigne l'ensemble des systèmes auquel le conducteur peut accéder lors de la conduite (radio, GPS, climatisation, etc.).

    La particularité de l'iDrive est d'agencer les commandes de telle manière que le conducteur puisse « contrôler son automobile en se servant de son intuition »[4]. Ainsi, les commandes liées à la conduite telles que le démarreur, les palettes de passages de rapports, etc. sont disposés autour du poste de conduite tandis que les systèmes de confort comme la climatisation, sont placés au centre. Conducteur et passager y ont ainsi tous deux accès. L'écran de contrôle est quant à lui controlé par un seul élément, dénommée « Controller » pouvant être tourné dans toutes les directions[4].

    Le contrôle de pression des pneus, le frein à main électrique, les airbags rideau ainsi que la suspension pilotée dénommée « châssis sport M adaptatif » sont également disponibles. Les phares au xénon sont quant à eux disponibles de série. L'écran central offre également la possibilité de parcourir Internet[2].

    Motorisations et performances [modifier]

    BMW Z4 exposée au salon de l'automobile de Chicago.

    Fidèle aux précédents modèles de grand tourisme, la BMW Z4 opte pour une propulsion à moteur en position avant. Elle bénéficie par ailleurs de la technologie « Efficient Dynamics », système de récupération d’énergie au freinage[1], à l'image du système KERS apparu en Formule 1.

    La gamme de motorisation de la BMW Z4 opte pour une nouvelle dénomination : « sDrive ». Seulement trois blocs essence 6 cylindres en ligne sont disponibles lors de sa sortie — sDrive23i, sDrive30i et sDrive35i — de puissances respectives de 204 ch, 258 ch et 306 ch. Les puissances de ces deux premiers moteurs endurent une réduction d'une dizaine de chevaux par rapport à la version E85 afin de respecter la norme européenne Euro5 sur les émission polluantes[2].

    Le moteur sDrive35i est quant à lui nouveau et profite d'une injection directe ainsi que d'une suralimentation biturbo lui octroyant un 0 à 100 km/h annoncé en 5,8 s, mieux que la Porsche Boxster S. Cette version peut être équipée en option d'une boîte robotisée à double embrayage 7 rapports dénommée « DKG » (**), apparue sur les Série 3 Coupé et Cabriolet, ainsi que sur la BMW M3. Les deux autres versions de départ sDrive23i et sDrive30i se contenterons en option d'une boîte automatique « Steptronic » (*) à 6 rapports[2].

         sDrive23i     sDrive30i     sDrive35i  
    Cylindrée
    2 497 cm3
    2 996 cm3
    2 979 cm3
    Puissance
    204 ch (150 kW)
    à 6 400 tr/min
    258 ch (190 kW)
    à 6 600 tr/min
    306 ch (225 kW)
    à 5 500 tr/min
    Couple
    250 Nm
    à 2 750 tr/min
    310 Nm
    à 2 600 tr/min
    400 Nm
    de 1 300 à 5 000 tr/min
    Accélération
    0 à 100 km/h
    en 6,6 s
    0 à 100 km/h
    en 5,8 s
    0 à 100 km/h
    en 5,2 s
    Poids
    1 480 / 1 505 * kg
    1 490 / 1 505 * kg
    1 580 / 1 600 ** kg

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  • BMW Z4 (E85)

     

    BMW Z4 (E85)
    BMW Z4 (E85)
    Constructeur : BMW
    Classe Sportive de prestige
    Carrosseries Coupé et Roadster
    Performances
    Motorisations Essence
    Couple 315 Nm
    Transmission Propulsion
    Manuelle
    Dimensions
    Longueur 4 090 mm
    Largeur 1 780 mm
    Hauteur 1 300 mm
    Poids 1 200 à 1 300 kg


     .

    La BMW Z4 est un modèle de roadster et de coupé du constructeur automobile BMW. L'article présent s'intéresse à la version apparue en 2003 du Z4, dénommée en interne BMW E85.

    Z4 [modifier]

    La Z4 fut conçue dans la lignée du BMW Z3 qu'elle remplace. Fort de la percée effectuée par le Z3 vendue à 300 000 exemplaires dans le monde, le Z4 est lui aussi un succès commercial pour BMW. Une version M plus incisive est disponible.

    Après avoir été présenté au Mondial de Paris en septembre 2002, le lancement commercial en France du roadster Z4 a été fêté le 27 mars 2003. Le Z3 passe le témoin à un modèle un peu plus grand, plus cossu, plus performant tout en cherchant à être plus facile à conduire. Le nouveau roadster s’est débarrassé des formes rondes néo-rétro de son “ancêtre” pour adopter des lignes tendues et brisées. Une nouvelle stratégie de style. Mais aussi une nouvelle stratégie de gamme… Alors que le Z3 avait été lancé avec de petites motorisations à base de 4 cylindres avant de monter en gamme jusqu’aux 6 cylindres à 24 soupapes et double Vanos, cette fois le Z4 est lancé en trois versions de 6 cylindres : un 2,2 de 170 chevaux (Europe uniquement), un 2.5 litres de 192 chevaux (Z4 2.5i) et un 3 litres de 231 chevaux (Z4 3.0i).

    La série Z4 connaît un grand succès puisque le 100 000e exemplaire Z4 a été fêté en novembre 2004, soit juste après deux ans de commercialisation.

    La famille des roadsters Z4 de BMW s'est agrandie en avril 2005 avec une petite motorisation européenne de 2 litres, le Z4 2.0i. Avec ses 150 ch issus d'un bloc 4 cylindres, ce Z4 2.0i complète la gamme vers les cylindrées les plus raisonnables. En se positionnant sous le 2.2i de 170 ch, ce nouveau modèle complète la place de la série Z4 face à une forte concurrence sur le marché européen. En 2006 arrive la version M en cabriolet puis en coupé. Esthétiquement, le restylage d'avril 2006 n'a porté que sur des points de détail: à l'avant le bouclier est plus anguleux et intègre des anti-brouillards rectangulaires, tandis que l'arrière se dote de nouveaux feux de même forme, mais dont l'aménagement diffère (les cercles sont remplacés par des rectangles), le bouclier arrière, quant à lui adopte des arrêtes plus saillantes. L'aménagement de l'habitacle reste rigoureusement le même, avec toutefois une amélioration de la qualité des matériaux. Les vraies nouveautés se situent sous le capot avec l'adoption de nouvelles motorisations 6 cylindres (seule la version 4 cylindre 2,0L de 150ch ne change pas): le 2,2i est remplacé par un 2,5i plus puissant de 7ch et plus fort en couple, le 2,5i disparaît au profit d'un 2,5si fort de 218ch et enfin le 3,0i déjà réputé pour sa puissance, fait place à un 3,0si de 265ch, ces deux dernières motorisations sont dotées de l'injection indirecte.

    Z4 M [modifier]

    Une BMW Z4 M Roadster

    « M » comme Motorsport, la filiale de BMW dédiée à la compétition automobile. Motorsport est chargée par BMW de fabriquer les modèles sportifs de la gamme. En outre Motorsport gère toute l’activité compétition de BMW (formule 1, racing, courses de 24 heures, etc). Dans la gamme des modèles commerciaux de BMW, les modèles Motorsport sont signés par le fameux "M" . La Z4 M, coupé ou cabriolet, est équipé d'un moteur 6 cylindres en ligne de 3246 cm3 qui développe 343ch.


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  • BMW Z8

     

    Z8
    Z8
    Constructeur : BMW
    Production totale 5 703 exemplaires
    Classe Supercar
    Carrosseries Roadster
    Performances
    Motorisations Essence, V8 4,9 L
    Puissance (ch) 400 ch
    Couple 51 Nm
    Vitesse maximale 250 km/h
    Accélération 0 à 100 km/h en 4,7 s
    Émission de CO2 358[1] g/km
    Transmission Propulsion / Manuelle 6 rapports
    Dimensions
    Longueur 4 400 mm
    Largeur 1 830 mm
    Hauteur 1 320 mm
    Poids 1 585 kg
    BMW Z1
    BMW Z1

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    La Z8 (Z7) est un modèle d'automobile du constructeur BMW.

    Le roadster Z8 est issu du prototype Z7. Il a été présenté en 1999 et a été disponible de 2000 à 2003. Du point de vue style, le Z8 est le cabriolet à 2 places et décapotable, inspiré de la légendaire 507 de 1956 : un look néo-rétro du meilleur goût. Le V8 de 5 litres de la M5 E39 a été choisi (rappelons que la 507 était équipée d'un moteur de la même architecture). La puissance délivrée est de 400 ch pour un couple de 500 Nm à 3800 tr/min. Une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports permet d'exploiter l'énorme potentiel du moteur. Le Z8 fut une série exclusive produite à petits exemplaires, orientée vers le haut du marché (130 000 Euros). À ce prix là, le hard-top était livré en série…de même qu'un stage de conduite à l'école de conduite sportive de BMW à Spartanburg. La production a été de 5 700 véhicules construits de 2000 à 2003.

    La Z8 est apparue au cinéma dans le 19e James Bond : Le monde ne suffit pas.


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  • BMW Z3/Z3M/Z3 Coupé

    Z3
    Z3
    Constructeur : BMW
    Classe roadster
    Carrosseries Coupé et Cabriolet
    Performances
    Motorisations 4 et 6 cylindres essence - 1 895, 2 171 et 2 979 cm³
    Émission de CO2 189 à 268[1] g/km
    Transmission boîte manuelle 5 vitesses
    propulsion
    Dimensions
    Longueur 4 050 mm
    Largeur 1 740 mm
    Poids  ? - 1 332 kg

    La BMW Z3 est un modèle de roadster et de coupé du constructeur automobile BMW.

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    Z3 [modifier]

    Le Z3 a été le premier roadster a succès de BMW. Le Z3 fut le premier véhicule conçu puis réalisé en seulement 36 mois. Ce fut également le premier véhicule BMW à être construit hors de l’Allemagne. En effet les Z3 ont été fabriqués aux États-Unis à l’usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. La dernière des Z3 a été construite à Spartanburg le 28 juin 2002. La production avait débuté 7 ans auparavant en automne 1995. Les premiers véhicules avaient été livrés à leurs acheteurs en mai 1996, et 15 000 Z ont été construits dès 1996. Le lancement du véhicule fut souligné par le choix du Z3 comme véhicule de James Bond, dans le film Goldeneye, dès 1995. Pierce Brosnan, dans le rôle de «007», conduisait un modèle 2.8. En avril 1999, les véhicules d’exception signés "M" virent le jour (lire plus loin). Durant les sept années de production, presque 300 000 automobiles Z3 ont été produites et diffusées dans 120 pays.

    Pendant cette période, le Z3 a su évoluer par de discrètes opérations de restyling qui n’ont pas dénaturé son design extraordinaire qui reste finalement particulièrement stable. En matière mécanique la motorisation a constamment évolué afin d’offrir un large panel de plus en plus sportif. Une motorisation en constante évolution… La motorisation couvre de nombreux segments du marché, depuis les 4 cylindres de 118 ch à couple élevé, jusqu’aux 6 cylindres de deux litres de 150 ch et deux litres huit de 193 ch. En bout de gamme, le top du top reste le modèle "M" avec son six cylindres à 24 soupapes de 321 ch alimenté par son double VANOS.

    Le Z3 restera un véhicule d’exception parce qu’il a su être leader de son segment de marché avec près de 300 000 exemplaires construits, parce qu’il à connu un succès de niche, qui a depuis lors été copié par bien d’autres, et parce qu’il a marqué le design de BMW, matérialisant un nouveau style de la marque, à la fois «mieux dessiné et plus agressif». Même après l’arrêt de la production, ce véhicule continue donc d’obtenir un succès considérable aux côtés de son successeur le Z4 dont l’avenir nous dira s’il connaîtra d’aussi beaux jours que son "fils". Avec un tel succès, le Z3 quant à lui, deviendra forcément un véhicule de collection très apprécié.

    Z3 M [modifier]

    « M » comme Motorsport, la filiale de BMW dédiée à la compétition automobile. Motorsport est chargée par BMW de fabriquer les modèles sportifs de la gamme. En outre Motorsport gère toute l’activité compétition de BMW (formule 1, racing, courses de 24 heures, etc). Dans la gamme des modèles commerciaux de BMW, les modèles Motorsport sont signés par le fameux "M" .

    Alors que le Z est en production depuis septembre 1995, le roadster "M" a été présenté en 1996 au Salon de Genève. Le Coupé "M" a été présenté au salon de Frankfort en Allemagne en 1997. La production de ces modèles a été entreprise avec une année de décalage par rapport à cette présentation au public, puis leur production s’est achevée en mai-juin 2002.

    Outre les nouvelles motorisations "M" et leurs principales conséquences mécaniques (double ligne d’échappement, trains roulants, etc), le Z3 "M" se distingue par un design extérieur avec quelques signatures stylistiques cherchant à le rendre plus agressif (grilles de ventilation latérales, rétroviseurs ovales, pare-choc avant, plaque minéralogique arrière déplacée entre les feux…). L’intérieur du "M" se distingue par nombre de détails avec principalement des sièges spécifiques et les trois cadrans supplémentaires implantés sur la console centrale. La «ligne chrome» intervient en accompagnement des appareillages intérieurs ainsi que le logo "M" .

    En matière de motorisation, le modèle «M» du Roadster et du Coupé Z3 utilise un six cylindres à 24 soupapes issu d’un développement destiné aux M3 de type E36 puis E46 à partir de 2001. Par rapport aux autres roadsters Z3, le modèle «M» a aussi un châssis spécialement adapté et quelques options spécifiques. Il y a eu trois différentes versions du roadster "M" : le modèle européen est «plus exotique» avec un moteur S50 de 3201 cm³ (le S50 B32) décliné en conduite à droite et en conduite à gauche, et un modèle américain à conduite à gauche, équipé d’un moteur S52 de 3152 cm³. Le modèle européen (S50 B32) offre une puissance de 321 Chevaux alors que le modèle américain (S52) offre 240 chevaux. Les deux versions ont des vitesses maximales bridées électroniquement. Les boîtes de vitesses sont identiques dans les deux versions. En fait le moteur issu du bloc E46 a été dégonflé de 343 à 325 ch, pour cause d'insuffisance au niveau du train roulant. À partir de février 2001 une motorisation S54 issue de la M3 E46 intervient ensuite en Europe comme aux USA en remplacement des S50 et S52. Ce bloc S54 est une évolution technologique du S50 européen, offrant 325 ch à partir de plusieurs modifications, dont une augmentation de l’alésage (qui passe de 86,1 à 87 mm). En accompagnement de ce passage au S54, les véhicules sont équipés d’une version «M» du système de contrôle dynamique (DSC) avec une électronique BMW-SIEMENS intégrée au contrôle de gestion moteur. Cette évolution du système appelée ASC (Automatic Stability Control plus Traction, ASC+T) prend en charge les tendances sous-vireuses et sur-vireuses du véhicule en gérant le freinage individuel de chaque roue. Ce système est débrayable depuis le poste de conduite.

    Les différences de châssis avec le Z3 six cylindres sont les suivantes : suspensions MacPherson, voies avant et arrière plus larges, abaissement, de la caisse, géométrie avant de suspension modifiée, ressorts et amortisseurs plus fermes, barres anti-roulis plus épaisses, bras de remorquage renforcés, châssis renforcé. Lors du passage au S54, le châssis a encore été amélioré avec les suspensions et amortisseurs encore plus raides développés pour le coupé M.

    Quelques modifications d’équipement accompagnent le passage du roadster au S54. Pour le coupé cette évolution n'emporte aucune modification de châssis qui est plus rigide par construction d’origine. Les modèles «M» destinés au marché américain à partir de février 2001 offrent une puissance de 320 ch (SAE) et le modèle européen 325 ch (DIN). Ce petit écart de puissance est imputable aux différences de normes de pots catalytiques à l’échappement entre l'Europe et les États-Unis.

    La production de la Z3 fut arrêtée en juin 2003 après la vente de 300 000 exemplaires dans 120 pays du monde, pour laisser place au BMW Z4.


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